Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
"J'irais où tu iras" est une jolie réussite, avec un rythme impeccable où le rire le dispute aux larmes, yoyo émotionnel propre aux relations humaines bien racontées.
Sous le vernis d’une comédie dramatique familiale, frémit une vraie sensibilité et se murmurent des vœux avec une pudeur qui attise le regard et l’écoute.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Une comédie pleine de bons sentiments sur les déchirures familiales, que ses deux interprètes, par leur complicité, sauvent du pathos émotionnel, sans toutefois retrouver ce qui faisait la fraîcheur de “Tout ce qui brille”.
Un road-movie sur fond de cicatrices familiales + deux actrices iconiques + un Patrick Timsit très (très) gentil + des gags (drôles) et du sérieux (compassé) + des tartelettes au citron - une ambition cinématographique = le sympathique et indolore "J’irai où tu iras".
Le rire est parfois limite en trop (…) et surtout il couve une vraie mélancolie : celle des dingos eux-mêmes, toujours un peu des âmes perdues, enfants-adultes douloureusement inquiets, et celle des deux sœurs, dont la mésentente outrepasse les codes du buddy movie.
J’irai où tu iras raconte cet affrontement entre deux forts tempéraments où l’extériorisation de non-dits sera l’occasion d’arriver enfin à se dire "je t’aime". Géraldine Nakache y parvient avec une autodérision toujours bien sentie et un humour jamais moqueur.
La critique complète est disponible sur le site Première
La complicité féconde [de Géraldine Nakache] avec sa soeur d'adoption, Leïla Bekhti, fait largement pencher la balance en faveur de ce pétillant mélo familial, aussi convenu soit-il.
Cette chronique d'une réconciliation annoncée fonctionne grâce à une galerie de personnages drôles et attachants, et à quelques situations bien senties.
Avec Patrick Timsit en papa poule et veuf, atteint d’un cancer qu’il tente de cacher à ses filles, la comédie se veut douce-amère. Disons qu’il faut aimer très fort son papounet, être nostalgique de la « Star Ac » et fan hard-core de la diva québécoise pour y voir autre chose qu’une mièvrerie aux ficelles épaisses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les deux copines-actrices tiennent bien l’abattage de leur duo antinomique, Patrick Timsit est attachant en papa poule, mais on regrette que le cœur de l’histoire ne soit finalement pas approfondi.
Sur le thème rebattu d’une famille qui s’aime mais qui ne sait plus se le dire, Géraldine Nakache poursuit sa trajectoire de réalisatrice. Elle ne manque pas d’habileté mais passe à côté de son film faute de ravitailler un genre qu’elle se contente de saturer de gags médiocres.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La petite chronique familiale s’insinue dans le récit, sans prendre le pas sur la comédie. Les larmes succèdent à la gaieté, la frénésie à l’introspection rapide. Le mariage aurait eu des chances de fonctionner. Encore aurait-il fallu un scénario moins approximatif et attendu, une réalisation moins brouillonne et relâchée (...).
Ouest France
Piquante mais jamais moqueuse, émouvante mais jamais larmoyante, cette comédie s'appuie sur la complicité savoureuse du duo pour faire mouche.
20 Minutes
Géraldine Nakache en chanteuse qui se rêve choriste pour Céline Dion et Leïla Bekhti en thérapeute introvertie font une force de leur amitié complice.
BIBA
Une histoire d’amour émouvante entre deux «sœurs», dans le film et dans la vie, où on entend aussi du France Gall (scène déjà culte) !
Closer
Malgré une introduction un peu brouillonne, on finit par vibrer pour cette histoire (...).
Elle
Un film qui saura à coup sûr vous faire rire comme pleurer. Foncez !
Femme Actuelle
Touchant et drôle, ou est-ce l’inverse ? Géraldine Nakache réussit à faire du bon divertissement, avec des sujets profonds.
L'Express
"J'irais où tu iras" est une jolie réussite, avec un rythme impeccable où le rire le dispute aux larmes, yoyo émotionnel propre aux relations humaines bien racontées.
Marie Claire
Sympathique, cocasse et émouvant, mais un peu trop prévisible.
Voici
Un joli film sur la place qu'on décide de prendre dans la vie.
Bande à part
Sous le vernis d’une comédie dramatique familiale, frémit une vraie sensibilité et se murmurent des vœux avec une pudeur qui attise le regard et l’écoute.
La Voix du Nord
Une comédie douce-amère un peu éparpillée mais riche en émotions et toujours respectueuse de sa vocation populaire.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie pleine de bons sentiments sur les déchirures familiales, que ses deux interprètes, par leur complicité, sauvent du pathos émotionnel, sans toutefois retrouver ce qui faisait la fraîcheur de “Tout ce qui brille”.
Le Parisien
Un film touchant.
Les Fiches du Cinéma
Un road-movie sur fond de cicatrices familiales + deux actrices iconiques + un Patrick Timsit très (très) gentil + des gags (drôles) et du sérieux (compassé) + des tartelettes au citron - une ambition cinématographique = le sympathique et indolore "J’irai où tu iras".
Les Inrockuptibles
Le rire est parfois limite en trop (…) et surtout il couve une vraie mélancolie : celle des dingos eux-mêmes, toujours un peu des âmes perdues, enfants-adultes douloureusement inquiets, et celle des deux sœurs, dont la mésentente outrepasse les codes du buddy movie.
Positif
[...] une comédie d'abord bien mièvre [...] puis attendrissante [...].
Première
J’irai où tu iras raconte cet affrontement entre deux forts tempéraments où l’extériorisation de non-dits sera l’occasion d’arriver enfin à se dire "je t’aime". Géraldine Nakache y parvient avec une autodérision toujours bien sentie et un humour jamais moqueur.
Télé 7 Jours
La complicité féconde [de Géraldine Nakache] avec sa soeur d'adoption, Leïla Bekhti, fait largement pencher la balance en faveur de ce pétillant mélo familial, aussi convenu soit-il.
Télé Loisirs
Cette chronique d'une réconciliation annoncée fonctionne grâce à une galerie de personnages drôles et attachants, et à quelques situations bien senties.
L'Obs
Avec Patrick Timsit en papa poule et veuf, atteint d’un cancer qu’il tente de cacher à ses filles, la comédie se veut douce-amère. Disons qu’il faut aimer très fort son papounet, être nostalgique de la « Star Ac » et fan hard-core de la diva québécoise pour y voir autre chose qu’une mièvrerie aux ficelles épaisses.
La Croix
Pour son troisième film, Géraldine Nakache donne toujours la réplique à Leïla Bekhti, mais enlise sa comédie dans des archétypes trop figés.
Le Journal du Dimanche
Les deux copines-actrices tiennent bien l’abattage de leur duo antinomique, Patrick Timsit est attachant en papa poule, mais on regrette que le cœur de l’histoire ne soit finalement pas approfondi.
Sud Ouest
Sur le thème rebattu d’une famille qui s’aime mais qui ne sait plus se le dire, Géraldine Nakache poursuit sa trajectoire de réalisatrice. Elle ne manque pas d’habileté mais passe à côté de son film faute de ravitailler un genre qu’elle se contente de saturer de gags médiocres.
Le Monde
La petite chronique familiale s’insinue dans le récit, sans prendre le pas sur la comédie. Les larmes succèdent à la gaieté, la frénésie à l’introspection rapide. Le mariage aurait eu des chances de fonctionner. Encore aurait-il fallu un scénario moins approximatif et attendu, une réalisation moins brouillonne et relâchée (...).