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Wiseman filme le déclin d’une certaine Amérique sans jugement, comme une chose naturelle, comme on observe à l’automne les feuilles se flétrir et tomber des arbres.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Par cette insistance discrète du regard Wiseman parvient à déstabiliser la cohérence du mythe de l’américanité, et non simplement à le retourner, en y ramenant une part de mouvement, d’étrangeté surnaturelle qui fait se fissurer l’image d’un « monde » tournant sur lui-même.
Poursuivant sa monumentale entreprise documentaire entamée en 1967, Frederick Wiseman a filmé le quotidien d’une bourgade trumpiste du Midwest, avec une intelligence du détail qui l’exonère de tout jugement moral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La grande réussite de "Monrovia, Indiana" est d'être un grand film politique qui n'aborde jamais frontalement son sujet. Avec son sens de l'esquive non dénué d'humour, le cinéaste poursuit son impressionnant portrait de l'Amérique contemporaine et confirme que son dispositif est aussi pertinent au champ qu'à la ville.
Le documentariste américain s’y montre d’autant plus pénétrant qu’il se garde de tout manichéisme, témoignant d’un humanisme incurable quoique sans illusion. Dans ce monde fermé, étriqué, autarcique, il trouve aussi, malgré tout, une forme de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
À travers les rouages et rituels du quotidien de Monrovia, Frederick Wiseman saisit le fonctionnement en circuit fermé d’un microcosme qui, à son échelle, apporte un éclairage sur l’état d’esprit actuel des États-Unis.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dans "Monrovia, Indiana", Wiseman s'intéresse de très près au qotidien d’une petite ville rurale américaine, en plein coeur de l’Indiana. Sans jamais nommer Trump, son ombre n’en est que plus saillante à chaque séquence.
Entre les paysages grandioses et les kermesses pittoresques, une immersion fascinante pour un portrait nuancé, mais sans équivoque, de l’Amérique profonde. Terrifiant.
Infatigablement, Frederick Wiseman filme les paysages, les cieux, les troupeaux, les façades, les rues, les réunions de mairie. Des façons de faire la pizza, aux rituels les plus solennels, en passant par la chorale ou la mise en terre d’une des leurs, toute une existence se déploie et c’est fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Par le temps que s’accorde ce documentariste de 89 ans, son regard qui s’abandonne aux surprises de l’observation, et la longueur de ses plans, Wiseman nous montre cette Amérique de l’intérieur, trop souvent oubliée. Sans la juger. À chacun d’y voir ce qui saute aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Veaux, vaches, cochons, fermiers, prédicateurs, vendeurs d’armes ou de pizzas, retraités racontant leurs souvenirs au café, agents communaux discutant les problèmes locaux, l’existence quotidienne des 1400 habitants de Monrovia passe devant la caméra. Ils sont tranquilles, sans curiosité. Wiseman les considère avec cette insistance dans la durée qui donne de l’épaisseur à ses films, mais sans nulle empathie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Wiseman ouvre un nouveau chapitre à la partie de son œuvre qui consiste à filmer le mode de vie des Américains d’aujourd’hui, en se concentrant cette fois sur le monde rural. Chapitre dont il résulte un certain sentiment de malaise.
Bande à part
Wiseman filme le déclin d’une certaine Amérique sans jugement, comme une chose naturelle, comme on observe à l’automne les feuilles se flétrir et tomber des arbres.
Cahiers du Cinéma
Par cette insistance discrète du regard Wiseman parvient à déstabiliser la cohérence du mythe de l’américanité, et non simplement à le retourner, en y ramenant une part de mouvement, d’étrangeté surnaturelle qui fait se fissurer l’image d’un « monde » tournant sur lui-même.
L'Express
Un futur classique du documentaire.
L'Humanité
La générosité du regard, sa poésie embrasse l’existence, le comique et le tragique, la banalité.
Libération
Poursuivant sa monumentale entreprise documentaire entamée en 1967, Frederick Wiseman a filmé le quotidien d’une bourgade trumpiste du Midwest, avec une intelligence du détail qui l’exonère de tout jugement moral.
Positif
La grande réussite de "Monrovia, Indiana" est d'être un grand film politique qui n'aborde jamais frontalement son sujet. Avec son sens de l'esquive non dénué d'humour, le cinéaste poursuit son impressionnant portrait de l'Amérique contemporaine et confirme que son dispositif est aussi pertinent au champ qu'à la ville.
Télérama
Le documentariste américain s’y montre d’autant plus pénétrant qu’il se garde de tout manichéisme, témoignant d’un humanisme incurable quoique sans illusion. Dans ce monde fermé, étriqué, autarcique, il trouve aussi, malgré tout, une forme de beauté.
Critikat.com
À travers les rouages et rituels du quotidien de Monrovia, Frederick Wiseman saisit le fonctionnement en circuit fermé d’un microcosme qui, à son échelle, apporte un éclairage sur l’état d’esprit actuel des États-Unis.
Culturopoing.com
Toute la mythologie américaine au scalpel-caméra de Frederick Wiseman, grand poète qui sublime la quintessence de l’humanité.
L'Obs
Le film ne le dit jamais, mais nous donne à le comprendre : 76 % des habitants de Monrovia ont voté pour Donald Trump.
La Septième Obsession
Dans "Monrovia, Indiana", Wiseman s'intéresse de très près au qotidien d’une petite ville rurale américaine, en plein coeur de l’Indiana. Sans jamais nommer Trump, son ombre n’en est que plus saillante à chaque séquence.
Le Journal du Dimanche
Entre les paysages grandioses et les kermesses pittoresques, une immersion fascinante pour un portrait nuancé, mais sans équivoque, de l’Amérique profonde. Terrifiant.
Le Monde
Un film poétique et élégiaque de Frederick Wiseman dans le Midwest qui a porté Donald Trump au pouvoir.
Les Inrockuptibles
Une métaphore, à échelle réduite, des tiraillements de tout un pays. Un grand film.
Ouest France
Passionnant et subtil.
Première
L’exercice est subtil et passionnant.
Sud Ouest
Infatigablement, Frederick Wiseman filme les paysages, les cieux, les troupeaux, les façades, les rues, les réunions de mairie. Des façons de faire la pizza, aux rituels les plus solennels, en passant par la chorale ou la mise en terre d’une des leurs, toute une existence se déploie et c’est fascinant.
Voici
Un portrait de cette Amérique profonde, unie par la foi, la solidarité... Et la peur de l'inconnu.
La Croix
Par le temps que s’accorde ce documentariste de 89 ans, son regard qui s’abandonne aux surprises de l’observation, et la longueur de ses plans, Wiseman nous montre cette Amérique de l’intérieur, trop souvent oubliée. Sans la juger. À chacun d’y voir ce qui saute aux yeux.
Le Figaro
Veaux, vaches, cochons, fermiers, prédicateurs, vendeurs d’armes ou de pizzas, retraités racontant leurs souvenirs au café, agents communaux discutant les problèmes locaux, l’existence quotidienne des 1400 habitants de Monrovia passe devant la caméra. Ils sont tranquilles, sans curiosité. Wiseman les considère avec cette insistance dans la durée qui donne de l’épaisseur à ses films, mais sans nulle empathie.
Les Fiches du Cinéma
Wiseman ouvre un nouveau chapitre à la partie de son œuvre qui consiste à filmer le mode de vie des Américains d’aujourd’hui, en se concentrant cette fois sur le monde rural. Chapitre dont il résulte un certain sentiment de malaise.