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Aouniamina
1 critique
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0,5
Publiée le 7 février 2021
C' est malheureusement un mélange insignifiant et maladroit de Terminal ( film de Steven Spielberg avec Tom Hanks sorti en 2004 ) avec Lost in translation ( film de Sofia Coppola avec Bill Murray sorti en 2004 )
Beaucoup aimé , Alain Chabat formidable film singulier, tendre et drôle Belle découverte de la Corée du Sud Ce film dénonce les illusions et désillusions des réseaux sociaux !
Tout d'abord dire que j'aime beaucoup Alain Chabat et que j'ai apprécié certains films d'Eric Lartigau mais j'ai trouvé celui-ci assez faible. Peu d'humour et/ou de poésie dans les interactions, la Corée joue les utilités et quand Alain Chabat erre tout seul dans l'aéroport de Séoul on a l'impression de le voir jouer le chien Didier....
Une note moyenne, pas à la hauteur du tendre et brillant Alain Chabat qui illumine pourtant le film par son talent. Blanche Gardin y est hélas transparente. Malgré tous les ingrédients, ce film n'a pas réussi à m'emmener. Dommage...
Une vraie déception 😩. Je pensais qu Alain Chabat nous emmènerait dans de la profondeur par rapport au sujet. Erreur... Il ne se passe rien, rien, rien😩😩😩. On passe 3 quart d’heure dans l aéroport de Séoul! Totalement inintéressant A éviter .
ce film d Alain Chabat est comme un mauvais boeuf bourguignon, mettre des navets a la place des carotte, c est pathétique ! autant faire une soupe de navets ;)
Film fade. On cherche de saisir l'essence du film qui est inexistante. Le type qui ne sort pas de l'aéroport parce qu'il a peur di vivre, c'est une idée banale qui est au centre du film. D'ailleurs qui a fait ce film ne connaît absolument pas la culture coréenne. À éviter.
La frontière entre le virtuel et le réel semble inexistante de nos jours avec les réseaux sociaux et pourtant elle est bien présente. C'est ce que va découvrir Stéphane, un restaurateur au Pays Basque, qui décide de tout plaquer pour partir en Corée pour rejoindre une femme avec qui il échange depuis plusieurs semaines sur Instagram. C'est déjà assez dur dans la vie d'avoir la certitude des sentiments de quelqu'un alors à travers les réseaux sociaux... Il peut toujours y avoir du positif derrière une déception et c'est exactement ce qu'Éric Lartigau essaie de montrer avec son film. Si tout ne passe pas comme il l'aurait espéré, Stephane va quand même vivre une sacrée expérience là-bas. Et en parlant d'expérience, le long moment au sein de l'aéroport de Séoul est particulièrement réussi. Dans le même style que Steven Spielberg avec "The Terminal", ces instants de vie dans un nouveau pays, mais dans une sorte de bulle, sont attendrissants et pleins d'humanité. Alain Chabat est particulièrement génial. On a presque envie de le voir prendre une caméra et partir à l'aventure. Il est chaleureux, sociable et attachant. Finalement, c'est la romance en elle-même qui est décevante et gâche presque le film. J'ai beaucoup aimé les scènes avec les fils et c'est à se demander si le film n'aurait pas été mieux avec un simple voyage père-fils. Au final, "#JeSuisLà" est un joli petit film bien qu'un peu inégal.
En une poignée de longs-métrages, Éric Lartigau s'est taillé une réputation d'auteur de comédies populaires. Ce qui ne doit pas occulter une tendance à mélanger légèreté avec des personnages en crise ou laissés de côté (cf. La Famille Bélier, Prête-moi ta main). #Jesuislà s'inscrit dans la continuité du cinéma de Lartigau avec Stéphane. Cuisinier divorcé, partagé entre son restaurant et ses deux fils, le fringant divorcé n'est pourtant jamais totalement avec eux. Il rêve d'un ailleurs, et cet ailleurs il le trouve sur les réseaux sociaux en la charmante compagnie de Soo en Corée du sud. Puis un jour, il décide de franchir le pas et d'abolir les 12.000 kilomètres qui les séparent. Sur sa première partie, #Jesuislà fait preuve de jolies idées de mise en scène, en intégrant les messages, captures d'écrans et photographies à la vie de Stéphane, une manière simple mais classieuse de résumer son quotidien et la place occupée par cette "escapade". Comme une bulle confortable mais qui le coupe légèrement de sa vie en vrai. L'hyper-connexion tel un Janus dont il faut accepter les deux faces aussi opposées qu'indissociables. La deuxième partie évoque un Lost in Translation distrayant mais longuet. Les diverses rencontres et interactions provoquées par Stéphane amusent mais je me demande où le réalisateur veut se (nous?) perdre. Hélas, c'est une fois qu'il révèle où il veut en venir que le film me perd. En dehors du message habituel qui invite à allumer ses chakras et éteindre son portable, le film raccroche maladroitement les wagons avec son introduction pour conclure tout aussi étrangement. Reste qu'avoir Alain Chabat comme guide touristique est un privilège dont on ne saurait se priver. J'aurais cependant aimé que le voyage soit aussi agréable que lui.
Tirer un scénario à partir d’un fil conducteur reposant sur les nouvelles techniques de la communication, captures d’écran et d’image à l’appui pour rythmer, n’est plus quelque chose de nouveau. L’idée de départ et la promesse de cette histoire restent toutefois originales. Du virtuel au réel, la rencontre ne va pas se passer comme prévu. C’est ça le thème. Le problème, c’est que de ce fait il ne se passe plus grand-chose. Le scénario essaye de meubler par la découverte d’un autre monde, la Corée (du Sud) sur fond de choc culturel. Mais ça reste très superficiel et de peu d’intérêt cinématographique. Un film qui se laisse toutefois regarder parce qu’on en attend quelque chose, qu’on n’aura finalement pas.
Surprenant, voilà un moment très agréable tout en douceur. Plaisir de voir Alain Chabat aussi beau à l'écran. Admirable travail du directeur de la photographie Laurent Tanguy. Regrettable que la mise en scène d'Eric Lartigau ne soit pas totalement au rendez-vous. Comme il est décevant le peu de présence à l'écran de Bona Bae, la faute à un scénario lost in translation de la vie. Boulevardducinema.com
Excellent qui film qui ne va pas où on l'attend, et c'est tant mieux. #jesuislà est, pour moi, à la fois tendre, sensible et mélancolique. Le film m'a captivé de début à la fin et surpris par son originalité. J'ai pensé parfois au film "Lost in Translation" qui évoquait des sentiments et des situations similaires dans une autre capitale d'Asie. J'ai aussi pensé à David Lynch pour le mystère et une certaine ambiance onirique. Ce film fût un beau voyage.