Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Figaro
par La Rédaction
Autour du thème de la chasse, dont elle explore toutes les composantes, la réalisatrice poursuit sa quête des valeurs profondes de l'existence, la beauté, la générosité, inscrites au plus profond de nous, transmises par ceux qui en vivent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Cheyenne-Marie Carron poursuit son parcours de cinéaste sans concessions. Cette fois-ci, son film traite de la question sensible de la chasse. Certains dialogues et situations sont appuyés, mais il faut reconnaître au film un certain souffle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Bavard, théorique, le film n’offre pas beaucoup l’occasion de vibrer ou de s’évader.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
La morale de cette balade bucolique, pataude et sentencieuse, rappelle involontairement le fameux sketch des Inconnus, qui distinguait le « bon chasseur » du « mauvais ». Sauf qu’ici, on rit moins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Autour du thème de la chasse, dont elle explore toutes les composantes, la réalisatrice poursuit sa quête des valeurs profondes de l'existence, la beauté, la générosité, inscrites au plus profond de nous, transmises par ceux qui en vivent.
Les Fiches du Cinéma
Cheyenne-Marie Carron poursuit son parcours de cinéaste sans concessions. Cette fois-ci, son film traite de la question sensible de la chasse. Certains dialogues et situations sont appuyés, mais il faut reconnaître au film un certain souffle.
Première
Bavard, théorique, le film n’offre pas beaucoup l’occasion de vibrer ou de s’évader.
Télérama
La morale de cette balade bucolique, pataude et sentencieuse, rappelle involontairement le fameux sketch des Inconnus, qui distinguait le « bon chasseur » du « mauvais ». Sauf qu’ici, on rit moins.