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Dans les souliers trop grands de ce nouvel héros peu ordinaire, on participe à cette quête poétique de la tendresse qui n’a rien de suicidaire dans notre monde quasi-surréaliste où de l’autre côté du miroir lacanien, l’impossible, c’est le réel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Abandonnez la vraisemblance, "Le Déserteur" est une fable, un conte métaphorique. Une alerte lancée à l'humanité contre ses dérives. Le film est teinté d'un sentiment d'étrangeté permanente, et est hanté de personnages énigmatiques.
Absurde, drôle, inquiétant, totalement original, le film de Maxime Giroux (« Félix et Meira ») est un ovni cinématographique, à la fois déconcertant et enthousiasmant. Une vraie découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Imparfait, "Le Déserteur" l'est assurément. Mais il touche aussi régulièrement son but par une dévotion de tous les instants et de tout le monde. Un voyage désenchanté et désolé tel qu'on n'a pas trop l'habitude d'en voir en ce moment et qui nous réserve, outre des paysages renversants et une ambiance hypnotique, des comédiens en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le réalisateur québécois Maxime Giroux [...] montre avec un didactisme froid que la guerre torture les chairs et que la société martyrise les esprits. Une photo soignée permet d'engloutir la leçon.
Dans une étrange fable qui oscille constamment entre humanisme grotesque et anthropophobie lyrique, Maxime Giroux pose sur le monde un regard désenchanté qui fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Pour autant, Le Déserteur donne le sentiment de voir se dérouler non pas un film, mais un programme trop bien rodé où les intentions ne parviennent jamais à se faire oublier au profit de la fiction : le mystère n’a rien de mystérieux, le danger n’a rien de dangereux et, à force d’en percevoir les coutures, la fable poétique apparaît comme une succession d’afféteries « auteurisantes ».
Cette dénonciation de notre monde finit par nous perdre en route dans un récit décousu, où le scénario semble souvent sacrifié à la thèse et à la beauté de la photo. Ce film peut toutefois captiver les fous de cinéma expérimental.
Dommage que le scénario multiplie les pistes (Charlie Chaplin, la guerre, le capitalisme, le western et l'anticipation) au risque de perdre le héros dans le désert, et nous avec.
Si le résultat est formellement brillant, il pêche en revanche sur le plan du récit, succession de saynètes morbides aux dialogues assez simplistes et à l’interprétation forcée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Echiquier sanglant où claudiquent des personnages réduits à l’état de symboles, cette fable cynique, fascinée par le petit spectacle sadique qu’elle déploie, se réduit en une pesante et clinquante métaphore sur la folle animalité de l’homme et les mécanismes d’aliénation qu’elle engendre.
A force de vouloir démontrer que les ravages de la guerre, fuie par le héros, sont comparables à la violence du capitalisme, le cinéaste passe à côté de son film. Et nous avec.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Dans les souliers trop grands de ce nouvel héros peu ordinaire, on participe à cette quête poétique de la tendresse qui n’a rien de suicidaire dans notre monde quasi-surréaliste où de l’autre côté du miroir lacanien, l’impossible, c’est le réel.
Franceinfo Culture
Abandonnez la vraisemblance, "Le Déserteur" est une fable, un conte métaphorique. Une alerte lancée à l'humanité contre ses dérives. Le film est teinté d'un sentiment d'étrangeté permanente, et est hanté de personnages énigmatiques.
L'Obs
Absurde, drôle, inquiétant, totalement original, le film de Maxime Giroux (« Félix et Meira ») est un ovni cinématographique, à la fois déconcertant et enthousiasmant. Une vraie découverte.
Positif
Symbolique, théorique aussi, le film désire défier l'unidimensionnel qui décompte et numérote, et que fustigeait déjà Herbert Marcuse.
Rolling Stone
Film choc du mois.
Transfuge
[...] Maxime Giroux signe une fable envoûtante et hautement allégorique qui témoigne de la diversité de son inspiration.
Ecran Large
Imparfait, "Le Déserteur" l'est assurément. Mais il touche aussi régulièrement son but par une dévotion de tous les instants et de tout le monde. Un voyage désenchanté et désolé tel qu'on n'a pas trop l'habitude d'en voir en ce moment et qui nous réserve, outre des paysages renversants et une ambiance hypnotique, des comédiens en état de grâce.
Le Figaro
Le réalisateur canadien emprunte la voie de l’horreur avec talent créant une atmosphère oppressante. Dommage qu’il y ait quelques longueurs.
Le Journal du Dimanche
On en sort dérouté, pas totalement indemne, mais séduit.
Les Fiches du Cinéma
Une fable allégorique fascinante - si on y entre.
Libération
Le réalisateur québécois Maxime Giroux [...] montre avec un didactisme froid que la guerre torture les chairs et que la société martyrise les esprits. Une photo soignée permet d'engloutir la leçon.
aVoir-aLire.com
Dans une étrange fable qui oscille constamment entre humanisme grotesque et anthropophobie lyrique, Maxime Giroux pose sur le monde un regard désenchanté qui fait froid dans le dos.
Critikat.com
L’ambition plastique du film tourne à vide faute de dépasser la binarité de son horizon.
Le Dauphiné Libéré
Une fable au cheminement erratique et au symbolisme confus.
Le Monde
Pour autant, Le Déserteur donne le sentiment de voir se dérouler non pas un film, mais un programme trop bien rodé où les intentions ne parviennent jamais à se faire oublier au profit de la fiction : le mystère n’a rien de mystérieux, le danger n’a rien de dangereux et, à force d’en percevoir les coutures, la fable poétique apparaît comme une succession d’afféteries « auteurisantes ».
Ouest France
Cette dénonciation de notre monde finit par nous perdre en route dans un récit décousu, où le scénario semble souvent sacrifié à la thèse et à la beauté de la photo. Ce film peut toutefois captiver les fous de cinéma expérimental.
Paris Match
Dommage que le scénario multiplie les pistes (Charlie Chaplin, la guerre, le capitalisme, le western et l'anticipation) au risque de perdre le héros dans le désert, et nous avec.
Première
Si le résultat est formellement brillant, il pêche en revanche sur le plan du récit, succession de saynètes morbides aux dialogues assez simplistes et à l’interprétation forcée.
L'Humanité
La présence exotique d'acteurs français comme Reda Kateb ou Romain Duris n’ajoute rien à cet ovni prétentieux.
Les Inrockuptibles
Echiquier sanglant où claudiquent des personnages réduits à l’état de symboles, cette fable cynique, fascinée par le petit spectacle sadique qu’elle déploie, se réduit en une pesante et clinquante métaphore sur la folle animalité de l’homme et les mécanismes d’aliénation qu’elle engendre.
Télérama
A force de vouloir démontrer que les ravages de la guerre, fuie par le héros, sont comparables à la violence du capitalisme, le cinéaste passe à côté de son film. Et nous avec.