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L’onirisme diffus des représentations des lieux de travail sur lesquels se déploient ces souvenirs nocturnes les inscrit dans un espace mental aussi troublant que familier. Un espace où le sujet s’exprime aussi fort que le monde du travail le tue. Quel beau film !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La force de ce bout à bout cauchemardesque est d’être le reflet à la fois d’une réalité salariée “fin de règne”, comme le dit un employé, et de l’extraordinaire pouvoir de dénonciation de l’imaginaire onirique de chacun.
Les Fiches du Cinéma
Un travail d’anthropologue implacable et édifiant, magnifié par l’intelligence des images.
Positif
Des rêves sur le travail, récits qui s'enchaînent comme autant de réalités saupoudrées d'un peu de fantastique.
Télérama
L’onirisme diffus des représentations des lieux de travail sur lesquels se déploient ces souvenirs nocturnes les inscrit dans un espace mental aussi troublant que familier. Un espace où le sujet s’exprime aussi fort que le monde du travail le tue. Quel beau film !
Le Monde
Le premier mérite de Rêver sous le capitalisme est de donner à entendre les rêves (...). Le second pari, plutôt réussi, tient à l'image.
Les Inrockuptibles
La force de ce bout à bout cauchemardesque est d’être le reflet à la fois d’une réalité salariée “fin de règne”, comme le dit un employé, et de l’extraordinaire pouvoir de dénonciation de l’imaginaire onirique de chacun.
Première
Répétitif, le dispositif suscite néanmoins une foule d’interrogations.