Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Culturopoing.com
par François Armand
Le réalisateur tend ce miroir kaléidoscopique à l’aide d’un casting puisant dans tous le cinéma Européen, avec notamment l’acteur polonais Andrzej Chyra ou italien Guido Caprino pour ne citer qu’eux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Léo Martin
Dans la continuité d’autres grands films de guerre désespérés, mais imprégnés d’humanité (Onoda, Les Confins du monde), Les Derniers Hommes est un acte de cinéma puissant, habité par des fantômes d’une remarquable tangibilité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Un haletant chemin de croix antimilitariste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Ce qui ressort, c’est l’extraordinaire désespoir de ces soldats au bout du rouleau, qui avancent malgré tout. Il y a là une formidable peinture de la nature humaine, et une conscience aiguë de ce qu’est la guerre (une déshumanisation).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
L’approche est sensorielle, et le propos, centré sur l’humain avec des accents panthéistes, fort et émouvant. Un long (peut-être trop) et beau voyage au bout de l’enfer dont le spectateur ne sort pas tout à fait indemne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Mené de façon haletante, Les Derniers Hommes de David Oelhoffen est un film sur le choix et le hasard, sur le fait de prendre telle ou telle route, telle ou telle décision, sans savoir jamais quelle est la bonne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pascale Vergereau
La route est longue à travers la jungle, le film aussi, mais l'aventure humaine reste prenante.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
En retraçant la traque d’un groupe de légionnaires par des japonais en 1945, David Oelhoffen signe un film puissant sur la condition humaine.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télé Loisirs
par S.O.
Cette odyssée en terre hostile s'inscrit dans les pas de la 317e section, un classique du genre. Un héritage assumé pour un film de groupe sauvage et mystique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Film de survie plus que de guerre, Les Derniers Hommes harponne immédiatement le spectateur par l’intensité du récit et la puissance des sentiments. Avec respect, le réalisateur David Oelhoffen (Loin des hommes, Frères ennemis) donne à chacun son humanité, parfois conquise sur le fil d’une tardive rédemption.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J.-F. R.
Sans forcément atteindre un tel sommet et sa dimension métaphysique, l’œuvre de David Oelhoffen, description d’une masculinité héroïque et perdue, s’impose pourtant comme une bonne surprise, comme venue d’un autre temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Mais s’il comporte quelques belles séquences, surtout dans sa dernière demi-heure, le film multiplie les longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Si la tentative de basculement du politique au métaphysique est louable, le film laisse froid. Le scénario est ambitieux, mais le traitement final et la mise en scène restent en surface.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une âpre dénonciation de l'absurdité de la guerre (...).
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un solide film de guerre basé sur une histoire vraie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Si, légion étrangère oblige, la troupe est cosmopolite (on y trouve un soldat portugais, un italien, un polonais, etc.), le récit souffre pourtant d’un manque d’hétérogénéité, tant la moiteur mortifère de la jungle semble avoir contaminé pour de bon les militaires en moins de dix minutes.
Mad Movies
par Gilles Esposito
À la fois irréprochable et foncièrement vieillot, "Les Derniers Hommes" évoque donc les soirées télé du XXème siècle, et ne ravira que les fous de l'armée [...].
Première
par Damien Leblanc
Si un parfum d’Apocalypse Now flotte dans l’air, le voyage se heurte pourtant à une sorte d’automatisme. Car les personnages, formant une troupe homogène et spectrale, ne sont pas suffisamment caractérisés pour retenir l’attention et captiver, ce qui finit par rendre ce drame dévitalisé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Faute d’identification et de crescendo dans l’action, Les Derniers Hommes a fâcheusement tendance à devenir monotone.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Camille Nevers
Jamais l’expérience formelle n’impressionne. Céline est cité. La lie du monde, de la guerre et des hommes, tout est sollicité de ces breloques de néant, de cette poésie des damnés usée jusqu’à la corde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Le réalisateur tend ce miroir kaléidoscopique à l’aide d’un casting puisant dans tous le cinéma Européen, avec notamment l’acteur polonais Andrzej Chyra ou italien Guido Caprino pour ne citer qu’eux.
Ecran Large
Dans la continuité d’autres grands films de guerre désespérés, mais imprégnés d’humanité (Onoda, Les Confins du monde), Les Derniers Hommes est un acte de cinéma puissant, habité par des fantômes d’une remarquable tangibilité.
L'Humanité
Un haletant chemin de croix antimilitariste.
L'Obs
Ce qui ressort, c’est l’extraordinaire désespoir de ces soldats au bout du rouleau, qui avancent malgré tout. Il y a là une formidable peinture de la nature humaine, et une conscience aiguë de ce qu’est la guerre (une déshumanisation).
Le Journal du Dimanche
L’approche est sensorielle, et le propos, centré sur l’humain avec des accents panthéistes, fort et émouvant. Un long (peut-être trop) et beau voyage au bout de l’enfer dont le spectateur ne sort pas tout à fait indemne.
Les Inrockuptibles
Mené de façon haletante, Les Derniers Hommes de David Oelhoffen est un film sur le choix et le hasard, sur le fait de prendre telle ou telle route, telle ou telle décision, sans savoir jamais quelle est la bonne.
Ouest France
La route est longue à travers la jungle, le film aussi, mais l'aventure humaine reste prenante.
Transfuge
En retraçant la traque d’un groupe de légionnaires par des japonais en 1945, David Oelhoffen signe un film puissant sur la condition humaine.
Télé Loisirs
Cette odyssée en terre hostile s'inscrit dans les pas de la 317e section, un classique du genre. Un héritage assumé pour un film de groupe sauvage et mystique.
La Croix
Film de survie plus que de guerre, Les Derniers Hommes harponne immédiatement le spectateur par l’intensité du récit et la puissance des sentiments. Avec respect, le réalisateur David Oelhoffen (Loin des hommes, Frères ennemis) donne à chacun son humanité, parfois conquise sur le fil d’une tardive rédemption.
Le Monde
Sans forcément atteindre un tel sommet et sa dimension métaphysique, l’œuvre de David Oelhoffen, description d’une masculinité héroïque et perdue, s’impose pourtant comme une bonne surprise, comme venue d’un autre temps.
Le Parisien
Mais s’il comporte quelques belles séquences, surtout dans sa dernière demi-heure, le film multiplie les longueurs.
Les Fiches du Cinéma
Si la tentative de basculement du politique au métaphysique est louable, le film laisse froid. Le scénario est ambitieux, mais le traitement final et la mise en scène restent en surface.
Télé 7 Jours
Une âpre dénonciation de l'absurdité de la guerre (...).
aVoir-aLire.com
Un solide film de guerre basé sur une histoire vraie.
Cahiers du Cinéma
Si, légion étrangère oblige, la troupe est cosmopolite (on y trouve un soldat portugais, un italien, un polonais, etc.), le récit souffre pourtant d’un manque d’hétérogénéité, tant la moiteur mortifère de la jungle semble avoir contaminé pour de bon les militaires en moins de dix minutes.
Mad Movies
À la fois irréprochable et foncièrement vieillot, "Les Derniers Hommes" évoque donc les soirées télé du XXème siècle, et ne ravira que les fous de l'armée [...].
Première
Si un parfum d’Apocalypse Now flotte dans l’air, le voyage se heurte pourtant à une sorte d’automatisme. Car les personnages, formant une troupe homogène et spectrale, ne sont pas suffisamment caractérisés pour retenir l’attention et captiver, ce qui finit par rendre ce drame dévitalisé.
Télérama
Faute d’identification et de crescendo dans l’action, Les Derniers Hommes a fâcheusement tendance à devenir monotone.
Libération
Jamais l’expérience formelle n’impressionne. Céline est cité. La lie du monde, de la guerre et des hommes, tout est sollicité de ces breloques de néant, de cette poésie des damnés usée jusqu’à la corde.