Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Deux heures de plaisir avec des acteurs qui ont dû beaucoup s'amuser aussi.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Campanella cite Lubitsch comme l’un de ses réalisateurs de comédie préféré. Il n’a pas la même "touch" que son maître. Moins de légèreté, moins de vivacité. Mais le numéro d’acteur des quatre têtes d’affiche est assez savoureux. Graciela Borges, Luis Brandoni, Oscar Martinez et Marcos Mundstock s’amusent et amusent dans ce Boulevard du crépuscule teinté d’humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Malicieuse, hilarante et sanglante, cette pépite argentine qui sort ce mercredi met en scène quatre octogénaires déchaînés. Un régal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’auteur de « Dans ses yeux » orchestre avec plaisir ce remake à l’identique d’un film des années 1970. Mais s’il avait sacrifié une bonne vingtaine de minutes, cela aurait concentré davantage le fiel de cette « Conspiration ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec ses vieilles gloires sarcastiques, le réalisateur de Dans ses yeux signe une comédie noire rendant hommage au cinéma. Si elle perd un peu de son humour mordant en gagnant en profondeur, son final se révèle aussi amoral que jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Pensé comme un hommage ludique à la comédie noire, le long métrage convainc davantage par son scénario machiavélique que par sa réalisation classique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
En dépit d'une mise en place laborieuse, cet affrontement (...) se révèle d'une amoralité réjouissante.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un duel à mort s'en suit avec les jeunes rapaces et les vieilles badernes, qui n'est pas sans évoquer une version argentine du défunt rendez-vous télévisé "Au théâtre ce soir".
Première
par Thierry Chèze
Campanella adore ses personnages, vieilles canailles au mauvais fond réjouissant… Mais hélas un peu trop tant le temps de présentation de ces derniers et d’installation de son récit paraît interminable et nuit à la puissance comique de cette farce noire savoureusement amorale qui se déploie dans sa dernière ligne droite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Deux heures de plaisir avec des acteurs qui ont dû beaucoup s'amuser aussi.
Le Figaro
Campanella cite Lubitsch comme l’un de ses réalisateurs de comédie préféré. Il n’a pas la même "touch" que son maître. Moins de légèreté, moins de vivacité. Mais le numéro d’acteur des quatre têtes d’affiche est assez savoureux. Graciela Borges, Luis Brandoni, Oscar Martinez et Marcos Mundstock s’amusent et amusent dans ce Boulevard du crépuscule teinté d’humour noir.
Le Parisien
Malicieuse, hilarante et sanglante, cette pépite argentine qui sort ce mercredi met en scène quatre octogénaires déchaînés. Un régal.
L'Obs
L’auteur de « Dans ses yeux » orchestre avec plaisir ce remake à l’identique d’un film des années 1970. Mais s’il avait sacrifié une bonne vingtaine de minutes, cela aurait concentré davantage le fiel de cette « Conspiration ».
Le Journal du Dimanche
Avec ses vieilles gloires sarcastiques, le réalisateur de Dans ses yeux signe une comédie noire rendant hommage au cinéma. Si elle perd un peu de son humour mordant en gagnant en profondeur, son final se révèle aussi amoral que jubilatoire.
Les Fiches du Cinéma
Pensé comme un hommage ludique à la comédie noire, le long métrage convainc davantage par son scénario machiavélique que par sa réalisation classique.
Ouest France
En dépit d'une mise en place laborieuse, cet affrontement (...) se révèle d'une amoralité réjouissante.
Le Monde
Un duel à mort s'en suit avec les jeunes rapaces et les vieilles badernes, qui n'est pas sans évoquer une version argentine du défunt rendez-vous télévisé "Au théâtre ce soir".
Première
Campanella adore ses personnages, vieilles canailles au mauvais fond réjouissant… Mais hélas un peu trop tant le temps de présentation de ces derniers et d’installation de son récit paraît interminable et nuit à la puissance comique de cette farce noire savoureusement amorale qui se déploie dans sa dernière ligne droite.