Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Libération
par Olivier Lamm
[...] l’un des très beaux et plus inattendus films de Kurosawa depuis "Real" [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Une journaliste japonaise et son équipe télé errent en Ouzbékistan en attendant de trouver un animal rare. Kiyoshi Kurosawa s’amuse avec ce sujet aussi minimaliste que déconcertant et signe un pur film de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Un drôle de film acide sur une difficile rencontre de cultures.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Avec ce film composite, Kiyoshi Kurosawa brouille les pistes en proposant un portrait de femme en plus d’une fable angoissée et d’une réflexion sur sa propre démarche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
En changeant de registre, Kiyoshi Kurosawa continue d'explorer en creux, la crise identitaire qui s'empare d'une génération de Japonais, aliénés par leur travail, leur vide intérieur, leur déshumanisation progressive, broyée par la machine capitaliste. Ce film à connotation sociale et politique n'est jamais empêtré par son discours grâce à la mise en scène précise et inventive, qui ne se livre jamais totalement, conservant tout son mystère de l'interrogation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Le film tient comme par magie, sur un fil, tel un suspense intimiste. Avec en prime un petit côté Géo, dépaysant et instructif.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La mise en scène de Kiyoshi Kurosawa, toute de cadres amples et de mouvements soupirés, ne cesse de confronter son héroïne aux étendues qui la cernent, de guetter en elle une possible ouverture, une soudaine disponibilité à la beauté qui lui tend les bras.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce résidu magmatique des expérimentations burlesques et fantastiques de son auteur, sous ses contours de mélodrame du déracinement, renouvelle et dépoussière, par son économie d’effets et ses légères trouées anxieuses, un cinéma qui se risquait à l’anémie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Toujours aussi délicat et maître de sa mise en scène, jouant sans cesse des effets de couleur, de lumière, d’un simple souffle de vent dans les rideaux ou d'une belle chanson populaire, Kurosawa nous entraîne une nouvelle fois dans une histoire de fantômes (...), ici tout à fait intérieurs et tout aussi redoutables, sinon plus que les “vrais” fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une balade existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Yannick Vely
Le talent de Kiyoshi Kurosawa est de s'approprier l'exercice pour une oeuvre beaucoup personnelle qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Le propos ne nécessitait sans doute pas deux heures de métrage mais l’interprétation déchirante de « L’Hymne à l’amour » par Atsuko Maeda et l’épilogue surprenant confèrent au projet son charme doux.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kiyoshi Kurosawa, spécialiste des films fantastiques et auteur de la très belle mini-série "Shokuzai", inaugure ici, à travers cette jeune fille poursuivant sa vocation, un portrait inattendu, aussi drôle que délicat.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Damien Aubel
C'est sans doute ça le style : raconter légèrement une histoire grave...
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Yoko va à la rencontre d’elle-même et des autres, dans ce beau portrait de femme initiatique, filmé par un Kiyoshi Kurosawa plus sensible que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quoique mineure, cette œuvrette buissonnière de Kurosawa est plus digeste que son impossible Secret de la chambre noire, caricature made in France de son cinéma d’épouvante habituel, dont on aimerait qu’il retrouve le (droit) chemin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Considéré un peu hâtivement comme l’actuel maître nippon du fantastique, l’inégal Kiyoshi Kurosawa (« Invasion », 2017) se risque à la comédie. Et réussit son insertion en dépit d’une longueur peu justifiée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Avec cette sorte de Lost in Translation (film de Sophia Coppola de 2003) version ouzbek, Kiyoshi Kurosawa trousse un joli conte initiatique, plein de charme et de poésie. Il tient beaucoup à la présence lumineuse de l’actrice Atsuko Maeda dans le rôle de Yoko (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
En s’éloignant de chez lui, Kurosawa sonde l’âme japonaise. Il filme le déracinement et le choc culturel avec douceur et mélancolie le temps d’une épopée touchante, dans la veine de Lost In Translation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Une comédie dramatique lumi- neuse et souvent poétique.
Le Parisien
par La Rédaction
En plaçant son personnage principal dans une situation inconfortable et sans repères car « Au bout du monde », ce joli film du grand cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa oscille entre moments douloureux et scènes lumineuses, même si des longueurs et un propos parfois hermétique nuisent un peu à l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Louis Guichard
Malgré des fulgurances, qui attestent la signature d’un grand cinéaste, le film se cherche autant que son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Long-métrage singulier dans la filmographie de Kiyoshi Kurosawa, Au bout du monde ne manque pas de qualités formelles, même si la manière originale dont il laisse ouvert le champ des interprétations risque de dérouter certains spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par La Rédaction
Le récit d'une incompréhension culturelle un peu maladroite et beaucoup trop longue.
Première
par Thierry Chèze
L’héroïne ne finira par la comprendre qu’en s’égarant petit à petit jusqu’à se perdre tout à fait pour renaître différente. Une morale un brin pataude que l’on voit venir de loin tout au long de ces deux heures d’une longueur et d’une langueur poseuses, qui abîment les évidentes qualités d’interprétation et de réalisation du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
[...] l’un des très beaux et plus inattendus films de Kurosawa depuis "Real" [...].
Bande à part
Une journaliste japonaise et son équipe télé errent en Ouzbékistan en attendant de trouver un animal rare. Kiyoshi Kurosawa s’amuse avec ce sujet aussi minimaliste que déconcertant et signe un pur film de mise en scène.
Cahiers du Cinéma
Un drôle de film acide sur une difficile rencontre de cultures.
Critikat.com
Avec ce film composite, Kiyoshi Kurosawa brouille les pistes en proposant un portrait de femme en plus d’une fable angoissée et d’une réflexion sur sa propre démarche.
Culturopoing.com
En changeant de registre, Kiyoshi Kurosawa continue d'explorer en creux, la crise identitaire qui s'empare d'une génération de Japonais, aliénés par leur travail, leur vide intérieur, leur déshumanisation progressive, broyée par la machine capitaliste. Ce film à connotation sociale et politique n'est jamais empêtré par son discours grâce à la mise en scène précise et inventive, qui ne se livre jamais totalement, conservant tout son mystère de l'interrogation.
Femme Actuelle
Le film tient comme par magie, sur un fil, tel un suspense intimiste. Avec en prime un petit côté Géo, dépaysant et instructif.
Le Monde
La mise en scène de Kiyoshi Kurosawa, toute de cadres amples et de mouvements soupirés, ne cesse de confronter son héroïne aux étendues qui la cernent, de guetter en elle une possible ouverture, une soudaine disponibilité à la beauté qui lui tend les bras.
Les Fiches du Cinéma
Ce résidu magmatique des expérimentations burlesques et fantastiques de son auteur, sous ses contours de mélodrame du déracinement, renouvelle et dépoussière, par son économie d’effets et ses légères trouées anxieuses, un cinéma qui se risquait à l’anémie.
Les Inrockuptibles
Toujours aussi délicat et maître de sa mise en scène, jouant sans cesse des effets de couleur, de lumière, d’un simple souffle de vent dans les rideaux ou d'une belle chanson populaire, Kurosawa nous entraîne une nouvelle fois dans une histoire de fantômes (...), ici tout à fait intérieurs et tout aussi redoutables, sinon plus que les “vrais” fantômes.
Marie Claire
Une balade existentielle.
Paris Match
Le talent de Kiyoshi Kurosawa est de s'approprier l'exercice pour une oeuvre beaucoup personnelle qu'il n'y paraît.
Positif
Le propos ne nécessitait sans doute pas deux heures de métrage mais l’interprétation déchirante de « L’Hymne à l’amour » par Atsuko Maeda et l’épilogue surprenant confèrent au projet son charme doux.
Sud Ouest
Kiyoshi Kurosawa, spécialiste des films fantastiques et auteur de la très belle mini-série "Shokuzai", inaugure ici, à travers cette jeune fille poursuivant sa vocation, un portrait inattendu, aussi drôle que délicat.
Transfuge
C'est sans doute ça le style : raconter légèrement une histoire grave...
Franceinfo Culture
Yoko va à la rencontre d’elle-même et des autres, dans ce beau portrait de femme initiatique, filmé par un Kiyoshi Kurosawa plus sensible que jamais.
L'Humanité
Quoique mineure, cette œuvrette buissonnière de Kurosawa est plus digeste que son impossible Secret de la chambre noire, caricature made in France de son cinéma d’épouvante habituel, dont on aimerait qu’il retrouve le (droit) chemin.
L'Obs
Considéré un peu hâtivement comme l’actuel maître nippon du fantastique, l’inégal Kiyoshi Kurosawa (« Invasion », 2017) se risque à la comédie. Et réussit son insertion en dépit d’une longueur peu justifiée.
La Croix
Avec cette sorte de Lost in Translation (film de Sophia Coppola de 2003) version ouzbek, Kiyoshi Kurosawa trousse un joli conte initiatique, plein de charme et de poésie. Il tient beaucoup à la présence lumineuse de l’actrice Atsuko Maeda dans le rôle de Yoko (...).
Le Figaro
En s’éloignant de chez lui, Kurosawa sonde l’âme japonaise. Il filme le déracinement et le choc culturel avec douceur et mélancolie le temps d’une épopée touchante, dans la veine de Lost In Translation.
Le Journal du Dimanche
Une comédie dramatique lumi- neuse et souvent poétique.
Le Parisien
En plaçant son personnage principal dans une situation inconfortable et sans repères car « Au bout du monde », ce joli film du grand cinéaste japonais Kiyoshi Kurosawa oscille entre moments douloureux et scènes lumineuses, même si des longueurs et un propos parfois hermétique nuisent un peu à l'ensemble.
Télérama
Malgré des fulgurances, qui attestent la signature d’un grand cinéaste, le film se cherche autant que son héroïne.
aVoir-aLire.com
Long-métrage singulier dans la filmographie de Kiyoshi Kurosawa, Au bout du monde ne manque pas de qualités formelles, même si la manière originale dont il laisse ouvert le champ des interprétations risque de dérouter certains spectateurs.
Ouest France
Le récit d'une incompréhension culturelle un peu maladroite et beaucoup trop longue.
Première
L’héroïne ne finira par la comprendre qu’en s’égarant petit à petit jusqu’à se perdre tout à fait pour renaître différente. Une morale un brin pataude que l’on voit venir de loin tout au long de ces deux heures d’une longueur et d’une langueur poseuses, qui abîment les évidentes qualités d’interprétation et de réalisation du film.