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    Les Derniers Hommes
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    Henner
    Henner

    68 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2024
    C’est la 317eme section en plus verbeux et donc moins bien.La ou Schoendorfer fait sobre et percutant le nouveau réalisateur manie l hyperbole et les états d’âme.
    .ca ne sonne pas toujours juste et à force de tourner en rond dans la jungle on finit par ronronner.. Qulelques bons moments d’action mais noyés dans le pathos. Une fin bizarre. Bref rendez-nous Perrin et Bruno Crémer impeccable dans le rôle de l’adjudant. Wilsdorf !
    FaRem
    FaRem

    8 841 abonnés 9 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mai 2024
    "Les derniers hommes" nous fait suivre un groupe de légionnaires traqués par des Japonais en Indochine en 1945. Ils ne sont plus en état de combattre, la plupart du moins, mais ils n'ont pas d'autre choix que de prendre la route pour tenter de rejoindre la Chine. Une odyssée humaine, une histoire de survie plus qu'un film de guerre puisque celui-ci dénonce même l'absurdité de la guerre. Ce qui règne durant ces longues marches, c'est le désespoir, mais aussi l'incompréhension de ces hommes qui sont tiraillés entre leur devoir et leur instinct de survie. Alors que David Oelhoffen mise entièrement sur l'humanité de cette troupe au sein de laquelle se trouve d'ailleurs le principal danger en raison des tensions, je dois dire que je n'ai ressenti aucun attachement particulier pour ces hommes, ce qui n'aide pas à s'impliquer dans l'histoire. C'est aussi dû au son que j'ai trouvé mauvais avec des dialogues souvent inaudibles. Bref, un film ni bon ni mauvais malgré des acteurs convaincants.
    Bachi Bouzouk
    Bachi Bouzouk

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Le sentiment qui domine après avoir vu ce film est la frustration. En effet, j'avais pris connaissance avec enthousiasme de l'existence de ce film : enfin un long-métrage français, avec un budget relativement conséquent, sur une guerre trop souvent oubliée de notre cher cinéma, la guerre d'Indochine. Hélas, on est loin du Platoon français que l'on appelait de nos vœux !

    Commençons par les points forts (ce sera rapide). Les costumes sont d'une grande fidélité historique. La photographie est belle, ce qui permet d'installer une atmosphère crédible. Les performances des acteurs sont correctes. Néanmoins, leurs propos sont parfois inaudibles (problème de micro?). Certaines scènes sont bien réalisées, à l'image de l'( spoiler: embuscade contre les Japonais
    ). Le caractère aléatoire et parfois absurde de la guerre est dépeint avec acuité : les occasions de mourir en héros sont rares, spoiler: la folie en emporte plus d'un deux et les corps sont éprouvés
    .

    Venons en au vif du sujet. Le film traîne, manque cruellement de rythme. Le scénario est insuffisant et incompréhensible parfois. D'abord, une forme de contextualisation historique eût été bienvenue : c'est une période peu connue qui mérite un éclaircissement. De plus, le réalisme du film pose question. Tout au long du film, le spectateur se demande pourquoi l'armée japonaise qui, en avril 1945, et déjà mise en échec par les Américains dans le Pacifique, traque avec autant d'insistance un groupe d'éclopés, de vieillards et d'illuminés. Par ailleurs, l'amateurisme consternant de spoiler: l'adjudant, pourtant supposé être expérimenté
    paraît invraisemblable, surtout dans la situation de ces légionnaires. Le réalisateur souhaite-t-il livrer un commentaire sur l'incompétence de ces légionnaires ? Un des personnages fait allusion à Camerone : y a-t-il une forme d'ironie ? Les motivations des personnages sont très floues. Leur caractérisation manque de cohérence. Le choix du scénariste/réalisateur d'accorder tant d'importance au personnage du spoiler: déserteur
    , sans expliciter les raisons de son insubordination, nous laisse perplexes. La morale est difficile à saisir : que cherche à dire David Oelhoffen ? On peine à trouver un message (antimilitariste ? antiguerre ?). Il est plus probable qu'Oelhoffen se cherche encore. C'est son quatrième long-métrage : on s'impatiente. Il se perd dans la jungle laotienne, nous présente des personnages indistincts, aux contours peu définis : après une heure de film, on continue à les confondre plus ou moins. Des incantations fumeuses et des marmonnements incohérents ne font pas une personnalité ! Et encore, ne me lancez sur l'aspect caricatural, voire problématique, de certains protagonistes. En outre, spoiler: pourquoi le personnage anarchiste lance des slogans franquistes ?
    La fin est assez représentative de l'ensemble du film : on ne comprend pas vraiment spoiler: les actions du dernier survivant de la section
    . Cette absence de clarté, si elle est volontaire de la part du scénariste/réalisateur, apparaît comme une facilité.

    Si la période vous passionne, vous pouvez toujours vous y risquer (le film dure quand même deux heures), sinon passez votre chemin.
    Roub E.
    Roub E.

    993 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2024
    Je reconnais à ce film ses qualité esthétiques et son sujet finalement peu traité par le cinéma français. Mais je n ai pas accroché à ce film. J ai trouvé que les personnages manquaient de caractérisation alors qu il n y a rien à reprocher à l interprétation. Le film est contemplatif dans un premier temps alors que la seconde partie m a paru trop expédiée.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 963 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2024
    « D’ailleurs, il y a très peu de plans dans le film qui ne soient consacrés qu’à un seul protagoniste. » voilà un extrait des dires de David Oelhoffen. Et bien c’est ça le problème en ce qui me concerne, je ne me suis (r)attaché à aucun des personnages. Je ne suis même pas resté derrière eux.
    Je crois à la sincérité du réalisateur et des acteurs mais malheureusement je suis resté à distance des insectes, des serpents et des japonais…
    Mla
    Mla

    17 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    9 Mars 1945 ,Une colonne de légionnaires affaiblis en Indochine va devoir fuir après avoir été alerter de l’attaque des japonais. Ils vont devoir traverser plus de 300km de jungle dans le Laos pour rejoindre une base , autant dire mission quasi impossible.
    Je m’attendais à mieux, y’a des longueurs, la fin est pas claire, et à part le rapport de force entre l’adjudant jenicki et le soldat Lemiott c’est plat .
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    708 abonnés 3 078 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2024
    De très beaux paysages composent Les Derniers hommes, au sein desquels s’égarent des êtres blessés, abîmés par la guerre, usés par le temps et la distance qui tout à la fois les séparent de leur foyer respectif et échouent à donner du sens à leurs actions. Le réalisateur cultive cette absurdité, réduit son scénario à une marche d’un point de départ vers un point d’arrivée avec, en chemin, l’omniprésence d’ennemis invisibles qui surgissent parfois physiquement. Nous sommes assez proches des Confins du monde (Guillaume Nicloux, 2018), quoique ce dernier apportait poésie et mystère de la désolation humaine que refuse sans cesse David Oelhoffen, leur préférant la rugosité d’une approche documentaire où triomphe une masculinité mise à l’épreuve, explicitée dès le titre. Et si le soldat Tinh fait douter Lemiotte sur sa perception de la réalité, cette hésitation demeure de l’ordre de la survie, sans gagner le domaine du spirituel.
    L’écriture sommaire des personnages les définit uniquement par leur langue natale et par certains traits inhérents à leur culture – la sacralisation du tigre par exemple –, qui n’est jamais synonyme d’opacité : au contraire, l’individualité apparaît niée au profit d’un collectif qui manque de se déliter à chaque instant, la faute aux impératifs de la hiérarchie, aux antagonismes et aux conditions extérieures éprouvantes. La voix off mécanique y contribue, sous le prétexte de restituer la négation de l’identité personnelle du légionnaire. Tous sont déjà englués dans la jungle indochinoise lorsque commence leur périple : nulle découverte, pas un étonnement, mais un profond sentiment de lassitude que ressent également le spectateur, contraint lui aussi de mener l’expédition à son terme.
    Et quand vient le poème lu par Jacques Perrin, quand advient enfin la poésie, il est trop tard, aucune des images la précédant n’a su souffler une âme à ces pauvres soldats qui défilent devant nous spoiler: tels des vivants déjà morts
    , principale limite du dispositif tant narratif que visuel – très peu de plans isolent un légionnaire en particulier, tous sont liés par leur condition à l’écran – établi par le réalisateur. Nous sommes loin du savant équilibre atteint par La 317e Section (Pierre Schoendoerffer, 1963).
    Bertrand C.
    Bertrand C.

    5 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2024
    Le film démarre bien avec cette croisade de bras cassés en pleine jungle, mais le côté mystique prend le dessus et la jungle devient soporifique.
    Trop long.
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