Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le premier long métrage très réussi de Nora Martirosyan ausculte, dans un climat tendu et mélancolique, les prémices de l’explosion de violence au Haut-Karabakh en 2020.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Michèle Levieux
Avec Si le vent tombe, sélection officielle du Festival de Cannes 2020 et de l’Acid, la réalisatrice venue d’Arménie, parvient à rendre vie à un bout de territoire du Caucase, dans un aéroport d’où ne décolle aucun avion.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Clarisse Fabre
Nora Martirosyan crée une fiction ubuesque et puissante dans le HautKarabakh, territoire en crise.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une très grande finesse d’analyse humaine et politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Interrogation à la fois délicate et ironique sur la notion de frontière et témoignage hors pair sur un territoire qui « vit sur un volcan », « Si le vent tombe », avec sa mise en scène contemplative et sa sensibilité aiguë, s’impose comme l’une des plus belles surprises cinématographiques du printemps.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Très beau premier long-métrage de Nora Martirosyan.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce premier film intrigant, ubuesque, évoque la république du Haut-Karabakh.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un récit d’immersion tragique dans une république auto-proclamée en Europe de l’Est, Si le vent tombe est un immense hommage à ces peuples du Caucase totalement ignorés du monde et qui attendent encore de vivre. Un témoignage sensible et profond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Bastien Gens
Le film dessine la cartographie mentale d’un État qui n’existe que dans les rêves et les espoirs de ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Message d’espoir, poésie d’un pays oublié : un premier film qui a du style et du cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
La beauté des images et un joli travail sur la bande-son contribuent à créer une atmosphère étrange et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un premier film en forme de fable intéressante mais peu incarnée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La réalisatrice arménienne instaure une atmosphère étrange et envoûtante, entre réalisme et poésie, au diapason du rude mais splendide panorama qu’elle filme. Le personnage central d’un drame qui parvient à émouvoir malgré une narration un peu sèche.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, la réalisatrice Nora Martirosyan met en scène une étrange histoire de frontière. Cette fiction intime et politique frappe par son audace et sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Christophe Narbonne
Bien que hors champ, la violence est omniprésente et contribue à l’atmosphère – un peu trop – pesante du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
par Eithne O'Neill
Mais l’étranger contemplatif nous laisse de marbre et le tempo fléchit. La musique gronde, expression d’une menace que le scénario, bien intentionné et trop cérébral, transpose difficilement en images durables ; on ne décolle pas.
Libération
Le premier long métrage très réussi de Nora Martirosyan ausculte, dans un climat tendu et mélancolique, les prémices de l’explosion de violence au Haut-Karabakh en 2020.
L'Humanité
Avec Si le vent tombe, sélection officielle du Festival de Cannes 2020 et de l’Acid, la réalisatrice venue d’Arménie, parvient à rendre vie à un bout de territoire du Caucase, dans un aéroport d’où ne décolle aucun avion.
Le Monde
Nora Martirosyan crée une fiction ubuesque et puissante dans le HautKarabakh, territoire en crise.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une très grande finesse d’analyse humaine et politique.
Marianne
Interrogation à la fois délicate et ironique sur la notion de frontière et témoignage hors pair sur un territoire qui « vit sur un volcan », « Si le vent tombe », avec sa mise en scène contemplative et sa sensibilité aiguë, s’impose comme l’une des plus belles surprises cinématographiques du printemps.
Sud Ouest
Très beau premier long-métrage de Nora Martirosyan.
Télérama
Ce premier film intrigant, ubuesque, évoque la république du Haut-Karabakh.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un récit d’immersion tragique dans une république auto-proclamée en Europe de l’Est, Si le vent tombe est un immense hommage à ces peuples du Caucase totalement ignorés du monde et qui attendent encore de vivre. Un témoignage sensible et profond.
Critikat.com
Le film dessine la cartographie mentale d’un État qui n’existe que dans les rêves et les espoirs de ses habitants.
L'Obs
Message d’espoir, poésie d’un pays oublié : un premier film qui a du style et du cœur.
La Croix
La beauté des images et un joli travail sur la bande-son contribuent à créer une atmosphère étrange et hypnotique.
Le Figaro
Un premier film en forme de fable intéressante mais peu incarnée.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice arménienne instaure une atmosphère étrange et envoûtante, entre réalisme et poésie, au diapason du rude mais splendide panorama qu’elle filme. Le personnage central d’un drame qui parvient à émouvoir malgré une narration un peu sèche.
Les Echos
Dans son premier film, la réalisatrice Nora Martirosyan met en scène une étrange histoire de frontière. Cette fiction intime et politique frappe par son audace et sa sensibilité.
Première
Bien que hors champ, la violence est omniprésente et contribue à l’atmosphère – un peu trop – pesante du film.
Positif
Mais l’étranger contemplatif nous laisse de marbre et le tempo fléchit. La musique gronde, expression d’une menace que le scénario, bien intentionné et trop cérébral, transpose difficilement en images durables ; on ne décolle pas.