Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Obs
par Sophie Delassein
A la fin, on ne sait pas si on vient de passer du temps avec un intellectuel malicieux ou un voyou sympathique. Mais c'est bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Jacques-Antoine Maisonobe
Étienne Roda-Gil, parolier et homme de l’ombre des plus grands noms de la chanson française, nous apparaît ici comme un personnage foisonnant et complexe, comme le poète qu’il refusait d’incarner. L’artiste, mais aussi ses textes, reprennent leur juste place.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ces propos précieux, formulés sur le ton de la confidence, constituent le témoignage d’un homme et de ses proches, mais n'auraient-ils pas plus leur place à la télévision qu’au cinéma ? Etienne Roda-Gil rejaillit toutefois entier. Chapeau l'artiste !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Si le fond peut susciter l'intérêt du spectateur, en revanche, la forme laisse à désirer. "On l'appelait Roda" se regarde, se savoure (un peu) et s'oublie (vite).
Paris Match
par Benjamin Locoge
La cinéaste a tenté dans un joli documentaire de montrer Etienne Roda-Gil tel qu’il était : un homme brut, passionné, enflammé, "qui n’avait pas de fond de tiroirs".
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Dommage que le film tourne peu à peu à l’hagiographie, à la célébration répétitive d’un poète qui serait resté un révolutionnaire situationniste ébranlant le système de l’intérieur et qui aurait tout prévu, de Mai 68, mouvement auquel il assurait avoir beaucoup participé, aux attentats islamistes de janvier 2015.
Première
par Thomas Baurez
Tous ces entretiens qui composent ce On l’appelait Roda datent de quelques mois avant sa mort. On remerciera au passage la réalisatrice de ne pas nous abreuver de témoignages people et forcément hagiographiques. Seuls Vanessa Paradis donc, Roger Waters ou encore Julien Clerc, racontent avec des mots justes leur Roda. Il y a aussi des anecdotes savoureuses, de celles qui contribuent à la légende.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
On se contentera de ce documentaire riche de sa présence rebelle et de nombreux témoignages (Julien Clerc, très bien, mais aussi Vanessa Paradis ou Roger Waters).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
A la fin, on ne sait pas si on vient de passer du temps avec un intellectuel malicieux ou un voyou sympathique. Mais c'est bien.
Les Fiches du Cinéma
Étienne Roda-Gil, parolier et homme de l’ombre des plus grands noms de la chanson française, nous apparaît ici comme un personnage foisonnant et complexe, comme le poète qu’il refusait d’incarner. L’artiste, mais aussi ses textes, reprennent leur juste place.
Franceinfo Culture
Ces propos précieux, formulés sur le ton de la confidence, constituent le témoignage d’un homme et de ses proches, mais n'auraient-ils pas plus leur place à la télévision qu’au cinéma ? Etienne Roda-Gil rejaillit toutefois entier. Chapeau l'artiste !
L'Express
Si le fond peut susciter l'intérêt du spectateur, en revanche, la forme laisse à désirer. "On l'appelait Roda" se regarde, se savoure (un peu) et s'oublie (vite).
Paris Match
La cinéaste a tenté dans un joli documentaire de montrer Etienne Roda-Gil tel qu’il était : un homme brut, passionné, enflammé, "qui n’avait pas de fond de tiroirs".
Positif
Dommage que le film tourne peu à peu à l’hagiographie, à la célébration répétitive d’un poète qui serait resté un révolutionnaire situationniste ébranlant le système de l’intérieur et qui aurait tout prévu, de Mai 68, mouvement auquel il assurait avoir beaucoup participé, aux attentats islamistes de janvier 2015.
Première
Tous ces entretiens qui composent ce On l’appelait Roda datent de quelques mois avant sa mort. On remerciera au passage la réalisatrice de ne pas nous abreuver de témoignages people et forcément hagiographiques. Seuls Vanessa Paradis donc, Roger Waters ou encore Julien Clerc, racontent avec des mots justes leur Roda. Il y a aussi des anecdotes savoureuses, de celles qui contribuent à la légende.
Télérama
On se contentera de ce documentaire riche de sa présence rebelle et de nombreux témoignages (Julien Clerc, très bien, mais aussi Vanessa Paradis ou Roger Waters).
Voici
Pas mal du tout.