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Votre avis sur J'irai où tu iras ?
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Comédie dramatique sympathique au début puis qui finit par rapidement s'essouffler, il y a très peu de repartie drôle entre les actrices, tous le côté audition ne sert au final à rien et le côté dramatique, bien que plutôt bien joué est très prévisible. Tout juste passable.
FaRem
Géraldine Nakache prend pour la première fois seule la caméra après avoir réalisé "Tout ce qui brille" et "Nous York" avec Hervé Mimran. Pour la troisième fois en trois films, on retrouve Leïla Bekhti au casting. Si le film à New York est un peu à part dans la filmographie de la réalisatrice, on peut voir un lien entre ce nouveau film et "Tout ce qui brille" avec notamment ce rapport à la musique. Ici, les deux amies dans la vraie vie incarnent deux sœurs que tout oppose et qui vont devoir faire la route ensemble pour l'audition de Vali. Un film qui parle de famille, des relations compliquées entre membres d'une même famille, de la maladie, mais aussi des rêves. Si j'avais aimé "Tout ce qui brille" avec sa fraîcheur et sa spontanéité, je n'ai pas retrouvé les mêmes qualités dans ce nouveau film qui m'a paru trop convenu avec une histoire qui manque de naturel. L'histoire fil rouge sur l'audition n'a pas grand intérêt même si j'ai bien aimé les deux passages chantés. La partie dramatique est trop forcée tandis que tout ce qui touche à la comédie n'est pas efficace avec un humour répétitif. La complicité entre Géraldine Nakache et Leïla Bekhti ne peut pas sauver le film étant donné que les deux personnages ne peuvent pas se voir. J'aime beaucoup cette dernière, mais dans ce film, elle est insupportable à brailler sans cesse. Il n'y a pas à dire, le retour à l'écran de ce duo est bien décevant. "J'irai où tu iras" est une comédie dramatique qui ne touche pas plus qu'elle fait rire à cause d'un scénario peu abouti et à revoir.
J'ai trouvé "j'irai ou tu iras" plus drame que comédie d'ou une petite déception. Geraldine Nakache n'irradiant jamais autant que dans un rôle de surgénérateur de bonne humeur et d'énergie le film m'a un peu déconcerté. Je comprends qu'elle veuille se frotter a des rôles autres que ceux dans lequels elle excelle, la question est de savoir si ils lui vont ? Timsit assez bon et Leila Bekhti tout à fait à l'aise font passer un moment plaisant mais j'aurais aimé plus de feel good à titre tout à fait personnel.... 2.5 / 5
Quel plaisir de retrouver ce duo au cinéma ! Le film est à la fois drôle et émouvant. Patrick Timsit est excellent dans son rôle de papa poule, Géraldine Nakache est toujours aussi convaincante et est très touchante, et Leïla Bekhti est incroyable comme à son habitude.
G. Nakache aborde les questions du deuil, de la place et des non-dits familiaux très habilement, tout en montrant leurs conséquences à long terme et l'importance de briser la glace, d'oser se dire les choses pour avancer.
A voir !
G. Nakache aborde les questions du deuil, de la place et des non-dits familiaux très habilement, tout en montrant leurs conséquences à long terme et l'importance de briser la glace, d'oser se dire les choses pour avancer.
A voir !
Un film ou j ai bien aimé les artistes et l histoire qui montre bien les difficultés entre deux sœur
Sarlé J.
Une comédie tendre, un bon moment passé avec nos copines Leïla et Géraldine.
Des personnages incongrus et touchants.
Des personnages incongrus et touchants.
Jorik V
Petite déception pour la nouvelle comédie de Géraldine Nakache (qui réalise pour la première fois seule sans son complice Hervé Mirman) après l’inoubliable comédie générationnelle « Tout ce qui brille » et le sympathique « Nous York ». En effet, ce troisième film encore et toujours avec Leïla Bekhti (amies dans la vraie vie) est tout sauf mémorable. Leur complicité à l’écran est toujours présente et on prend plaisir à les retrouver mais peut-être se lasse-t-on, plus que d’autres, de ce duo de cinéma. « J’irai où tu iras » est vaguement sympathique, il nous fait passer un relatif bon moment sur le coup mais fait partie des films qu’on a sitôt oublié en sortant de la salle. Et, surtout, il ne développe pas un scénario digne de ce nom et le film finit vite par tourner en rond. On peut même dire que le dernier tiers finit par agacer car il n’a plus grand-chose à raconter. Pire, la fin semble expédiée et se révèle psychologiquement peu cohérente. Comme s’il fallait que ces deux sœurs se rabibochent obligatoirement pour terminer sur un happy-end de rigueur. Il ne faut donc pas s’arrêter forcément sur la logique comportementale des deux protagonistes principales bien qu’elles soient plutôt bien croquées au départ. Il y a un goût d’inachevé, d’écrit et de filmé à la va-vite, pour un film qui semble trop miser sur le capital sympathie de ses actrices et de leurs précédents films ensemble.
Heureusement « J’irai où tu iras » n’est pas trop long et il regorge de pas mal de bonnes idées, mais surtout humoristiques. Le long-métrage est moins pertinent sur le versant émotion, avec une histoire de cancer un peu trop facile et caricaturale. A ce titre, le personnage du père incarné par Patrick Timsit est un peu exagéré. On retient pas mal de petits moments très drôles et réjouissants comme lorsque ce dernier fait semblant d’être bègue puis sourd et muet, l’arrivée aux auditions avec le vigile borné ou encore les délires des candidates fans de Céline Dion qui passent les auditions pour devenir choriste aux côtés de la star. Mais si la première partie est sympathique et que l’on rit parfois, la manière dont est croqué ce microcosme de groupies apparait vite un peu chargée voire clairement caricaturale. On y croit plus vraiment à un moment, ça devient même lourd. Et le second rôle interprété par Pascale Arbillot est également un peu too much. Puis le scénario commence à radoter et ne plus avoir grand-chose à raconter que ce soit sur l’histoire de ces deux sœurs que sur la partie show-business. On se retrouve donc devant un long-métrage pas déplaisant au demeurant mais qui ne fera pas date, la faute à un script bien trop léger et un ensemble anecdotique qu’une réalisation anodine ne vient jamais tirer vers le haut.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Heureusement « J’irai où tu iras » n’est pas trop long et il regorge de pas mal de bonnes idées, mais surtout humoristiques. Le long-métrage est moins pertinent sur le versant émotion, avec une histoire de cancer un peu trop facile et caricaturale. A ce titre, le personnage du père incarné par Patrick Timsit est un peu exagéré. On retient pas mal de petits moments très drôles et réjouissants comme lorsque ce dernier fait semblant d’être bègue puis sourd et muet, l’arrivée aux auditions avec le vigile borné ou encore les délires des candidates fans de Céline Dion qui passent les auditions pour devenir choriste aux côtés de la star. Mais si la première partie est sympathique et que l’on rit parfois, la manière dont est croqué ce microcosme de groupies apparait vite un peu chargée voire clairement caricaturale. On y croit plus vraiment à un moment, ça devient même lourd. Et le second rôle interprété par Pascale Arbillot est également un peu too much. Puis le scénario commence à radoter et ne plus avoir grand-chose à raconter que ce soit sur l’histoire de ces deux sœurs que sur la partie show-business. On se retrouve donc devant un long-métrage pas déplaisant au demeurant mais qui ne fera pas date, la faute à un script bien trop léger et un ensemble anecdotique qu’une réalisation anodine ne vient jamais tirer vers le haut.
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Film très médiocre ! Sans intérêt je me suis ennuyé tout le film , ni les acteurs ni l'histoire de ma apporter une satisfaction !
Vivement a déconseiller !
Vivement a déconseiller !
Un plaisir de revoir ces deux femmes jouées ensemble. L’écriture comme l’acting est juste d’une justesse incroyable, on passe du rire aux larmes sans faire d’efforts, sans même essayer. La patte Nackache est bel est bien là. Bravo ! Je vous conseille vivement d’aller le voir. Une très jolie morale, et d’excellents acteurs qui frôlent la perfection.
Excellent film. On navigue entre rires et émotions, les personnages sont travaillés dans le détail et on s'y attache très facilement et rapidement. Les sœurs sont similaires mais ne s'en rendent pas compte par manque de communication et le message est très clair et touchant : on n'a pas besoin de s'entendre sur tout pour s'aimer.
Les jeux de Leila Bekhti, de Géraldine Nakache et de Patrick Timsit sont excellents - que de talent. Les dialogues sont magnifiquement écrits et le film est très bien mené.
A voir, revoir et rerevoir, on passe un très très bon moment.
Les jeux de Leila Bekhti, de Géraldine Nakache et de Patrick Timsit sont excellents - que de talent. Les dialogues sont magnifiquement écrits et le film est très bien mené.
A voir, revoir et rerevoir, on passe un très très bon moment.
Super film, très beaux messages sur la place que l’on se donne dans une famille, des non dit, et du deuil...
Film , simple et léger ,agréable , touchant, bon acteur , j ai passé une très bonne séance ,
On se retrouve un peu dans chaque personnage,
On se retrouve un peu dans chaque personnage,
Je l'ai vu en avant-première. Leila et Géraldine avaient fait le déplacement, elles ont joué le jeu et nous ont bien fait rire. Pour ce qui est du film, j'ai bien aimé aussi. Leila est magnifique Géraldine drôle. Mais celui qui m'a le plus touchée c'est Patrick Timsit. Film à voir.
C'est un peu tard pour la critique, mais j'ai adoré, et je n'ai pas compris l'origine des mauvaises critiques, je ne me suis pas ennuyée une seconde, bien que le film soit français.. peut être je n'étais pas assez désabusée par d'autres films semblables s'il y en a eu, monde désopilant des chanteurs en éternelle attente d'un succès, immergés dans un monde où ils peuvent se retrouver et se rassurer. Peut être la bande annonce en disait trop, et les critiques ont été déçues. C'est souvent le cas et je me demande pourquoi personne ne râle avec ça. Je voulais quand même laisser mon opinion, un moment absolument délicieux!!
Un film moyen qui pour moi n'est pas au même niveau que Tout ce qui brille. Mais je note quand même la pointe d'humour avec le rôle de Géraldine Nakache.
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