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    Le Cercle des neiges
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    303 critiques spectateurs

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    arnaudg
    arnaudg

    85 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    Un bon film agréable à voir même si la seconde partie est un peu trop lente. Tous les acteurs sont globalement bons et on a l'impression d'être dans la Cordillère des Andes. Gros aspect psychologique sur ce film, mais qui est trop tiré en longueur.
    Rips35
    Rips35

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Un remake qui manque parfois de rythme. Ils ont froids et nous aussi! Le choix narratif en voix off nous perturbe plus qu elle nous alimente.
    De très belles images et des personnages attachants.
    A voir
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2024
    30 ans après Frank Marshall, Juan Antonio Bayona revient sur l’histoire de ces jeunes joueurs de rugby paraguayens et de leurs accompagnants, rescapés miraculeux du crash de leur avion dans la Cordillère des Andes en 1972. Evitant tout sensationnalisme, les images de cette très fidèle reconstitution sont d’une telle immersivité qu’elles nous plongent sans ménagements au cœur de cette incroyable survie. L’espoir, l’humanité, la foi et la résilience tutoient l’omniprésence du froid, de la désolation, de l'isolement, de la faim et de la mort pour s’unir autour d’un seul objectif : Vivre ! Véritable claque émotionnelle portée par l’excellente homogénéité de ses acteurs, « Le Cercle des neiges » se veut aussi, à travers la voix unique d’un des défunts, un hommage à ceux qui n’ont pas eu la chance de retrouver leurs proches après ces 72 jours d’un authentique calvaire.
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Dans le froid ambiant, quoi de mieux que de retrouver un peu de chaleur autour d'une revigorante dégustation de chair humaine au milieu de la Cordillère des Andes ? Bon, pas mal de choses, on vous l'accorde, mais cette adaptation de la forcément toujours sidérante histoire du crash du vol Fuerza Aérea Uruguya 571 et de ses survivants (dont la majeure partie était une jeune équipe de rugby uruguayenne), obligés au pire pour survivre durant soixante-et-onze jours dans les conditions les plus extrêmes, s'impose d'emblée comme un des moments forts de l'année cinématographique 2024 !

    Évidemment, avec le talent qu'on lui connaît, notamment pour conjuguer l'amplitude universelle des émotions humaines à celle d'une catastrophe dévastatrice ("The Impossible"), Juan Antonio Bayona est le principal chef d'orchestre de la réussite de cette vision d'une tragédie restée dans les mémoires par ses parts les plus obscures qu'elle distille dans les esprits à sa simple évocation. D'ailleurs, c'était peut-être justement le problème le plus important d'un nouveau long-métrage sur ce sujet (surtout d'une durée aussi imposante et après déjà quatre adaptations sur grand écran): ne pas titiller une curiosité assez forte autour de cet événement dont une grande partie du public connaît la teneur et les pires contours. Mais, comme à son habitude, la force de la mise en scène -et donc la nouvelle lecture qui nous en est faite ici- par le réalisateur espagnol va tout emporter sur son passage.

    D'abord, par la maîtrise assez dingue du récit qui, en parallèle de nous plonger dans les recoins les plus sombres de la page cannibale attendue, va nous happer sur tous les autres aspects de survie de ce cercle de rescapés où, certes, quelques visages et caractères se distinguent brillamment (Numa en tête) mais qui est vu avant tout comme une seule entité humaine face à cet environnement austère, un antagoniste omniscient ayant manifestement décidé de tout mettre en oeuvre pour les briser jusqu'à atteindre les tréfonds de leur collectif d'âmes en détresse. Que soit en termes de rebondissements savamment dilués sur l'ensemble (et tout est véridique, du moins, rapporté par les vrais protagonistes, bon sang !) ou du flot d'émotions délivré par sommets sur la durée, "Le Cercle des Neiges" ne cesse d'élargir son éventail sur ces deux aspects afin de nous captiver autant dans ses moments de plus terrible obscurité que ceux de vive lumière.
    Comment ensuite ne pas aborder la mise en scène en elle-même, support indéfectible de la solidité de ce récit par son habilité à en exacerber tous les points forts, avec le double visage de ce cadre (sans pitié et magnifique à l'écran) pour le répercuter sur les dilemmes tourmentés des survivants, déchirés entre leur humanité et leur envie de survivre par tous les moyens ? Encore une fois, la réalisation de Bayona est irréprochable, nous secouant avec la même force que les drames successifs qui s'abattent sur ses héros, nous enfermant dans le huis-clos oppressant d'un abri de fortune où la chappe toujours plus croissante des souffrances qui y règne se fait ressentir presque littéralement, éteignant une à une devant nos yeux les rares braises restantes d'une jeunesse innocente en train d'agoniser à cause d'une Mère Nature que l'on croirait douée de la conscience la plus perfide à leur égard, nous égrenant les noms et les âges des mourants pour nous ramener bien sûr à la réalité du drame mais aussi pour en jouer de façon sensible et astucieuse lors d'un tournant décisif de la narration, nous faisant magistralement vibrer grâce à un final à la puissance émotionnelle imparable, où la chaleur d'une séquence symbolique absolument magnifique (la rivière) vient transpercer les glaces pour s'emparer petit à petit de l'intégralité de l'écran au son de la partition inspirée de Michael Giacchino... Bref, en faisant magistralement de nous, spectateurs, un rescapé du vol Fuerza Aérea Uruguya 571 qui, pour rester en vie, a dû commettre l'innommable.

    On terminera bien entendu sur le virage cannibale vis-à-vis de passagers décédés, envisagé dans la seule optique de survie pure et dure de la part d'hommes devenus complètement impuissants face à leur sort. Par l'entremise de différents caractères et hésitations sur ce choix qui n'en est bientôt plus un, "Le Cercle des Neiges" n'élude aucune question engendrée par ce point de non-retour, le confronte aux dernières barrières que sont la morale, la loi, la foi, les conventions sociales et, plus simplement, ce qui nous définit philosophiquement en tant qu'être humain avant de basculer dans un inéluctable où ce qui peut être encore vu par certains comme une viande de subsistance prend soudainement un visage, se transforme pour d'autres en une denrée banale au détour d'un bout de chair arraché sur un tas de vertèbres comme un vulgaire chewing-gum ou devient un leg volontaire laissé comme la plus grande preuve de fraternité envers autrui qu'il puisse exister.
    Alors, oui, si on devait y pointer du doigt un petit défaut, on pourrait penser que des rugbymen d'une vingtaine d'années se posant autant de questions existentielles (par l'intermédiaire de dialogues aussi profonds et bien écrits qui plus est) résonnent un peu faux, et ce sans préjugés hâtifs, même dans ce contexte, mais la force de conviction d'un formidable casting dans son ensemble arrive sans mal à nous le faire oublier (mention spéciale à Enzo Vogrincic, un Adam Driver uruguayen sur pattes qui ne fait que lui ressembler de plus en plus au fil de la dégradation physique de Numa).

    Pas sûr que vous verrez la charcuterie d'une raclette dégustée entre amis d'un bon oeil après avoir passé un tel séjour dans ce "Cercle des Neiges" mais, une chose est certaine, vous aurez vu un des meilleurs films de survie de ces dernières années. Et peut-être même le plus fidèle long-métrage (dixit un des rescapés) consacré à cette folle histoire d'hommes ayant fait le choix de rester debout par tous les moyens.
    lucie.b
    lucie.b

    1 abonné 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2024
    J’ai adoré ! Vraiment bouleversant et tragique.
    Une histoire vraie qui déchire et montre le courage et la volonté de vouloir survivre!
    Grégory Hildevert
    Grégory Hildevert

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Très long ! Trop long et beaucoup d'incohérences. Mais sinon avec le briquet et tout le combustible allumer un feu n'était pas possible ou bien ?
    Bérénice Chaville
    Bérénice Chaville

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Ce film intense et sur un sujet sensible ne dépasse jamais les limites et reste digne comme les protagonistes de cette histoire vraie face à l'incroyable dilemme auquel ils ont dû faire face. Le genre de film assez rare qui vous fait réfléchir et auquel on repense souvent ; ce film m'a marquée
    Lubin Cher
    Lubin Cher

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 février 2024
    Un thriller très bien réalisé , la voix off sert de bon fil conducteur à l’histoire . Des scènes marquantes , et des images très bien construites , une musique à la hauteur du film . Je trouve cependant que le film est un peu rallongé .
    Un film à voire !
    Matthieu D.
    Matthieu D.

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Magnifique. Parfaitement raconté. L'une des histoires vraies les plus dingues. Bravo à ces hommes et bel hommage.
    Maeva B
    Maeva B

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2024
    Excellent film !
    Très bien tourné , joué, ..
    Les plans sont superbes , c’est très bien filmé
    J’ai été concentré sur le film tout le long
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Les intentions de l'espagnol J. A. Bayona sont clairement les mêmes que celles de l'amèricain Frank Marshall! A savoir donner une leçon sur l'intarissable force de l'instinct de survie! Sauf que Bayonna use de redites, de flashbacks inutiles sur le très beau "Alive" (1992) et tombe un peu trop dans le pathos et le spectaculaire (les os qui craquent dans le crash). Heureusement, les comèdiens sont tous formidables, interprètant avec conviction les fameux rescapès du terrible Vol Fuerza Aèrea Uruguaya 571 qui s'est crashè dans les sommets enneigès de la cordillère des Andes! Alors que se passe t-il quand le monde vous abandonne où il faut se rèsoudre à manger les morts pour survivre ? La rèponse est dans la montagne, à la fois splendide et hostile! Le film dure 2h25 et aussi ètonnant que cela puisse paraître, ces soixante-dix jours de rage de vivre et de cannibalisme passent vite malgrè une camèra au plus près des blessures gelant (c'est le cas de le dire) certains effets de scènario...
    ARMODE
    ARMODE

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2024
    Un chef d'œuvre dans 20 s.on en parlera encore comme un classique du cinéma hyper bien réalisé, les acteurs ont du soufrir et il ya une esperance qui est montrer qui donne la chair de poule. L'histoire est bien raconter et bien exploque
    HWT
    HWT

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2024
    Magnifique bouleversant on n en sort pas indemne. Très bons acteurs et réalisation au top. Du début jusqu a la fin !
    Sophinou
    Sophinou

    67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2024
    Un magnifique film tiré d'une histoire vraie. On ne peut s'empêcher de se demander comment on aurait agit à leur place, aurait-on été de ceux qui garde espoir, de ceux qui deviennent fous ? Beaucoup d'émotion également. À voir absolument!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Cinéaste de l’imaginaire et de la fable, Juan Antonio Bayona ne trouve jamais dans son adaptation du récit de l’accident et de la survie des passagers uruguayens la puissance symbolique espérée, la faute à une fidélité scrupuleuse à l’égard des événements qui l’empêche de déployer son univers ; en lieu et place, une religiosité constipée qui mute en martyrologie enrichie aux symboles bibliques aussi lourdement assénés que les coups et les chocs reçus par les rescapés. La musique sirupeuse de Michael Giacchino, qui tente de récupérer la douceur mélodieuse de Fernando Velázquez, échoue à élever vers des sommets spirituels un scénario factuel ; pourtant, la réalisation ne prend pas le temps de confronter l’homme, individu tout petit, au gigantisme de la montage, enfer blanc dépourvu du moindre son et de la moindre vie, trop occupée à saisir par des effets complaisants la douleur physique et morale des sportifs. Aucun vertige ne naît de la confrontation des protagonistes à leur environnement – nous sommes loin de l’intelligence avec laquelle The Reef (r Andrew Traucki, 2010) ou Stowaway (Joe Penna, 2021) représentaient l’évolution hasardeuse d’un personnage dans un élément hostile, qu’il s’agisse du grand large ou du vide.
    La Sociedad de la nieve ressemble à quantité d’œuvres déjà réalisées, ne dispose ni d’une puissance allégorique ni d’une véracité documentaire ; et tiraillé entre ces deux extrémités le voilà engagé dans un hyperréalisme à tendance gore qui délaisse la profondeur et la complexité émotionnelle de son équipe pourtant définie par sa solidarité et son courage. Sur un thème similaire, The Impossible (2012) trouvait, dans ses élans mélodramatiques, une originalité de traitement doublée d’une puissance de cinéma véritable.
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