Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Piquante mais jamais moqueuse, émouvante mais jamais larmoyante, cette comédie s'appuie sur la complicité savoureuse du duo pour faire mouche.
20 Minutes
par Caroline Vié
Géraldine Nakache en chanteuse qui se rêve choriste pour Céline Dion et Leïla Bekhti en thérapeute introvertie font une force de leur amitié complice.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Une histoire d’amour émouvante entre deux «sœurs», dans le film et dans la vie, où on entend aussi du France Gall (scène déjà culte) !
Closer
par La Rédaction
Malgré une introduction un peu brouillonne, on finit par vibrer pour cette histoire (...).
Elle
par Ophélie Daguin
Un film qui saura à coup sûr vous faire rire comme pleurer. Foncez !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Touchant et drôle, ou est-ce l’inverse ? Géraldine Nakache réussit à faire du bon divertissement, avec des sujets profonds.
L'Express
par Christophe Carrière
"J'irais où tu iras" est une jolie réussite, avec un rythme impeccable où le rire le dispute aux larmes, yoyo émotionnel propre aux relations humaines bien racontées.
Marie Claire
par Morgane Giuliani
Sympathique, cocasse et émouvant, mais un peu trop prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Voici
par Lola Sciamma
Un joli film sur la place qu'on décide de prendre dans la vie.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Sous le vernis d’une comédie dramatique familiale, frémit une vraie sensibilité et se murmurent des vœux avec une pudeur qui attise le regard et l’écoute.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une comédie douce-amère un peu éparpillée mais riche en émotions et toujours respectueuse de sa vocation populaire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie pleine de bons sentiments sur les déchirures familiales, que ses deux interprètes, par leur complicité, sauvent du pathos émotionnel, sans toutefois retrouver ce qui faisait la fraîcheur de “Tout ce qui brille”.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Un road-movie sur fond de cicatrices familiales + deux actrices iconiques + un Patrick Timsit très (très) gentil + des gags (drôles) et du sérieux (compassé) + des tartelettes au citron - une ambition cinématographique = le sympathique et indolore "J’irai où tu iras".
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le rire est parfois limite en trop (…) et surtout il couve une vraie mélancolie : celle des dingos eux-mêmes, toujours un peu des âmes perdues, enfants-adultes douloureusement inquiets, et celle des deux sœurs, dont la mésentente outrepasse les codes du buddy movie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Fabien Baumann
[...] une comédie d'abord bien mièvre [...] puis attendrissante [...].
Première
par Thierry Chèze
J’irai où tu iras raconte cet affrontement entre deux forts tempéraments où l’extériorisation de non-dits sera l’occasion d’arriver enfin à se dire "je t’aime". Géraldine Nakache y parvient avec une autodérision toujours bien sentie et un humour jamais moqueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La complicité féconde [de Géraldine Nakache] avec sa soeur d'adoption, Leïla Bekhti, fait largement pencher la balance en faveur de ce pétillant mélo familial, aussi convenu soit-il.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Cette chronique d'une réconciliation annoncée fonctionne grâce à une galerie de personnages drôles et attachants, et à quelques situations bien senties.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec Patrick Timsit en papa poule et veuf, atteint d’un cancer qu’il tente de cacher à ses filles, la comédie se veut douce-amère. Disons qu’il faut aimer très fort son papounet, être nostalgique de la « Star Ac » et fan hard-core de la diva québécoise pour y voir autre chose qu’une mièvrerie aux ficelles épaisses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pour son troisième film, Géraldine Nakache donne toujours la réplique à Leïla Bekhti, mais enlise sa comédie dans des archétypes trop figés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les deux copines-actrices tiennent bien l’abattage de leur duo antinomique, Patrick Timsit est attachant en papa poule, mais on regrette que le cœur de l’histoire ne soit finalement pas approfondi.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sur le thème rebattu d’une famille qui s’aime mais qui ne sait plus se le dire, Géraldine Nakache poursuit sa trajectoire de réalisatrice. Elle ne manque pas d’habileté mais passe à côté de son film faute de ravitailler un genre qu’elle se contente de saturer de gags médiocres.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La petite chronique familiale s’insinue dans le récit, sans prendre le pas sur la comédie. Les larmes succèdent à la gaieté, la frénésie à l’introspection rapide. Le mariage aurait eu des chances de fonctionner. Encore aurait-il fallu un scénario moins approximatif et attendu, une réalisation moins brouillonne et relâchée (...).
Ouest France
Piquante mais jamais moqueuse, émouvante mais jamais larmoyante, cette comédie s'appuie sur la complicité savoureuse du duo pour faire mouche.
20 Minutes
Géraldine Nakache en chanteuse qui se rêve choriste pour Céline Dion et Leïla Bekhti en thérapeute introvertie font une force de leur amitié complice.
BIBA
Une histoire d’amour émouvante entre deux «sœurs», dans le film et dans la vie, où on entend aussi du France Gall (scène déjà culte) !
Closer
Malgré une introduction un peu brouillonne, on finit par vibrer pour cette histoire (...).
Elle
Un film qui saura à coup sûr vous faire rire comme pleurer. Foncez !
Femme Actuelle
Touchant et drôle, ou est-ce l’inverse ? Géraldine Nakache réussit à faire du bon divertissement, avec des sujets profonds.
L'Express
"J'irais où tu iras" est une jolie réussite, avec un rythme impeccable où le rire le dispute aux larmes, yoyo émotionnel propre aux relations humaines bien racontées.
Marie Claire
Sympathique, cocasse et émouvant, mais un peu trop prévisible.
Voici
Un joli film sur la place qu'on décide de prendre dans la vie.
Bande à part
Sous le vernis d’une comédie dramatique familiale, frémit une vraie sensibilité et se murmurent des vœux avec une pudeur qui attise le regard et l’écoute.
La Voix du Nord
Une comédie douce-amère un peu éparpillée mais riche en émotions et toujours respectueuse de sa vocation populaire.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie pleine de bons sentiments sur les déchirures familiales, que ses deux interprètes, par leur complicité, sauvent du pathos émotionnel, sans toutefois retrouver ce qui faisait la fraîcheur de “Tout ce qui brille”.
Le Parisien
Un film touchant.
Les Fiches du Cinéma
Un road-movie sur fond de cicatrices familiales + deux actrices iconiques + un Patrick Timsit très (très) gentil + des gags (drôles) et du sérieux (compassé) + des tartelettes au citron - une ambition cinématographique = le sympathique et indolore "J’irai où tu iras".
Les Inrockuptibles
Le rire est parfois limite en trop (…) et surtout il couve une vraie mélancolie : celle des dingos eux-mêmes, toujours un peu des âmes perdues, enfants-adultes douloureusement inquiets, et celle des deux sœurs, dont la mésentente outrepasse les codes du buddy movie.
Positif
[...] une comédie d'abord bien mièvre [...] puis attendrissante [...].
Première
J’irai où tu iras raconte cet affrontement entre deux forts tempéraments où l’extériorisation de non-dits sera l’occasion d’arriver enfin à se dire "je t’aime". Géraldine Nakache y parvient avec une autodérision toujours bien sentie et un humour jamais moqueur.
Télé 7 Jours
La complicité féconde [de Géraldine Nakache] avec sa soeur d'adoption, Leïla Bekhti, fait largement pencher la balance en faveur de ce pétillant mélo familial, aussi convenu soit-il.
Télé Loisirs
Cette chronique d'une réconciliation annoncée fonctionne grâce à une galerie de personnages drôles et attachants, et à quelques situations bien senties.
L'Obs
Avec Patrick Timsit en papa poule et veuf, atteint d’un cancer qu’il tente de cacher à ses filles, la comédie se veut douce-amère. Disons qu’il faut aimer très fort son papounet, être nostalgique de la « Star Ac » et fan hard-core de la diva québécoise pour y voir autre chose qu’une mièvrerie aux ficelles épaisses.
La Croix
Pour son troisième film, Géraldine Nakache donne toujours la réplique à Leïla Bekhti, mais enlise sa comédie dans des archétypes trop figés.
Le Journal du Dimanche
Les deux copines-actrices tiennent bien l’abattage de leur duo antinomique, Patrick Timsit est attachant en papa poule, mais on regrette que le cœur de l’histoire ne soit finalement pas approfondi.
Sud Ouest
Sur le thème rebattu d’une famille qui s’aime mais qui ne sait plus se le dire, Géraldine Nakache poursuit sa trajectoire de réalisatrice. Elle ne manque pas d’habileté mais passe à côté de son film faute de ravitailler un genre qu’elle se contente de saturer de gags médiocres.
Le Monde
La petite chronique familiale s’insinue dans le récit, sans prendre le pas sur la comédie. Les larmes succèdent à la gaieté, la frénésie à l’introspection rapide. Le mariage aurait eu des chances de fonctionner. Encore aurait-il fallu un scénario moins approximatif et attendu, une réalisation moins brouillonne et relâchée (...).