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Cinéphiles 44
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4 208 critiques
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2,0
Publiée le 23 novembre 2018
Olga est une adulte obnubilée par sa promotion. Du jour au lendemain elle apprend qu’elle se fait virer. Tentant de s’accrocher à ce qui lui reste de joie de vivre, elle télécharge de multiples applications sur sa tablette pour guider sa vie. Cette dernière la pousse à Royan pour tenter une reconversion professionnelle et peut-être trouver l’amour. Elle y embarque sa meilleure amie. Ce premier long-métrage est un film de fille qui respire l’énergie positive. Malheureusement, à être devant et derrière la caméra, Elena Cosson Kizilova fragilise son film par de nombreuses maladresses. Le jeu des actrices, la façon de filmer, la mise en musique et le rythme de l’histoire font parfois peine à voir et résonnent alors dans l’amateurisme. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Consternant. Film nullissime du début à la fin. Au secours. Scénario incohérent avec des scènes bizarres et sans lien entre elles qui s'enchaînent. Actrices débutantes, pour l'une qui n'articule pas et est incompréhensible, et pour l'autre qui rit tout le temps sans raison. Tout cela fait hélas peine à voir. Je n'ai jamais vu un tel navet. Attention, les notes à 4,5 et 5 sur ce site sont manifestement données par des amis de la réalisatrice et ne correspondent à rien de sérieux.
très bonne comédie, beaucoup de fraicheur et de spontanéité, le duo blonde et la brune fonctionne très bien. La scène de la banque virtuelle me fait réfléchir sur ce monde de demain...
vu en avant première première à Saintes, comédie très fraiche et rythmée , un duo de blonde/brune fonctionne très bien. une scène de banquière virtuelle qui interpelle sur le monde de demain.
Parisien d'adoption, mais Royannais d'origine, le titre ne pouvait que chatouiller ma curiosité. Le ticket en poche, me voilà installé au Lucernaire -toujours un plaisir d'aller dans ce cinéma, un des très bons indépendants de Paris. Une partie de l'équipe est présente, généreuse et joyeuse. Joyeuse, comme l'affiche l'est, et piquante. Le ton est donné. Le duo d'actrices principales, pétillant et coloré, nous entraîne dans ses tribulations de Paris à Royan via Moscou. En quête de sens pour l'une, de soleil et de "beaux mecs" pour sa complice, les voilà embarquées dans le même bateau -voiture- filant à vive allure vers le même rêve d'un bel été. Qui n'a, évidemment, pas le même visage pour chacune d'elle. Quoique, rien n'est si simple... Entre quiproquos, scènes drôles et moments touchants, on se laisse prendre par ces deux filles rieuses et mieux encore: à les aimer. Les -jeunes- producteurs parlent de leur film comme d'un "feel good movie", c'est tout-à-fait ça: ils nous allume le sourire, sans se prendre au sérieux. Quand de plus on sait qu'il s'agit d'un premier film, on ne voit plus les inévitables petits défauts. Ça n'est pas parfait, mais c'est bon. Et c'est bien.
J'ai eu la chance de voir ce film en avant-première au cinéma Saint André des arts. Les actrices sont excellentes, le film est drôle. A voir absolument
Vu à l' avant première ! 2 jeunes producteurs 1 jeune réalisatrice et 2 jeunes comédiennes. Une belle réussite rafraichissante pour ce premier film. On suit avec le sourire les pérégrinations des 2 actrices principales. émotion et humour les accompagnent ainsi que quelques rôles secondaires dans des séquences désopilantes.
Cette petite comédie réussie renouvelle le genre du film de plage. Avec un rythme qui rappelle le De Broca des débuts, celui du Farceur, et un sens du montage où nécessairement on verra l'influence d'Eisenstein, Elena Cosson Kizilova virevolte, telle Kate Hepburn chez Hawks et Cukor (Vacances !), ou Barbara Stanwick en Lady prise au piège chez Preston Sturges. Et que dire de la féline Donia Eden, dans une visite au zoo en forme d'hommage à Jacques Tourneur... Naturellement, ce marivaudage n'évite pas tous les écueils des premiers films. On oubliera la règle des 3 unités. Le scénario surchargé hésite entre la sérénade à trois (dans laquelle, hélas, l'interprète masculin détonne - on est bien loin de Jules et Jim, et n'est pas Cary Grant ou Gary Cooper qui veut, ni même Jean-Pierre Cassel ou Bébel...), le road movie / voyage initiatique d'Est à l'Ouest, le thriller fantastique façon Richard Matheson, la critique heideggerio-andersienne de la technique… et l'histoire d'une vocation bien proustienne comme chez nous (scène de flash back pour le coup fort réussie). Un brin de vulgarité en trop - parfois à mi-chemin entre Max Pecas et Rohmer. Une musique omniprésente au départ, et qui, heureusement s'efface peu à peu. Mais toutes ces critiques s'effacent au détour d'une saynète à la campagne. Ira-t-on jusqu'à penser que la réalisatrice a été bénie par Alfred Hitchcock lui-même (The farmer's wife / Laquelle des Trois) ? Car, et c'est là la magie du cinéma, ce badinage sans guère de moyens et avec juste ce qu'il faut de prétention (ou l'inverse), fonctionne et se laisse voir avec plaisir. Expérience sans lendemain ou naissance d'une nouvelle grande aventure du septième art ? Moscou ou Royan ? Qui sait ?
Mail quel plaisir ! Une comédie drôle originale et vivante Un duo de jeunes femmes qui fonctionne super bien De l'humour et de la tendresse et pas seulement en version 2.0 !
vu hier à confolens, je ne m'attendais pas à me marrer autant! merci :) Le duo est très complice et complémentaire. un mélange de sérieux, de bonne rigolade sur un bon rythme et le temps passe très vite. un style moderne et quelques références aux comédies des années 80 en matière d'humour. je recommande !
Matha hier soir. une salle d'habitués un peu plus remplie que d'habitude. Une ambiance que je vois rarement sauf dans les grandes comédies populaires. pas de baisers, ni de femmes nues, ni de violence, ni d'armes. et pourtant un rythme soutenu, de la spontanéité , des rebondissements , de l'émotion . du tout public , a revoir avec plaisir sur le petit écran un dimanche soir!
Bonjour, J'ai assisté à l'avant-première par hasard et par ennui au lucernaire, mal m'en a pris! Ce film est un film écrit, réalisé, joué pour et par une seule et même personne dans le but de se faire valoir dans le monde du cinéma, remerciement aussi à son mari de producteur à la fin. Le scénario est vide et manque totalement de crédibilité, le jeu des acteurs est nul malgré tous les efforts que se donne Olga-Elena pour se faire la part belle, le film est un navet à vite oublier. Les faux commentaires montrent à quel point j'ai raison.
une Comédie qui se réinvente. Un style très naturaliste des comédiennes, assez rare pour être souligné. Elles nous embarquent à leur coté comme des gens joyeux et ordinaires qui aiment se châtier. Ce coté naturaliste permet de transmettre une vraie amitié, spontanée et fraiche. Un choix assumé de ne pas mettre de filles nues, de baisers volés ou romantiques dans une comédie? en ce sens la comédie est ailleurs, dans le parcours et le sujet qui nous concerne. Après le style, le sujet. Chaplin traitait déjà du progrès technique, un sujet universel mais qui selon son époque se matérialise de manière différente. Ici, on est en présence d'une Russe qui raisonne à la Française de manière très cartésienne! Premier pied de nez à la comédie! Pour faire, il faut tester, analyser et conclure. C'est le parcours initiatique d'Olga qui pense que le digital cassera ses craintes et l'aidera pour vivre enfin ses rêves. Elle n'y croit pas et veut donc tester si les applications seront demain des facilitateurs, mais pas que, apportant une certaine étique. Certaines scènes apporteront de la comédie de situation pour les uns et du grotesque pour les autres, mais cela à le mérite d'interpeller sur le fond du sujet, peut -etre un peu trop gentiment...? a voir surement et a analyser ou pas...!