Pour son premier long-métrage, Géraldine Nakache s'entoure de son amie Leïla Bekhti pour interpréter deux sœurs fâchées qui vont devoir composer avec la maladie de leur farceur de père (Patrick Timsit). Vali veut devenir choriste de Céline Dion et Mina va donc l'accompagner dans ce périple. Le film démarre assez mal avec une histoire maintes fois exploitée sur grand écran mais il faut reconnaître que l'on se prend d'amitié pour ces sœurs, avec de belles émotions et quelques fous rires. C'est loin d'être une comédie légère et c'est pas plus mal, car pour ses débuts à la réalisation, c'est plutôt encourageant pour Géraldine Nakache qui impose un humour teinté de beaucoup d'autodérision.
Bof, assez décevant.. histoire banale un peu creuse et attendue. Bien joué mais rien d'extraordinaire. Quelques scènes marrantes mais sans plus. Il manque quelquechose..
Voila un film vraiment sympa signé Géraldine Nakache, ou elle se met en scène elle meme avec sa meilleure amie Leila Bekhti, je sais pas si je suis objectif car je suis complètement fan de Leila, pour moi c'est la nouvelle grande actrice française et elle joue de plus en plus de beau rôle. Celui ci en est un. Patrick Timsit vient y ajouter un peu d'humour et de tristesse, bon acteur également. Belle fourchette pour faire un bon film! On aurait vraiment peut etre aimé de savoir comment ca se termine....
Casting communautariste par des "artiste" comme Timsit qui ne survit que grâce à ce système de cooptation sectaire tout en se faisant le chantre de l'anti racisme . Une pensée pour tous les autres artistes, intermittents, qui n'ont pas eu la chance d'être nés dans la bonne famille...
Scénario assez bancal et inégal...Tout est un peu tiré par les cheveux, très superficiel voire complètement improbable et il n'y a pas vraiment de consistance dans la narration. En revanche, la complicité Bekhti/Nakache sauve très clairement le film. L'entente est parfaite, elles sont justes, vraies et surtout très touchantes. Ce film a pour mérite de mettre en avant ce duo qu'on aime tant à l'écran !
Il y a eu « Tout ce qui brille », comédie douce-amère de Géraldine Nakache, avec elle-même et Leïla Bekhti, où deux sœurs issues de la banlieue rêvaient de la quitter pour intégrer le Paris des noctambules fêtards. Avec « J’irai où tu iras », les mêmes nous proposent toujours deux sœurs, diamétralement opposées dans leur caractère et leur métier : l’une est chanteuse qui tente d’être choriste pour Céline Dion et l’autre est thérapeute attentionnée mais introvertie. Elles ne se parlent pas et leur père, joué avec beaucoup de délicatesse par Patrick Timsit, tente de les réunir et communique avec elles par de maladroites marques de tendresse. Un drame familial passé nous éclairera sur ces trois personnages écorchés vifs qui nous touchent. Une belle performance pour ce film où burlesque et tendresse se côtoient avec réussite.
J’allais voir cette comédie avec appréhension au vu d’un casting qui ne m’emballait pas, et pourtant j’ai été conquis. Je dois même vous avouer que celui-ci fait partie des grandes satisfactions. Leïla Bekhti, dont je n’apprécie pas les rôles habituellement, m’a ici convaincu. Son personnage est génial. Elle est franche et sincère, ce qui donne un côté authentique. Elle m’a aussi beaucoup fait rire, notamment lors de ses prises de tête mémorables avec sa sœur. Les deux ensembles, par leur opposition, m’ont parfois mis les larmes aux yeux. La passion du personnage de Géraldine Nakache pour Céline Dion va aussi entrainer plusieurs situations incongrues et hilarantes. Par contre, je n’accroche toujours pas avec cette dernière. Je veux souligner aussi l’importance de Patrick Timsit qu’on ne voit pas beaucoup mais qui est très important. C’est de lui que part la majorité des moments émouvants. Car oui, les larmes qui vont couler risque de ne pas être seulement de rire. Même les rôles secondaires comme Pascale Arbillot y vont de leur apport. À plusieurs moments j’ai été touché par la beauté de cette histoire, certes simples, mais tellement poignantes. Les rapports familiaux quand ils sont bien explorés font mouche, et c’est le cas ici. De plus, le mélange de toutes ces émotions est bien dosé, ce qui permet de passer un moment très agréable.
La rancoeur qui sépare ces deux sœurs saute aux yeux et les non-dits les éloignent à chaque fois un peu plus. Toutefois, les émotions de chacune ne sont pas pleinement explorées et cela laisse ainsi une sensation de superficialité. On assiste plutôt à des « prises de becs » insignifiantes et incessantes plutôt qu’à de réelles disputes constructives. C’est un événement familial inattendu et soudain qui va les rapprocher à nouveau car ensemble, elles seront plus fortes.
Je m’attendais à nul ! Mais au final agréablement surprise. Patrick Timsit m’a beaucoup touché j’ai aimé son personnage .. après le film était plutôt cool mais c’est pas indispensable d’aller le voir non plus.
Un film qui m'a touché. Il rassemble des soeurs éloignés a la suite de la maladie soudaine du père de famille. Cela montre que bien souvent dans les familles on se désintéresse de ses proches , de leurs passions, de leurs vies qui sont parfois différentes.
une bonne comédie sur la fraterie, la famille qui a du rythme et du sens. P.Timsit est génial , le duo Bekti-Nackache fonctionne bien meme s'il est déséquilibré car le personnage de L.Bekti est mieux écrit.la fin n'est un peu rapide et bâclée ou trop bons sentiments.