Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette nouvelle version très réussie se révèle oppressante à souhait tout en délivrant un message de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Simon Riaux
Nia DaCosta s'inscrit avec fidélité et perversion dans la mythologie établie par le premier film, tout en étendant puis déclinant son discours sociétal avec une hargne étonnante. Porté par une mise en scène élégante et joliment inquiétante, le film n'assume toutefois pas assez la trivialité de son monstre, ainsi que la violence ambivalente et spectaculaire que son concept appelle.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit devient politique, en se servant du croque-mitaine pour dénoncer le racisme ordinaire et les violences policières. Tout en distillant une mise en scène intelligente et visuellement sublime, avec un théâtre d'ombres et un jeu de miroirs pour perpétuer le mythe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Michel Valentin
Mais ce "Candyman" n’oublie pas non plus d’être un divertissement, délivrant son quota régulier de frissons et de passages macabres, après un lancement un peu longuet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Nia DaCosta revisite la mythologie du film de Bernard Rose avec conviction : s’il est moins effrayant, son Candyman est radicalement politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Captivant sur le fond, le long-métrage se montre également très ludique dans son traitement du genre.
Télé Loisirs
par Émilie Léoni
Relecture maligne du film d'épouvante de 1992, cette nouvelle version de la légende du tueur au crochet prend une dimension plus sociale et politique, abordant des thématiques comme la gentrification, le racisme ou les violences policières.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwajer
La mise en scène, souvent impressionnante, se pose dès le générique en miroir du film original, parcourant la ville non plus en une succession de plongées à pic mais en contre-plongée. L'horreur, qui est fondamentalement affaire de transmission (contamination, héritage), jaillit de ce double geste de reprise.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Une réactualisation de la légende Candyman pour la société américaine d’aujourd’hui, qui hésite entre le littéral et l’allégorique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Produit par Jordan Peele, le réalisateur de « Get Out », cette version, à l’aune du mouvement Black Lives Matter, met en scène un peintre noir, chic et branché, qui emménage dans Cabrini-Green « gentrifié » et se prend de passion pour le Candyman. On perd en ambiguïté et en émotions ce qu’on gagne en esthétisme arty et sous-texte politique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas une réinvention, mais une relecture arty à la violence graphique qui suscite réflexion… Et frissons.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jean-François Rauger
Candyman cru 2021, avatar réussi du film d'horreur à sujet, réinterroge habilement le mythe d'origine à la lumière de l'évolution, notamment urbaine et sociale, de la société américaine.
Télérama
par Nicolas Didier
Même brouillon, le pamphlet atteint sa cible, en fustigeant un siècle de racisme aux États-Unis, du lynchage de descendants d’esclaves aux violences policières actuelles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmsactu
par Pierre Champleboux
En définitive, le Candyman de Nia DaCosta échoue à susciter la peur et à retrouver l’aura de son modèle. Et si on sent toutefois le respect des auteurs pour la franchise, on aurait aimé qu’ils en adoptent davantage les codes pour mieux les twister.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Nathanaël Bentura
Malgré de bonnes idées de mise en scène, cette suite au Candyman de 1992 tombe rapidement à plat.
Première
par François Léger
Résultat : Candyman oublie la tension et enchaîne mollement les scènes de meurtres stylisées (gentrifiées ?), inopérant dans sa quête du frisson ultime. De la black horror programmatique, pas si mal emballée mais essorée par son manque de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
Le nouveau film d'horreur de Nia DaCosta cherche à émuler la profondeur de l'original, mais finit par se perdre à trop vouloir être pertinent.
Critikat.com
par Josué Morel
Que Nia DaCosta et Jordan Peele, qui pilote le projet, souhaitent repolitiser l’horreur est une chose, mais la démarche mérite un peu plus d’attention que cette récupération maladroite et assez gênante d’un sujet brûlant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Si le film de Bernard Rose était un modèle de cinéma d'horreur percutant, politique et intelligent, cette réécriture de Nia DaCosta et de Jordan Peele n'est qu'une volonté rance d'alimenter les peurs collectives et les méfiances communautaires sous couvert de pop corn movie censément efficace.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Camille Nevers
Ce Candyman se fait surtout une publicité négative, poussant à revoir l’œuvre d’origine afin d’en vérifier la belle pérennité, la solidité, et l’intuition que cette « croûte » n’en est qu’une amphigourique resucée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Cette nouvelle version très réussie se révèle oppressante à souhait tout en délivrant un message de tolérance.
Ecran Large
Nia DaCosta s'inscrit avec fidélité et perversion dans la mythologie établie par le premier film, tout en étendant puis déclinant son discours sociétal avec une hargne étonnante. Porté par une mise en scène élégante et joliment inquiétante, le film n'assume toutefois pas assez la trivialité de son monstre, ainsi que la violence ambivalente et spectaculaire que son concept appelle.
Le Journal du Dimanche
Le récit devient politique, en se servant du croque-mitaine pour dénoncer le racisme ordinaire et les violences policières. Tout en distillant une mise en scène intelligente et visuellement sublime, avec un théâtre d'ombres et un jeu de miroirs pour perpétuer le mythe.
Le Parisien
Mais ce "Candyman" n’oublie pas non plus d’être un divertissement, délivrant son quota régulier de frissons et de passages macabres, après un lancement un peu longuet.
Les Fiches du Cinéma
Nia DaCosta revisite la mythologie du film de Bernard Rose avec conviction : s’il est moins effrayant, son Candyman est radicalement politique.
Mad Movies
Captivant sur le fond, le long-métrage se montre également très ludique dans son traitement du genre.
Télé Loisirs
Relecture maligne du film d'épouvante de 1992, cette nouvelle version de la légende du tueur au crochet prend une dimension plus sociale et politique, abordant des thématiques comme la gentrification, le racisme ou les violences policières.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène, souvent impressionnante, se pose dès le générique en miroir du film original, parcourant la ville non plus en une succession de plongées à pic mais en contre-plongée. L'horreur, qui est fondamentalement affaire de transmission (contamination, héritage), jaillit de ce double geste de reprise.
CinemaTeaser
Une réactualisation de la légende Candyman pour la société américaine d’aujourd’hui, qui hésite entre le littéral et l’allégorique.
L'Obs
Produit par Jordan Peele, le réalisateur de « Get Out », cette version, à l’aune du mouvement Black Lives Matter, met en scène un peintre noir, chic et branché, qui emménage dans Cabrini-Green « gentrifié » et se prend de passion pour le Candyman. On perd en ambiguïté et en émotions ce qu’on gagne en esthétisme arty et sous-texte politique.
La Voix du Nord
Pas une réinvention, mais une relecture arty à la violence graphique qui suscite réflexion… Et frissons.
Le Monde
Candyman cru 2021, avatar réussi du film d'horreur à sujet, réinterroge habilement le mythe d'origine à la lumière de l'évolution, notamment urbaine et sociale, de la société américaine.
Télérama
Même brouillon, le pamphlet atteint sa cible, en fustigeant un siècle de racisme aux États-Unis, du lynchage de descendants d’esclaves aux violences policières actuelles.
Filmsactu
En définitive, le Candyman de Nia DaCosta échoue à susciter la peur et à retrouver l’aura de son modèle. Et si on sent toutefois le respect des auteurs pour la franchise, on aurait aimé qu’ils en adoptent davantage les codes pour mieux les twister.
L'Ecran Fantastique
Malgré de bonnes idées de mise en scène, cette suite au Candyman de 1992 tombe rapidement à plat.
Première
Résultat : Candyman oublie la tension et enchaîne mollement les scènes de meurtres stylisées (gentrifiées ?), inopérant dans sa quête du frisson ultime. De la black horror programmatique, pas si mal emballée mais essorée par son manque de subtilité.
Rolling Stone
Le nouveau film d'horreur de Nia DaCosta cherche à émuler la profondeur de l'original, mais finit par se perdre à trop vouloir être pertinent.
Critikat.com
Que Nia DaCosta et Jordan Peele, qui pilote le projet, souhaitent repolitiser l’horreur est une chose, mais la démarche mérite un peu plus d’attention que cette récupération maladroite et assez gênante d’un sujet brûlant.
Culturopoing.com
Si le film de Bernard Rose était un modèle de cinéma d'horreur percutant, politique et intelligent, cette réécriture de Nia DaCosta et de Jordan Peele n'est qu'une volonté rance d'alimenter les peurs collectives et les méfiances communautaires sous couvert de pop corn movie censément efficace.
Libération
Ce Candyman se fait surtout une publicité négative, poussant à revoir l’œuvre d’origine afin d’en vérifier la belle pérennité, la solidité, et l’intuition que cette « croûte » n’en est qu’une amphigourique resucée.