Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
lionelb30
436 abonnés
2 591 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 10 février 2020
Film dépaysant car on découvre en partie seoul et son aéroport...Le scenario est un peu tire par les cheveux mais on s'attache quand mème a ce personnage un peu naïf qui va jusqu'au bout des choses
L'intérêt du film tient en deux mots: Alain Chabat. S'il n'y avait pas sa bouille lunaire et son tempérament iconoclaste pour porter le film, on ne trouverait pas grand intérêt à cette histoire qui s'efforce d'étirer en péripéties incongrues un parcours initiatique en mode "retour sur soi", avec choc des cultures. Par la magie de son acteur principal, le film finit par fonctionner et suscite de belles séquences, même si tout cela semble un peu trop prévisible.
Éric lartigau signe un film d'une lenteur et d'une platitude inexplicable et incompréhensible. Déjà le scénario sur lequel repose le film est bien mince et de plus il est étiré au possible du coup on assiste à un enchaînement de scènes inintéressantes et même parfois presque grotesques comme lorsqu'il se met à cuisiner dans les cuisines de l'aéroport. On assiste à une sorte de Lost in translation la poésie en moins, The terminal l'intérêt en moins du coup il ne reste que l'ennuie. Alain Chabat ne suffit pas à donner de l'intérêt à ce film qui est dénué de sens.
Difficile de savoir ou le réalisateur veut en venir. On attend ce fameux déclic qui s’avère être finalement décevant. Il y a une grosse inspiration Lost In Translation dans certains moments de mise en scène. Sauf que ça ne raconte rien, en fait. Il y a une espèce de délire autour du fait que le héros gagne de la popularité sur Instagram grâce à différent truc qu'il fait mais ça n'apporte rien de concret à l'histoire. Tout le reste est d'une platitude absolue, ce n’est jamais drôle, jamais touchant et quand il y a, enfin, un retournement de situation qui aurait pu apporter quelque chose, c'est balayé d'un revers de la main. 2,5
Les personnages de solitaire au cinéma, font souvent échos à une sorte d'universalité. Qui n'a pas rêvé de tout quitter pour une femme au bout du monde, qu'on connaît à peine par les réseaux sociaux, en vertu de tout ce que pourra penser son entourage ? C'est un peu le postulat du film, et c'est tendrement bon. J'adhère encore plus à l'idée qu'ill reste sur son idée fixe et l'attends désespérément dans l'aéroport. Il s'immisce dans la vie d'une inconnue malgré elle, naïvement, sans prendre aucune garantie qu'elle acceptera le dénouement. Moins fan de la fin qui tourne autour de la réunification père/fils, j'aurai presque aimé voir le film osé parler de cette histoire envers et contre tous. Cela aurait été un autre film, surement oui.
Six années après « La Famille Bélier », Éric Lartigau revient avec « #JeSuisLà », une jolie comédie familiale. On y suit le parcours de Stéphane, père de famille divorcé et chef cuisinier, un peu old school, pas très bavard mais pas malheureux non plus, qui se prend d’amour pour une femme coréenne via les réseaux sociaux. Le réalisateur nous embarque dans cette amourette; du premier sourire béat, en passant par les papillons dans le ventre, jusqu’à la rencontre avec Soo, qui ne se passe pas comme prévue.
Éric Lartigau aborde plusieurs sujets dans son films: le retour à soi-même, le pouvoir et l’impact des réseaux sociaux, les différences de cultures, la sexualité, et la tendresse bienveillante qu’il peut y avoir dans des couples séparés/divorcés. Cependant, les messages sont parfois flous et difficiles à réceptionner en tant que téléspectateur. Certains moments sont, pour moi, pas assez approfondis et deviennent de ce fait optionnels.
#JeSuisLà reste malgré tout, un joli Feel Good Movie à regarder en famille. On s’y balade agréablement, grâce à un casting de qualité, une photographie réussie, et à des paysages français et sud coréens aussi séduisants les uns que les autres.
PS: Vous y apprendrez la notion de « Nunchi », le superpouvoir coréen du bonheur et du succès (dixit Google est notre ami).
Très joli film qui ne cherche pas à faire dans l'extravagance ou la scène tire-larme à tout prix. On a droit ici à une invitation simple au voyage, au Carpe Diem, au laisser-aller. Une sympathique histoire de rencontres, de voyage et de découvertes, où l'on ne cherche rien d'autre que Vivre et profiter simplement de l'instant présent. Une histoire banale mais d'actualité, qui mélange habilement vie numérique et vie réelle. Porté par un Chabat au top de sa forme pour ne pas changer. Il est le principal élément de la réussite du film, c'est toujours le même plaisir de le retrouver à l'écran. Superbement filmé et très justement interprété, un très bon moment à ne pas manquer
Stéphane est bien entouré avec ses deux fils, son ex-femme, ses amis et son restaurant. Mais sa vie, du moins le ressent-il, manque de piment. Ce petit quelque chose en plus, il le trouve dans ses échanges avec Soo, sud-coréenne. Lorsqu’il décide sur un coup de tête de prendre l’avion pour Séoul, il ne se doute que sa vie va changer. #Je suis là a pour moi un seul défaut majeur, le #... Plutôt introspectif comme film, l’association outrancière des réseaux sociaux est inutile. Ses interactions avec une série de personnages sympathiques et gentils ne dépendent pas vraiment de ce qu’il publie sur les réseaux sociaux. Passé cette constatation, il faut bien admettre que le film est beau, beau dans ce qu’il raconte, beau dans la naïveté de Stéphane. Alain Chabat est un acteur accompli capable de faire un rire tout en étant touchant. Son personnage a dans le regard une fragilité assumée. Il assume totalement sa situation. Avec #Je suis là, Eric Lartigau signe un film plus profond qu’il n’y paraît et remet en cause les envies d’ailleurs de tout un chacun.
J'aime bien Chabat mais force est de reconnaître que cette comédie dramatique, sans être déplaisante, tourne un peu en rond, avec quelques grosses ficelles. ce film traîne son spleen, comme le sparadrap du capitaine Haddock, et faut aimer....C'est pas nul, mais ça vaut non plus les hourras de la foule. Reste un Alain Chabat, toujours très juste
Une sorte de "lost in translation" à la française, mais sans happy end nI réelle réflexion sur ces pseudos amours qui se tissent à distance entre deux êtres que tout oppose et que l'électronique engaillardit artificiellement. L'idée est jolie et le début, qui traîne en longueur d'emblée, laisse envisager une sorte de "belle et la bête", un Orphée des temps modernes. Alaîn Chabat, avec sa soutenable légèreté de l'être, émeut, attendrit, distrait... Mais tout cela ne décolle pas et ce qui aurait pu être un Roméo et Juliette cybernétique devient un fiasco, une pantalonnade, un vaudeville qui s'effondre dans des retrouvailles familiales plates et ternes. A la vérité, ce que l'une fait à l'autre, qui tue leurs rêves partagés, est un affront que nul ne souhaite vivre et cela rend l'histoire encore plus décevante.
L'interprétation de Chabat ne suffit pas à sauver ce film. Je ne peux pas dire qu'il s'agit d'un mauvais film, mais j'attends toujours que ça démarre. Le seul bon côté est que cela m'a donné envie de découvrir la Corée.
Une comédie ?! non on ne peux pas appeler ça une comédie loins de la car qu'elle scène bien qui sont souriante et d'autres plutôt bonne mais pas drôle car ça ne l'ai pas . Un film romantique oui plutôt car une bonne comédie romantique mais sans plus Alain Chabat et plutôt bon comme l'actrice Coréenne mais le reste des acteur français pas terrible. Un homme qui discuté sur instagrame avec une femme coréenne a propos de la nature et les arbres au bout de plusieurs mois de dicution il décide de partir en Corée la rencontrer elle lui promet de venir le chercher à l'aéroport mais quand il arrive elle n est pas la et ne répond pas à sont message il va la chercher et il va lui arriver pleins de chose farfelue . Un film français qui met en vedette la Corée mais qui en montre que très peux finalement c'est frustrant.
La cinquantaine est également une crise existentielle qu'il faut donc passer, subir ou (sur)vivre. L'occasion définitive et salvatrice d'être enfin en accord avec soi-même? Et si cette étape régénératrice s'accompagne d'une maîtrise incontrôlable des réseaux sociaux, qui permet à cette génération discrète et investie qui les découvre de prouver aux yeux du monde qu'elle existe et vit également. Voilà donc le pitch de cette comédie rafraîchissante et sincère, qui sait manier les standards français dans l'art de la comédie, en lui donnant un réalisme et une modernité étonnante et authentique. La partie coréenne est la plus réussie, apportant une prise de recul au récit, et de jolis moments de comédie, particulièrement dans la confrontation et l'échange de deux modes de vie et de coutumes bien différents. "#JeSuisLà" lorgne beaucoup sur le "Terminal" de S.Spielberg et sur "Lost In Translation" de S.Coppola, et sans être un film percutant, sillonne son identité un peu empreinte avec un plaisir évident. A.Chabat y est magistral, jouant de subtilité, de naturel, de drôlerie, de détresse et de beaucoup de tendresse: à défaut d'une performance à César, une performance de coeur. E.Lartigau réalise un film d'une jolie sensibilité, pas toujours égal dans la longueur, mais solide dans sa volonté de surprendre par la simple et spontanée affection qu'il nous transmet.
J'ai adoré ce film ! Vraiment excellent ! Et à plus d'un titre : il donne l'exemple d'être toujours en bonhommie face aux événements de la vie qu'on ne maîtrise pas, il donne l'exemple d'être toujours en harmonie avec les autres, surtout avec ceux dont on ne parle pas la même langue, dont on n'a pas la même culture, il donne l'exemple d'être toujours enthousiaste devant les beautés du monde, il donne l'exemple sur la patience mais aussi sur le lâcher-prise, il donne l'exemple sur l'indulgence... Je pourrais en écrire des lignes ! Vraiment excellent ! Grand merci !!!
Une comédie douce amère qui ressemble plus à une interrogation sur la virtualisation des relations humaines et leur froideur. Chabat campe un personnage plutôt désabusé qui va errer à la recherche d'un idéal virtuel. Tout le casting tient bien le film auquel on ne peut reprocher qu'un manque de rythme.