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    Tuer n'est pas jouer
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    Samiori
    Samiori

    8 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Un très bon James Bond, plus réaliste et violent que les précédents avec Roger Moore. Timothy Dalton endosse parfaitement le rôle de James Bond. Sans oublier les superbes musiques de John Barry et la musique du générique par Aha.
    Je l'avais vu au cinéma l'époque, et j'avais acheté quelques jours après la cassette audio de la BO.
    Ce n'est pas un film culte, mais il fait parti des meilleurs James Bond.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2011
    Un excellent James Bond, peut-être le meilleur de la saga.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    C’est là, le 15ème épisode signé John Glen. Son quatrième de suite.
    Je ne l’avais encore jamais vu ! (11 sur 15).

    Timothy Dalton succède à Roger Moore. Avec ce nouveau James Bond, on retrouve l’Aston Martin vue pour la dernière fois avec George Lazenby, si mes souvenirs sont bons.
    Ça nous ne rajeunit pas !
    Le cigare de Roger Moore s’efface pour de nouveau faire place à la cigarette.
    Moneypenny n’est plus Lois Maxwell. Après 25 ans de bons et loyaux service, elle tire sa révérence pour Caroline Bliss.
    Bref, on rajeunit l’effectif, Felix Leiter compris, à l’exception de M (Robert Brown) et de Q, toujours assuré par Desmond Llewelyn. Ce dernier est dans l’action puisqu’il participe à l’évacuation d’un officier russe par voie pipeline !
    Ce n’est pas la première fois qu’il s’émancipe sur le terrain, dans « Octopussy », il péchait pour observer les activités du palais flottant d’Octopussy.

    Par contre, le générique n’annonce rien de nouveau même si on voit explicitement le corps d’une femme nue aux seins et au pubis peints.
    A noter : spoiler: plus tard dans le film, la maîtresse de Pushkin (John Rys-Davies) dévoilera un sein, vu de profile.

    Oui, la franchise s’émancipe toujours aussi chastement, pour mon plus grand plaisir !

    La mise en scène ne fait preuve d’aucune originalité pour nous présenter le nouveau visage de James Bond.
    Quand celui-ci se présente pour la première fois « My name is Bond, James Bond », le débit est rapide.
    Timothy Dalton n’est ni Sean Connery, ni Roger Moore, un humour plus maîtrisé, moins de légèreté dans ses propos, un tantinet plus sérieux et ne badine pas autant que ces prédécesseurs.

    Le méchant de service n’est pas celui que l’on croit et me garderai bien de le nommer.
    Toujours est-il, l’adversaire de James Bond ne souffre pas de mégalomanie psychopathe, obsédé de dominer le monde !
    Le récit nous offre un scénario bien ficelé, assez réaliste, et bien rythmé.

    L’extravagance fait place au spectaculaire comme cette séquence où 007 affronte Necros, le bras droit du méchant de service à l’arrière et à l’extérieur d’un avion militaire cargo. spoiler: Ils se battent sur des sacs d’opium enserrés dans un immense filet qui flotte dans le vide.


    Je sais bien que Bond va s’en sortir mais comment ?
    Depuis le début de la saga, tous les tirs n’atteignent pas l’espion 007, ce qui a pour conséquence, que je ne m’inquiète jamais pour lui. Parfois, c’est risible tant la maladresse des tireurs est grossière.
    Par contre, c’est bien la première fois, avec ce James Bond - Timothy Dalton, où j’ai été captivé par cette cascade spectaculaire. Je me suis surpris à craindre pour sa vie !
    Comme quoi, à travers cette séquence, j’ai oublié à qui j’avais affaire, tellement baigné par l’action.
    D’habitude, je me laisse aller attendant comment le « comment » va s’achever.

    Un James Bond sur fond de Guerre Froide encore et toujours, bien que l’on parle de détente.
    En sous-texte, James Bond, en aidant les Moudjahidines, permet aussi de ridiculiser l’Union soviétique, l’envahisseur de l'Afghanistan.

    Côté James Bond Girls ? Une !
    Maryam d’Abo dans le rôle de Kara Milovy, une violoncelliste. Une Girl qui ne fond pas suite dans les bras de l’agent 007. Il faut dire aussi que ce dernier ne lui bondit pas dessus tout de suite.
    Si Bond s’amuse (ou pas) de ses conquêtes, Kara semble sincèrement éprise de l’agent 007.

    Là où Sean Connery et Roger Moore badinaient au premier regard, Timothy Dalton semble plus sage et plus préoccupé par sa mission.

    Bref : « Tuer n’est pas jouer » paraît s’inscrire dans une ère de modernité en terme de récit, abandonnant toute excentricité, toute outrance ou tout excès ; quant aux cascades, l’excès est au service du spectaculaire, déjà amorcé dans l’épisode précédent « Dangereusement vôtre » me semble-t-il.
    Les cascades des premiers James Bond et surtout avec Roger Moore divertissaient ; comme celles avec Belmondo ou Indiana Jones ; avec Timothy Dalton, on est dans le domaine du spectaculaire.
    Ça n’engage que moi.

    « Tuer n’est pas jouer » s’empare de la seconde place et je garde toujours ma préférence à « Bons Baisers de Russie » !

    A voir en V.O pour Timothy Dalton.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2013
    Comme à chaque changement d’interprète principal, on met quelques minutes à s’habituer à voir la figure mythique de James Bond changer de visage. Une fois l’intrigue mise en route, on cerne donc l’image que Timothy Dalton veut donner à son personnage, celui d’un héros plus modéré, moins charmeur et imbu de sa personne que celui qu’on a pu suivre dans les précédents épisodes. Ce jeu plus posé a évidemment valu à l’interprète le désaveu des fans de la franchise, mais il est pourtant en parfaite adéquation avec le ton moins extravagant du film de John Glen qui se rapproche davantage des romans de Ian Flemming que des blockbusters d’action auxquels ressemblaient les aventures de 007 sous l’ère Roger Moore. Le scénario est effet bien plus inscrit dans son époque et surtout suffisamment complexe pour accéder à un certain réalisme tout en restant captivant du début à la fin. Les gadgets insolites et les fornications avec les james-bond girls ne sont ainsi plus au centre du film mais on retrouve bien les scènes d’action efficaces dans des décors exotiques (et l’Aston Martin) qui font le charme de la franchise. L’ensemble du casting est parfaitement convaincant, hormis Caroline Bliss qui interprète une Miss Moneypenny fade et transparente à coté de Lois Maxwell.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Roger Moore, jugé trop vieux, les producteurs décidèrent de confier le smoking de l'agent 007 au grand acteur shakespearien Timothy Dalton ravi d'avoir été choisi et qui confie que "jouer James Bond au cinéma est un rêve de gosse et qu'en plus on va me payer pour ça". Pierce Brosnan fut pressenti mais jugé trop jeune et pris par sa série télé. Qu'importe, on sait ce qu'il adviendra par la suite. Dalton campe un James Bond radicalement différent de celui de Roger Moore. Moore, c'était le flegme britannique, la décontraction, les vannes chaque fois qu'il ouvrait la bouche. Dalton incarne un Bond nettement plus dur, froid, se rapprochant du 007 de Fleming et de Daniel Craig. D'ailleurs, l'affiche le montre bien. Ce Bond cuvée 1987 est dangereux. Il entre de plein pied dans la modernité. Plus noir, plus violent, et avec des scènes d'action impressionnantes pour l'époque : course poursuite sur un lac gelé suivie d'une longue descente à dos d'étui de stradivarius, sur des chevaux, dans un avion. Le spectateur en a pour son argent. Quant au scénario à tiroir, il rappelle l'époque où on n'hésitait pas à prendre le risque de perdre le spectateur alors qu'aujourd'hui la tendance est à la simplification à l'extrême pour qu'il ait la certitude d'avoir tout bien compris en sortant de la salle. La James Bond girl, Maryam d'Abo, est aussi mignonne que peu sexy. J'en viens même à me demander si ce n'est pas une des plus jolies. Idem pour la chanson du générique "The Living Daylights" chantée par le groupe A-Ha qui doit faire partie des meilleures génériques de la saga. D'une manière générale, je me suis toujours dit que les James Bond avec Timothy Dalton étaient sous-estimés. J'espère qu'un jour on les reconsidérera à leur juste valeur.
    vic-cobb
    vic-cobb

    35 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Ayant tjrs apprécié Timothy Dalton (vu notamment dans Hot Fuzz, Chuck, Doctor Who ou encore Penny Dreadful) j'étais curieux de le voir en James Bond et je n'ai pas été déçu ! The Living Daylights est en effet un véritable James Bond où fusillades, trahison, et explosions sont monnaies courantes, sans oublier, bien sûr, les courses poursuites (celle sur l'étui du violoncelle m'a bien fait rire ^^) et les gadgets de Q ! Quant au Bond de Dalton, j'ai trouvé qu'il correspondait bien au personnage de Flemming : Séducteur et charismatique, c'est ce qui fait Bond, Bond ! Tjrs capable de se tirer des situations les plus critiques et de s'enticher de compagnes prêtent à tout pour lui : La belle Bond-girl Maryam D'Abo, que j'ai trouvé un peu surjouée à des moments, remplit convenablement son rôle ! N'étant pas un grand connaisseur des James Bond (ce que je vais essayer de corriger d'ici peu ^^), j'ai fais avec ce film, un autre rapprochement entre cette grande saga cinématographique et la série britannique culte Doctor Who : En dehors du fait que le personnage principal ait changé de visages au fil des années, je trouve que la relation entre le Doctor et ses compagnons (dont la grande majorité est composée de femmes) est assez semblable à celle de James Bond et ses compagnes (mis à part le fait que l'espion finit tjrs par les attiré dans son lit ^^) ! En tout cas, pour revenir à l'intrigue de The Living Daylights, j'avoue avoir mis un certain temps à bien comprendre ce que cherchais à faire Koskov et Whitaker, mais après avoir tout assimilé l'intrigue est prenante ! En somme j'ai trouvé que c'était un James Bond plutôt réussi avec son lot de scènes jamesbondiennes, si je puis dire (notamment toute la séquence qui précède le générique d'intro qui, lui, se veut particulièrement kitsch ^^) !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    L’agent 007 est chargé d’exfiltrer le général russe Koskov en lui faisant traverser le Rideau de Fer, une mission qui se révèlera bien plus complexe qu’il ne le pensait…

    Après 7 opus sous les traits de Roger Moore, ce dernier commençait accuser le poids des années (il avait 58ans à la sortie de Dangereusement vôtre - 1985), il lui fallait passer le flambeau et les producteurs de l’époque ont donc jeté leur dévolu sur un certain Timothy Dalton (41ans au compteur), qui campera l’agent 007 pour seulement 2 volets de la franchise. A la réalisation, on retrouve une fois de plus John Glen (qui en est à son 4ème James Bond) et nous embarque dans un thriller d’espionnage mouvementé, de Gibraltar à la Tchécoslovaquie et de l’Afghanistan au Maroc, si bien que l’on a parfois l’impression d’avoir plus affaire à un film d’aventure plutôt qu’à un film d’espionnage.

    En quittant Roger Moore pour Timothy Dalton, vous pensiez pouvoir faire l’impasse sur son humour so british ? Détrompez-vous, le scénario ayant été rédigé dans l’idée que ce serait Moore qui l’incarnerait une fois de plus, on se retrouve donc avec un nouveau visage pour incarner Bond, mais ses traits d’humour si particuliers (et parfois agaçants) sont bel et bien présents dans ce nouvel épisode.

    Tuer n'est pas jouer (1987) ne lésine pas sur les scènes d’action et ce, dès la scène de pré-générique à Gibraltar. Le film est l’occasion de voir une exfiltration via un pipeline (plutôt original vous en conviendrez, malgré le manque de crédibilité), ainsi que des bouteilles de lait explosives et une attaque sur une base aérienne où le héros s’associent avec des Moudjahidines face aux soviétiques (une séquence quasi-similaire que l’on retrouvera l’année suivante dans Rambo III - 1988). Ajouter à ça, un trafic d’armes sur fond de trafic d’opium pendant la Guerre Froide, avec en toile de fond, le KGB et une histoire d’amour entre Kara la belle violoncelliste & l’agent 007.

    Si la première partie met un certain temps pour démarrer et à nous faire rentrer dans le vif du sujet, la seconde sera quant à elle s’avère bien plus réussie. De son côté, Timothy Dalton s’avère être un digne successeur de Roger Moore, aux côtés de la ravissante Maryam d'Abo (qui avait débuté sa carrière avec la Série B Xtro - 1983).

    (critique rédigée en 2008, réactualisée en 2022)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Xyrons
    Xyrons

    678 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2010
    Tuer n’est pas joué est un excellent film James Bond de John Glen. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est intéressant et le film divertissant, les musiques sont efficaces, les scènes d’actions sont réussies, les acteurs comme Timothy Dalton, Maryam D'Abo ou encore Jeroen Krabbe sont convaincants etc… Bref, c’est à voir…
    Le-Gros-Moineau
    Le-Gros-Moineau

    28 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Même si Dalton n'est pas le 007 le plus populaire, ne passez pas à côté de ce Bond !

    "Tuer n'est pas jouer" est pour moi le parfait "James Bond" à proposer à un fan de la saga cinématographique.
    L'épisode regroupe tout ce qui fait, depuis des décennies, le charme des aventures du plus célèbre espion britannique: scénario sur fond de conflits géopolitiques, action, courses poursuite, gadgets, gags plus ou moins grotesques, répliques en or, séduction, musiques parfaites...

    TNPJ a un côté vieillot tout en étant indémodable et jamais trop ringard, et fait souvent rire sans tomber autant dans la parodie qu'un "Moonraker"... Vous l'aurez compris, cet opus représente pour moi ce que devrait être une aventure réussite de notre agent secret.
    JamesDomb
    JamesDomb

    102 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un Bond génial, retrouvant l'ambiguité du personnage de Fleming, Dalton est l'interprète idéal. Dur, cynique, Bond est dangereux. Séquences anthologiques à foison. Bémol : la chanson de A-HA pas terrible et un générique pas très beau non plus...mais un film d'action excellent !
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 septembre 2023
    « spoiler: Nous avons eu quelques problèmes à l'aéroport.
    »

    La qualité du scénario, de la conception de la production et du jeu des acteurs ont toujours été les points forts des films de James Bond.

    Et la grande première de Timothy Dalton ne fait pas exception à cette tradition. Car, comme ses illustres prédécesseurs, il excelle dans le rôle de l'agent 007.

    De la spoiler: Tchécoslovaquie à l'Autriche, puis à l'Afghanistan en passant par l'Angleterre et le Maroc, "The Living Daylights" dépeint avec talent la fin de la guerre froide, la guerre en Afghanistan et tous ceux qui en profitent sans scrupules
    .

    John Glen et John Barry font ce qu'ils font de mieux pour notre plus grand plaisir.

    Maryam d'Abo est aussi belle intérieurement et extérieurement, et talentueuse, que Kara Milovy est spoiler: sincèrement amoureuse de James Bond
    .

    Timothy Dalton spoiler: éloigne le personnage de Bond du style léger de Sir Roger Moore, en rappelant le réalisme brut d’Ian Fleming
    .

    4.7/5
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2014
    Le premier film de Timothy Dalton en tant que James Bond a fait date pour beaucoup de fans. Il combine l'humour hérité de la fin de la période Moore (Octopussy ou Dangereusement Vôtre par exemple) et le sérieux que Dalton a voulu insuffler au personnage après avoir lu les livres de Fleming. En effet il montre dans ce film son intention d’interpréter un OO7 plus proche des romans.
    La nouvelle dont le titre du film est tiré étant trop courte, le scénario s'est ancré dans les problématique de l'époque à propos de l'Afghanistan, des Russes et de l'opium. Remplacez le mot "Russes" par le mot "Américains" et vous avez un film très actuel en 2014. L'histoire est complexe et fait appel à un duo d'adversaires de Bond qui ont chacun des intérêts à accomplir leur joli complot, tout comme les intérêts du politique et du privé se rejoignent parfois dans notre réalité.
    Côté femme, Maryam d'Abo n'est pas transcendante mais suffisamment convaincante dans les scènes d'actions derrière sa candeur et sa fragilité joli blonde violoncelliste.
    La musique de Jonh Barry est tout simplement parfaite pour soutenir chaque scène. Elle est influencé par son époque c'est vrai, cependant elle insuffle nervosité et adrénaline au moment de l'action et donne du souffle dans les plan larges.
    La destinée de Bond est ici épurée, il traverse les épreuves pour rejoindre le côté féminin après être passé à travers toutes les batailles même celles imaginaire de Brad Whitaker. Un des grands films d'espionnage du siècle dernier et un des grands films de la saga bondienne
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Après l'échec cuisant de Dangereusement vôtre, qui nous balançait pittoresquement un Bond de 60 ans doublé à chaque plan et tombant les midinettes deux fois plus jeunes que lui, Timothy Dalton prend enfin la relève tant attendue. Méconnu du grand écran, peu charismatique et pas franchement séduisant, Dalton est pourtant l'un des meilleurs Bond de la saga qui, grâce à son flegme gallois, son humour aussi discret que corrosif et sa capacité à demeurer crédible d'un bout à l'autre du long-métrage, rend fidèlement hommage au personnage créé par Ian Fleming. L'histoire de cet énième conflit américano-soviétique est bien menée, rythmée, passionnante, aux rebondissements sans fin et aux scènes d'action explosives (la scène d'introduction au Rocher de Gibraltar est mémorable). Plus noir et plus violent aussi, Bond se retrouve face à un second couteau des plus mémorables, le glacial Necros interprété par le géant Andreas Wisniewski. Il est également entouré de la jolie mais un peu nunuche Maryam d'Abo, pas très convaincante mais néanmoins sympathique. Des rues animées de Vienne aux désert brûlants d'Afghanistan, Tuer n'est pas jouer demeure encore aujourd'hui un des meilleurs films de la série.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2009
    Pour ce 17e opus de la sèrie des James Bond, c'est le comèdien shakespearien Timothy Dalton qui dècroche le rôle ou le personnage de 007 se renouvelle tout en restant proche de ce que le public attend! Le rèalisateur John Glen, qui signe ici son quatrième Bond, renoue lui aussi avec la tradition des romans d'origine! Finis les gadgets farfelus et l'humour dèsinvolte: l'accent est mis sur l'action pure et le rèalisme! Au volant d'une Aston Martin recarrossèe et èquipèe des derniers perfectionnements de l'âge èlectroniques, Dalton se lance sur la piste de dangereux soviètiques et s'èprend d'une jolie violoncelliste campèe par Maryam d'Abo, rôle qui lui apporte la cèlèbritè! James Bond reste fidèle à lui-même: cascades et folles poursuites, trafics d'armes, de drogue et lutte contre le KGB composent ce cocktail d'aventures inèdit qui mène l'espion du Maroc à l'Afghanistan! Sublime chanson "The Living Daylights", interprètèe par le groupe norvègien A-ha...
    Dead-for-Someone
    Dead-for-Someone

    45 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 août 2017
    Quinzième volet de la saga des James Bond qui offre un résultat efficace
    mais guère plus.
    L'agent 007 doit faire passer à l'Ouest le général russe Koskov. A
    Bratislava, ce dernier manque d'être assassiné par une ravissante
    violoniste mais Bond empêche le pire. Il parvient à envoyer l'agent
    soviétique en Angleterre mais a des doutes. Il va découvrir que Koskov
    joue peut-être un double jeu...
    La réalisation a des prises de vues simples mais qui fonctionnent, la
    mise en scène est bonne, la profondeur de champ bien utilisée, des
    mouvements fluides et un cadrage propre.
    Le scénario est le point faible du film: il s'engage trop dans beaucoup
    de sous-intrigues compliquées qui n'apportent finalement pas grand-chose
    au film. Il y a des longueurs et quelques incohérences. Il y a des
    clichés bien sûr, mais n'oublions pas que nous sommes dans un James
    Bond. Il y a néanmoins de très bonnes scènes d'action.
    Les acteurs sont bons et crédibles, comme John Rhys-Davies (trilogie du
    Seigneur des Anneaux), Desmond Llewelyn ou Robert Brown.
    Les personnages sont stéréotypés, c'est vrai, mais ils sont néanmoins
    attachants.
    Les dialogues font preuve d'humour et marchent bien.
    La photographie a une lumière assez belle mais trop répétitive et une
    bonne palette de couleurs. Malheureusement l'image aujourd'hui a mal
    vieilli.
    Le montage manque de charisme; il est efficace dans les scènes d'action
    mais manque de charme dans les autres séquences.
    Les décors sont beaux, les costumes et la musique toujours aussi réussis.
    "Tuer n'est pas jouer" est un film qui ne marquera pas l'histoire du
    cinéma mais qui est quand même agréable.
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