Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
Un film réflexif (...), pendant lequel, cependant, on n'a pas à craindre l'ennui de plans trop longs ou trop méditatifs.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Michaël Melinard
Chopper semble autant prisonnier à l'extérieur que dans un pénitencier. Andrew Dominik a su retranscrire ses contradictions en s'appuyant sur une mise en scène focalisée sur le personnage plus que sur le respect d'une linéarité temporelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Repérages
par Julien Welter
Plutôt que d'être diminué par elle, cette fiction a la puissance rustre de la navrante réalité qu'elle décrit.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
(...) Eric Bana, le Beat Takeshi austral, (...) sublime son personnage. Serpent sec puis raging bull, il est l'indispensable funambule qui empêche Chopper de verser, pute ou curé, hagiographe ou contempteur, dans l'ornière redoutée.
MCinéma.com
par La Rédaction
A l'image de son personnage principal, Chopper est un film provocateur, cynique et « grande gueule ». Inconfortable !
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) on reste dans une vision très superficielle. L'interprète de Chopper, Eric Bana, étonne, cependant, surtout pour sa ressemblance frappante avec Rainer Werner Fassbinder.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Contrairement à Scorsese (...) qui travaille la volte-face et l'ambiguïté relationnelle de ses personnages (Les Affranchis, modèle du genre), Chopper ne charrie aucun signe d'humanité. Il ne provoque ni le dégoût, ni la franche sympathie, juste un état moyen (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Elysabeth François
(...) pochade prétentieuse surfant sur la vague des serial-killers.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par L.H.
A force de scènes violentes et sanguinaires, de dialogues lapidaires, ce long métrage restitue le monde limité et sans intérêt d'un sombre taré. Affligeant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) Chopper (...) risque de choquer les âmes sensibles par sa violence physique, insoutenable de crudité, par la mise en scène, sans aucun recul, et par le sentiment de malaise qui s'en dégage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Fasciné par son personnage, Andrew Dominik n'en ressort qu'une série d'idées reçues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) à force de refuser d'imposer un regard critique sur son héros, le film se perd dans la complexité et les pulsions de son personnage. Il en ressort une impression de néant qui s'apparente à une vanité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par n.c.
Le film joue à la fois l'objectivité - le type est une brute épaisse - et la fascination douteuse pour sa bêtise. Tentative de stylisation, quand la blancheur ultraviolente précède les stroboscopes de la vie hors les murs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Un film réflexif (...), pendant lequel, cependant, on n'a pas à craindre l'ennui de plans trop longs ou trop méditatifs.
L'Humanité
Chopper semble autant prisonnier à l'extérieur que dans un pénitencier. Andrew Dominik a su retranscrire ses contradictions en s'appuyant sur une mise en scène focalisée sur le personnage plus que sur le respect d'une linéarité temporelle.
Repérages
Plutôt que d'être diminué par elle, cette fiction a la puissance rustre de la navrante réalité qu'elle décrit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) Eric Bana, le Beat Takeshi austral, (...) sublime son personnage. Serpent sec puis raging bull, il est l'indispensable funambule qui empêche Chopper de verser, pute ou curé, hagiographe ou contempteur, dans l'ornière redoutée.
MCinéma.com
A l'image de son personnage principal, Chopper est un film provocateur, cynique et « grande gueule ». Inconfortable !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) on reste dans une vision très superficielle. L'interprète de Chopper, Eric Bana, étonne, cependant, surtout pour sa ressemblance frappante avec Rainer Werner Fassbinder.
Urbuz
Contrairement à Scorsese (...) qui travaille la volte-face et l'ambiguïté relationnelle de ses personnages (Les Affranchis, modèle du genre), Chopper ne charrie aucun signe d'humanité. Il ne provoque ni le dégoût, ni la franche sympathie, juste un état moyen (...)
Chronic'art.com
(...) pochade prétentieuse surfant sur la vague des serial-killers.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
A force de scènes violentes et sanguinaires, de dialogues lapidaires, ce long métrage restitue le monde limité et sans intérêt d'un sombre taré. Affligeant.
Le Journal du Dimanche
(...) Chopper (...) risque de choquer les âmes sensibles par sa violence physique, insoutenable de crudité, par la mise en scène, sans aucun recul, et par le sentiment de malaise qui s'en dégage.
Le Monde
Fasciné par son personnage, Andrew Dominik n'en ressort qu'une série d'idées reçues.
Positif
(...) à force de refuser d'imposer un regard critique sur son héros, le film se perd dans la complexité et les pulsions de son personnage. Il en ressort une impression de néant qui s'apparente à une vanité.
Première
Le film joue à la fois l'objectivité - le type est une brute épaisse - et la fascination douteuse pour sa bêtise. Tentative de stylisation, quand la blancheur ultraviolente précède les stroboscopes de la vie hors les murs.