Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une fable touchante.
20 Minutes
par Caroline Vié
Alain Chabat sait faire rire mais pas seulement… Il en livre une démonstration éclatante dans #Jesuislà d' Eric Lartigau qui l’avait déjà dirigé dans Prête-moi ta main (2006).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par P.J.
Un film humain, qui rend heureux et donne envie de prendre illico un billet d'avion pour la Corée.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le scénario reste un peu suspendu (le spectateur n'obtient pas de réponses à toutes ses questions…), mais Alain Chabat apporte à son personnage tellement de tendresse et de poésie qu'il nous embarque dans ce voyage plein de charme et d'imprévu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Avec un humour grinçant et une sensibilité aigüe, Eric Lartigau met en scène un personnage perdu en terre étrangère, en proie à l’ultra-moderne solitude et à un vacillement identitaire du genre king size.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Etonnant mais charmant.
Positif
par Philippe Rouyer
Cette errance, émaillée de belles rencontres avec des seconds rôles hauts en couleur, rappelle d'autres films en huis clos dans les aéroports [...] mais la personnalité d'Alain Chabat [...] apporte une réelle douceur à cet ensemble qui transforme les virtualités chimériques d'Internet en réalités aussi concrètes qu'imprévues.
Première
par Thierry Cheze
Un "Lost in Seoul" aussi délicat qu’attachant, porté par un magistral Alain Chabat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Le film de Lartigau déjoue les codes de la comédie efficace pour s’aventurer dans des zones plus risquées et incertaines, bien épaulé par le jeu de l’excellent Chabat en mode #JeSuisPaumé.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Mais ce visage de femme, joliment incrusté à l’image par Éric Lartigau comme un nuage dans le ciel, et l’ivresse des cerisiers lui ouvriront la plus souriante des perspectives de retour dans son Sud-Ouest originel : être enfin soi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Une aventure sentimentale singulière, tendre et drôle.
Bande à part
par Chloé Révas
Éric Lartigau envisage Alain Chabat dans le rôle d’un Don Quichotte des temps modernes, envoûté par le chant des sirènes qu’émettent les réseaux sociaux. #Jesuislà, sous ses airs de fausse comédie romantique, interroge la nouvelle Carte de Tendre régie par le virtuel et revêt des atours de fable métaphysique.
Closer
par La Rédaction
Commence alors une aventure pépère (mémère ?!) dans laquelle Chabat assure heureusement comme un chef (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce qui sauve #Jesuislà de l’ennui ? Le grand Alain Chabat, qu’on pourrait liker sans fin : #drôle, #sympa, #attendrissant : #jesuisfan.
Ecran Large
par Simon Riaux
Après des débuts poussifs et de gros creux narratifs, "#JeSuisLà" donne les clefs à Alain Chabat, qui peut dès lors nous offrir un festival de touchant cabotinage. Parfaitement dispensable mais pas fondamentalement déplaisant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"#JeSuisLà" porte bien son titre, en traduisant le désir de Stéphane d'exister aux yeux du monde, tout en dénonçant les illusions et désillusions des réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Le nouveau film d'Eric Lartigau part bien, flotte pendant un bon moment et se plante dans sa dernière partie.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Une « mélancomédie » fuyante et légère, une ode chaleureuse au pas de côté, par le réalisateur de « la Famille Bélier ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Crinière blanche au vent, Alain Chabat apporte tout son charme à cette fable délicate et bien vue sur le temps qui passe et les mirages trompeurs d’une société virtuelle. On aime son errance dans l’aéroport de Séoul, quelque part entre Le terminal et Lost in translation. Moins les retrouvailles convenues et touristiques avec ses fils.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le parti pris a la vertu de laisser Alain Chabat imprimer cette énergie enfantine, touchante, dont il a le don. Le scénario d’Eric Lartigau et de Thomas Bidegain a été écrit pour lui. L’acteur l’honore d’une présence aussi fragile que puissante.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Éric Lartigau revient avec une comédie douce-amère sur un cuisinier basque qui grâce à Instagram se passionne pour la Corée. Porté par Alain Chabat, le long métrage se savoure comme une friandise sucrée. C’est charmant mais pas indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
S'il accuse une baisse de régime à mi-parcours, ce joli film, à la fois léger et profond par son questionnement sur l'interférence des réseaux sociaux avec nos vies, séduit par son originalité et son charme dépaysant [...].
Télé Loisirs
par Claire Picard
Alain Chabat [...] porte avec sincérité cette comédie douce-amère sur les mirages des réseaux sociaux.
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce film bancal du réalisateur de La famille Bélier, Alain Chabat compose un personnage très touchant de restaurateur en pleine crise de la cinquantaine qui part à Séoul retrouver une femme rencontrée sur les réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sud Ouest
par Sophie Avon
Alain Chabat fait au mieux. Le script ne lui facilite pas toujours les choses. Quant au Pays basque, il offre un cadre un peu trop touristique pour constituer un tremplin efficace.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Comédie numérique portée par un casting efficace et une mise en scène inventive, #JeSuisLà permettra au public familial de passer un moment divertissant, mais s’égare trop pour être pleinement convaincant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
On n’a qu’une envie, exploser son portable à coups de marteau. Cette nouvelle comédie d’Éric Lartigau ne décolle pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Eric Lartigau sature l’écran d’incrustations Instagram, une manie vraiment pas terrible. [...] Le film tombe dans la caricature pittoresque et les clichés limite racistes, quand il ne tourne pas tout simplement en rond.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par E. B.
Difficile de ne pas aimer un film avec Alain Chabat (...). Pourtant, on peine ici à s’intéresser à cette histoire de touriste au cœur brisé, coincé dans l’aéroport de Séoul, tout comme le film le devient dans son propre dispositif où les clichés culturels pittoresques - parfois racistes - vont bon train.
Télérama
par Jacques Morice
CONTRE : Le film se veut doux, pudique, rêveur. Il est surtout artificiel, invraisemblable et raté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Une fable touchante.
20 Minutes
Alain Chabat sait faire rire mais pas seulement… Il en livre une démonstration éclatante dans #Jesuislà d' Eric Lartigau qui l’avait déjà dirigé dans Prête-moi ta main (2006).
BIBA
Un film humain, qui rend heureux et donne envie de prendre illico un billet d'avion pour la Corée.
Le Parisien
Le scénario reste un peu suspendu (le spectateur n'obtient pas de réponses à toutes ses questions…), mais Alain Chabat apporte à son personnage tellement de tendresse et de poésie qu'il nous embarque dans ce voyage plein de charme et d'imprévu.
Marianne
Avec un humour grinçant et une sensibilité aigüe, Eric Lartigau met en scène un personnage perdu en terre étrangère, en proie à l’ultra-moderne solitude et à un vacillement identitaire du genre king size.
Ouest France
Etonnant mais charmant.
Positif
Cette errance, émaillée de belles rencontres avec des seconds rôles hauts en couleur, rappelle d'autres films en huis clos dans les aéroports [...] mais la personnalité d'Alain Chabat [...] apporte une réelle douceur à cet ensemble qui transforme les virtualités chimériques d'Internet en réalités aussi concrètes qu'imprévues.
Première
Un "Lost in Seoul" aussi délicat qu’attachant, porté par un magistral Alain Chabat.
Transfuge
Le film de Lartigau déjoue les codes de la comédie efficace pour s’aventurer dans des zones plus risquées et incertaines, bien épaulé par le jeu de l’excellent Chabat en mode #JeSuisPaumé.
Télérama
POUR : Mais ce visage de femme, joliment incrusté à l’image par Éric Lartigau comme un nuage dans le ciel, et l’ivresse des cerisiers lui ouvriront la plus souriante des perspectives de retour dans son Sud-Ouest originel : être enfin soi.
Voici
Une aventure sentimentale singulière, tendre et drôle.
Bande à part
Éric Lartigau envisage Alain Chabat dans le rôle d’un Don Quichotte des temps modernes, envoûté par le chant des sirènes qu’émettent les réseaux sociaux. #Jesuislà, sous ses airs de fausse comédie romantique, interroge la nouvelle Carte de Tendre régie par le virtuel et revêt des atours de fable métaphysique.
Closer
Commence alors une aventure pépère (mémère ?!) dans laquelle Chabat assure heureusement comme un chef (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce qui sauve #Jesuislà de l’ennui ? Le grand Alain Chabat, qu’on pourrait liker sans fin : #drôle, #sympa, #attendrissant : #jesuisfan.
Ecran Large
Après des débuts poussifs et de gros creux narratifs, "#JeSuisLà" donne les clefs à Alain Chabat, qui peut dès lors nous offrir un festival de touchant cabotinage. Parfaitement dispensable mais pas fondamentalement déplaisant.
Franceinfo Culture
"#JeSuisLà" porte bien son titre, en traduisant le désir de Stéphane d'exister aux yeux du monde, tout en dénonçant les illusions et désillusions des réseaux sociaux.
L'Express
Le nouveau film d'Eric Lartigau part bien, flotte pendant un bon moment et se plante dans sa dernière partie.
L'Obs
Une « mélancomédie » fuyante et légère, une ode chaleureuse au pas de côté, par le réalisateur de « la Famille Bélier ».
Le Journal du Dimanche
Crinière blanche au vent, Alain Chabat apporte tout son charme à cette fable délicate et bien vue sur le temps qui passe et les mirages trompeurs d’une société virtuelle. On aime son errance dans l’aéroport de Séoul, quelque part entre Le terminal et Lost in translation. Moins les retrouvailles convenues et touristiques avec ses fils.
Le Monde
Le parti pris a la vertu de laisser Alain Chabat imprimer cette énergie enfantine, touchante, dont il a le don. Le scénario d’Eric Lartigau et de Thomas Bidegain a été écrit pour lui. L’acteur l’honore d’une présence aussi fragile que puissante.
Les Fiches du Cinéma
Éric Lartigau revient avec une comédie douce-amère sur un cuisinier basque qui grâce à Instagram se passionne pour la Corée. Porté par Alain Chabat, le long métrage se savoure comme une friandise sucrée. C’est charmant mais pas indispensable.
Télé 7 Jours
S'il accuse une baisse de régime à mi-parcours, ce joli film, à la fois léger et profond par son questionnement sur l'interférence des réseaux sociaux avec nos vies, séduit par son originalité et son charme dépaysant [...].
Télé Loisirs
Alain Chabat [...] porte avec sincérité cette comédie douce-amère sur les mirages des réseaux sociaux.
La Croix
Dans ce film bancal du réalisateur de La famille Bélier, Alain Chabat compose un personnage très touchant de restaurateur en pleine crise de la cinquantaine qui part à Séoul retrouver une femme rencontrée sur les réseaux sociaux.
Sud Ouest
Alain Chabat fait au mieux. Le script ne lui facilite pas toujours les choses. Quant au Pays basque, il offre un cadre un peu trop touristique pour constituer un tremplin efficace.
aVoir-aLire.com
Comédie numérique portée par un casting efficace et une mise en scène inventive, #JeSuisLà permettra au public familial de passer un moment divertissant, mais s’égare trop pour être pleinement convaincant.
Le Figaro
On n’a qu’une envie, exploser son portable à coups de marteau. Cette nouvelle comédie d’Éric Lartigau ne décolle pas.
Les Inrockuptibles
Eric Lartigau sature l’écran d’incrustations Instagram, une manie vraiment pas terrible. [...] Le film tombe dans la caricature pittoresque et les clichés limite racistes, quand il ne tourne pas tout simplement en rond.
Marie Claire
Difficile de ne pas aimer un film avec Alain Chabat (...). Pourtant, on peine ici à s’intéresser à cette histoire de touriste au cœur brisé, coincé dans l’aéroport de Séoul, tout comme le film le devient dans son propre dispositif où les clichés culturels pittoresques - parfois racistes - vont bon train.
Télérama
CONTRE : Le film se veut doux, pudique, rêveur. Il est surtout artificiel, invraisemblable et raté.