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Cinemadourg
779 abonnés
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1,5
Publiée le 30 septembre 2021
Dans le style grosse soupe horrifique, Candyman marque les esprits ! Un artiste peintre de Chicago sans inspiration va découvrir la légende de Candyman (le tueur au crochet et aux bonbons) par hasard. Comme envoûté par ce mythe et après avoir prononcé 5 fois "Candyman" devant un miroir (erreur fatale !), sa vie va basculer dans le cauchemar absolu. Le scénario est brouillon, confus et ridicule, les personnages sont inconsistants au possible, même la photographie est moche ! Rien ne sauve ce film d'horreur sauf peut-être une bande-son correcte et inquiétante. Bref, en un mot : mauvais ! Site CINEMADOURG.free.fr
Ce film est un navet et d'une vulgarité très rarement atteint. Voulant surfer encore et toujours sur le racisme de "tout les hommes blanc ", le film est caricatural, très mal réaliser, interprété. Le scénario est triste et pathétique.
Jamais vu un film aussi raciste que celui-là. c'est vraiment la seule chose qui fais peur dans ce film. C'est un exutoire contre les " méchants blancs ". A gerber
Film très mauvais et d’un wokisme à dégoûter même Sandrine Rousseau. On peut assez vite résumé l’histoire à « noirs = gentils, blancs = méchants ». Mais si ce n’était que ça, après tout c’est un avis comme un autre, tout le monde a droit à la liberté d’exprimer ses opinions même les plus bêtes. Mais ce film, semble justifier le meurtre de personnes blanches dans un esprit de vengeances contre des mauvais comportements infligés (ou fantasmer) aux personnes noires. Essayer seulement de faire la même chose mais dans le sens inverse pour voir. Enfin, pour ça, il faudrait déjà trouver un financement et trouver à faire distribuer son film. Merci à la Metro-GOLDWIN-MAYER. Il y en a qui se trouvent toujours dans tous les coups fourrés décidément.
Je suis un très grand fan du premier Candyman, film brillant, remarquable, monumental, un véritable chef-d'oeuvre du cinéma d'horreur d'ambiance. Autant dire que la sortie d'un nouvel épisode, un reboot, me rendait aussi curieux que dubitatif (comme pour Suspiria). Mais j'ai tenté quand même. Et là... Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce Candyman est un ratage total. Il n'y a vraiment rien pour le rattraper. Côté ambiance on est à des années lumières du film des années 90. Autant le tournage dans le Cabrini Green décrépi des années 90 avait donné une ambiance singulière au métrage, autant ici l'ambiance est nulle. C'est fade, sans substance, les images sont parfois vaguement belles mais c'est jamais exploité au profit d'une atmosphère soit poétique soit horrifique. Les idées de mise en scène sont d'ailleurs fort peu convaincantes. L'idée des marionnettes est imaginative mais pas très bien employée et le reste est sans saveur. La séquence qui à mon sens aurait vraiment pu être mémorable est celle de la galerie, et pourtant ça tombe finalement à plat. Candyman ne va pas au bout de son concept et la mise en scène semble avoir pour seule ambition de cacher les scènes sanglantes, de rendre le film totalement soft. L'idée des miroirs est également très laborieuse. Si l'on se concentre sur le scénario, ben c'est brouillon, tortillard, jusqu'à la conclusion loupée. On s'ennuie et ce ne sont pas les acteurs qui viennent nous tirer de l'embarras que donne le film. Ce n'est pas forcément mal joué, mais les personnages sont sans véritable saveur, ne donnent pas vraiment envie de s'attacher à eux et l'on est notamment complètement indifférent ou presque au sort de toutes les victimes du métrage. C'est quand même très ennuyeux.
Clairement le film est mauvais mais en plus de ça il souffre à tous les niveaux de la comparaison avec le film de Bernard Rose. Dès l'intro on sent qu'on joue pas dans la même cours, avec d'un côté le plan aérien géométrique de Rose, la musique incroyable de Philipp Glass (la musique dans celui-là est médiocre) et là une séquence basique et proche d'un mauvais nanar. Non, vraiment, ce Candyman est une calamité. 0.5
Je crois que Candyman est le premier film à assumer le racisme anti-blanc, je n'ai pas le souvenir d'avoir vue dans l'histoire du cinéma d'horreur qui a été aussi loin dans le racisme sur toutes les ethnies. Mais comme il s'agit des blancs, tous va bien.
Tous les personnes blancs sont soit antipathiques, sans aucune psychologie, la moindre sympathie, on comprend trés vite que le réalisateur parachute systématiquement des personnages blancs comme chaire à canon. toutes les victimes de candyman sont blanches
Dans une scène j'ai cru que nous allions sortir de schéma raciste, 6 adolescentes dans les toilettes 1 noire, 1 asiatique et 4 blanches, ayant constaté que depuis le début du film il n'y a que des victimes blanches, je me suis dit que le réalisateur a voulu faire un clin d'oeil envers beaucoup de films d'horreur ou le personnage noir meurt toujours en premier, ce qui aurait été plutôt marrant et juste, mais non on sent réellement qu'il y a un objectif politique derrière et c'est flagrant lors de cette scène dans les toilettes Dans ce film LGBT compatible, le seule personnage blanc qui ne meurt pas est gay
Ce film est donc très influencé par ce que se passe au USA avec la woke culture et malheureusement arrive tranquillement en France avec entre autre ce type de film de propagande.
Et pour le reste ? je trouve le style du film interessant quelques idées avec les abeilles, l'image est glaçante, certaines parties du scénario aurait pu faire une bonne base, les scènes d'horreurs sont trop légère pour le genre et le fait de ne pas avoir fait un reboote mais une sorte de suite est plutôt bien vue. Mais tous ceci ne sauve pas le film d'un manque de rythme, d'acteurs qui sont mal filmés et un manque de force dramaturgie à cause d'une propagande très lourde
Cela fait depuis un moment que le producteur et réalisateur Jordan Peele nous propose des films que je qualifierai anti-blanc avec pratiquement que des acteurs " Noirs ". Le peu de " Blancs " sont soit des méchants soit des abrutis. Je ne comprends pas trop ou trop bien. Tous ces films ont une connotation raciale et politique. Regardez toutes ces oeuvres et vous comprendrez. Cela ne retire en rien son talent pour produire et surtout réaliser de bons films. Mais le côté film engagé anti-blanc me gêne et m'énerve beaucoup et m'invite à boycotter ces oeuvres. Je n'ai pas aimé ce remake. J'avais bien aimé l'original en 1992.
Il y a un souci d’ordre émotionnel dans ce film : musique recherchée dès le départ ; utilisation de marionnettes et d’ombres chinoises pour remplacer les flashbacks ; le gore qui n’est pas évité mais qui est très fugace (et ce faisant, réussi). La réalisation est donc intéressante. Mais ce n’est pas un film d’horreur. Ça ressemble plus à un réquisitoire contre le racisme antinoir du passé. Car "une souffrance comme celle-là dure éternellement". Candyman est son incarnation. "Je suis les inscriptions dans les rues", dira-t-il… Ce racisme qui ne cessera jamais de hanter les vivants et survivants de Chicago. Mais le film n’aide pas à faire le rapport avec la légende, voulant qu'il faille dire cinq fois son nom devant un miroir. C'est comme deux histoires (le racisme du passé et la légende urbaine) qui ont du mal à coexister. C'est aussi un brûlot contre l'art contemporain, contre la gentrification, contre le boboïsme... ce qui fait trois histoires. Il aurait mieux valu rester sur cette légende et la puissance de l’envie de la tester devant un miroir (au risque d’y perdre la vie), révélant ainsi les motivations des gens. A.G
Ce film s'inscrit dans la lignée des suites/Remakes dans le même style que Halloween de 2018 qui fait la suite direct de l'original de 78. Ce Candyman de 2021 fait suite au premier, mais vient toujours la même question : "était-ce nécessaire ?" Le scénario est assez bancal, certes c'est toujours un plaisir de voir Tony Todd, mais le film n'arrive pas vraiment à décoller, et à en faire une suite correct. Dommage.
Tiens donc , un remake d'un classic de l'horreur... original ! Allons nous avoir le droit à la reprise raté auquel on ajoute tout les clichés et stéréotypes pour en rendre un bon navet dans l'air du temps? Tout à fait , fini le temps de la peur . Le film ressemble à un documentaire cliché des Etat unis oú les seules angoissent sont la peur du massacre du film , plus on avance et moins on trouve un rapport avec le film d'origine . Une honte , encore un classique soumit à la propagande des bienpenseurs . R.i.p Candyman , R.i.p le cinema horrifique .
Visuellement c'est beau à part les scènes de brouillard. Il n'y a pas de jumpscare et ce n'est pas gore, c'est agréable les films d'horreur comme ça.
L'idee initial est correct mais bon à part tuer des blancs qui sont pas gentil sans vraiment faire preuve de racisme (à par les condés) il ne se passe pas grand chose. Le problème c'est que le film a duré moins de deux heure mais j'ai eu l'impression d'y rester 4h.
C'est vide, il ne se passe absolument rien, ce n'est pas du tout horroriphique. Jordan Peele à fait un excellent film qui est "get out", un bon "Us" et à participer à cette bouse.
Et pourtant je l'attendais malgré que ce soit un reboot... Et bien pour résumer il ne se passe pas grand chose, voire rien. Quand j'ai vu la durée je me suis aïe aïe aïe, mais bon certains films ont fait leurs preuves en peu de temps. Et je me disais aussi que vu que la principe du film était connu, ils pouvaient peut-être aller directement dans le vif du sujet... Mais non. C'est lent, il ne se passe pas grand chose, même quand on pense qu'on va voir du sang gicler (scène avec les élèves dans les toilettes) et bien non, rien, absolument rien à se mettre sous la ratiche! Bien différent des films des années 90. De plus, les acteurs tentent de percer l'écran, en vain, la mayonnaise ne prend pas. Et puis faire renaître l'histoire de Candyman sous fond de crise sociale de la communauté noire pour soi-disant "vivre avec son temps" n'a pas lieu d'être ici. Bref je n'ai pas aimé mais ce n'est que mon point de vue.
Sans être aussi réussie que le film original de Bernard Rose qui devait beaucoup au scénario de Clive Barker, cette nouvelle version du mythe de candyman est plutôt convaincante s'il est possible de lui reprocher son caractère très politisée, elle n'en oublie pas, pour autant, d'être un film de genre assez efficace parsemé de quelques plans gores réussis. Faire de Candyman l'étendard des violences faites aux noirs est une idée peut-être un peu trop radicale qui a tendance, notamment dans la dernière partie du film, à tomber dans les clichés raciales, mais elle a le mérite de servir un propos encore trop peu abordé au cinéma. Si l'écriture du film manque de subtilité, sa mise en scènes, entre théâtre d'ombres et jeux de miroirs, est souvent inspiré. Candyman ne révolutionnera pas le cinema de genre mais demeure assez plaisant pour être regardé sans déplaisir.