Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Œuvre impressionnante et bouleversante autant par sa maîtrise, son hypersensibilité que par son honnêteté, "Sans jamais le dire" utilise subtilement tous les moyens de la fiction pour nous faire pénétrer dans la vérité de ce drame en nous confrontant à son invraisemblable réalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par La Rédaction
Ce film slovaque frappe comme un coup de poing en pleine figure. Sobre, sec, rapide, il signale un talent rare, précis, sans concession.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Fabien Baumann
Pour son premier film, Tereza Nvotova surmonte les écueils d’un thème compliqué à traiter [...]. À juste dis- tance, entre compassion et dureté (le titre slovaque signifie « saleté »), la réalisatrice née en 1988 filme l’enfermement de son héroïne dans un silence suicidaire, la honte, le dégoût incommunicable.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Pour son premier long métrage de fiction, Tereza Nvotová triomphe de quelques facilités en puisant habilement dans la puissance émotionnelle de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
La distance clinique choisie par la réalisatrice l’empêche de sombrer dans un psychologisme trop explicatif et simplificateur mais elle lui évite surtout de tenter de filmer l’immontrable, c’est-à-dire de vraiment sonder le silence de Léna, d’approcher de plus près son trauma au lieu de n’en constater que les conséquences et réactions extérieures.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
La jeune réalisatrice signe un premier film éprouvant, un peu chargé (la victime a un frère déficient mental, ce qui augmente le pathos), dont la mise en scène, pudique, s'efface derrière le regard blessé de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Ce film slovaque naturaliste montre comment au traumatisme initial succède une triple peine : l’incrédulité d’autrui, la mise à l’écart et la culpabilisation. « Pourquoi tu n’as pas crié ? » ose-t-on demander à l’héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Même s’il se perd en route, on ne peut que saluer l’engagement de ce film pour la cause des femmes dans un monde plus juste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un déferlement qui finit par virer au systématisme et noyer le message militant de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec une approche naturaliste, presque documentaire, la jeune réalisatrice s’empare d’une thématique douloureuse, le viol et ses conséquences, mais explore également les préoccupations adolescentes et s’attarde sur les conditions de vie des jeunes slovaques internés dans les hôpitaux psychiatriques locaux – ceux qu’on y voit le sont vraiment. Ça fait sans doute beaucoup pour un seul et premier film.
Le Monde
par Murielle Joudet
Malgré des intentions louables et une actrice magnétique (Dominika Moravkova), Sans jamais le dire s’enferme dans le genre du « film à sujet » au scénario cousu de fil blanc.
Culturopoing.com
Œuvre impressionnante et bouleversante autant par sa maîtrise, son hypersensibilité que par son honnêteté, "Sans jamais le dire" utilise subtilement tous les moyens de la fiction pour nous faire pénétrer dans la vérité de ce drame en nous confrontant à son invraisemblable réalité.
Le Figaro
Ce film slovaque frappe comme un coup de poing en pleine figure. Sobre, sec, rapide, il signale un talent rare, précis, sans concession.
Positif
Pour son premier film, Tereza Nvotova surmonte les écueils d’un thème compliqué à traiter [...]. À juste dis- tance, entre compassion et dureté (le titre slovaque signifie « saleté »), la réalisatrice née en 1988 filme l’enfermement de son héroïne dans un silence suicidaire, la honte, le dégoût incommunicable.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage de fiction, Tereza Nvotová triomphe de quelques facilités en puisant habilement dans la puissance émotionnelle de son actrice principale.
Libération
La distance clinique choisie par la réalisatrice l’empêche de sombrer dans un psychologisme trop explicatif et simplificateur mais elle lui évite surtout de tenter de filmer l’immontrable, c’est-à-dire de vraiment sonder le silence de Léna, d’approcher de plus près son trauma au lieu de n’en constater que les conséquences et réactions extérieures.
Première
La jeune réalisatrice signe un premier film éprouvant, un peu chargé (la victime a un frère déficient mental, ce qui augmente le pathos), dont la mise en scène, pudique, s'efface derrière le regard blessé de l'héroïne.
Télérama
Ce film slovaque naturaliste montre comment au traumatisme initial succède une triple peine : l’incrédulité d’autrui, la mise à l’écart et la culpabilisation. « Pourquoi tu n’as pas crié ? » ose-t-on demander à l’héroïne.
aVoir-aLire.com
Même s’il se perd en route, on ne peut que saluer l’engagement de ce film pour la cause des femmes dans un monde plus juste.
L'Obs
Un déferlement qui finit par virer au systématisme et noyer le message militant de la réalisatrice.
Le Journal du Dimanche
Avec une approche naturaliste, presque documentaire, la jeune réalisatrice s’empare d’une thématique douloureuse, le viol et ses conséquences, mais explore également les préoccupations adolescentes et s’attarde sur les conditions de vie des jeunes slovaques internés dans les hôpitaux psychiatriques locaux – ceux qu’on y voit le sont vraiment. Ça fait sans doute beaucoup pour un seul et premier film.
Le Monde
Malgré des intentions louables et une actrice magnétique (Dominika Moravkova), Sans jamais le dire s’enferme dans le genre du « film à sujet » au scénario cousu de fil blanc.