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[...] s'appuyant beaucoup sur des intrigues polars pour raconter la société philippine, ses arrière-cours et ses dérives. "Alpha : The Right to Kill" ne déroge pas à la règle, qui brode avec brio autour de l'enquête, du cercle familial, de la vie de la rue. Une heure trente-quatre au compteur. Ramassé, tendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Indépendant, chez Mendoza, ça veut dire critique : il ne cesse de faire de son cinéma le lieu de la dénonciation de tout ce qui ne va pas aux Philippines. Avec Alpha, polar poisseur dans les bas-fonds de Manille, sur fond de trafic de drogue et de misère, il se met dans les pas d'un flic ripoux. C'est violent et c'est un film coup de poing.
Mendoza filme le combat de deux pères pour la survie de leur famille plutôt qu’une lutte de pouvoir entre escrocs, et parvient à faire tenir sur le fil l’acuité du documentaire et l’efficacité du thriller.
Tableau minutieux, labyrinthique, qui s’inscrit dans une œuvre âpre et passionnante, de "John John" à "Ma Rosa" en passant par "Serbis", "Kinatay" ou "Lola".
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Dans la guerre déclarée contre la drogue menée, avec des méthodes douteuses, par le président Duterte, Brillante Mendoza renvoie habilement dos à dos trafiquants et policiers corrompus dans un polar asphyxiant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Avec sa caméra à l’épaule, le réalisateur montre la misère, les trafics (comment cacher de la drogue dans les couches de son bébé ou se servir de pigeons voyageurs), le cynisme du pouvoir. Le tableau, s’il est noir, n’est pas nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Il ne reste qu’à décider si cette prise de position implicite constitue un obstacle insurmontable à la vision du film. Si l’on répond par la négative, Alpha… n’est pas dépourvu d’intérêt, que ce soit à travers son attention au détail dans la description du commerce des stupéfiants ou à travers sa peinture de la relation quasiment sadomasochiste qui unit le policier corrompu à son indicateur.
La fiction fiévreuse de Mendoza, aux allures de documentaire immersif, cumule les réussites formelles au détriment d'un sujet à la complexité maigrement effleurée.
Servi par un scénario très habile de Troy Espiritu [...], Brillante Mendoza met remarquablement en place tous les éléments de ces situations. [...] Cependant, on perçoit bien qu'il louvoie pour défendre et soutenir Duterte, tout en tentant de se protéger, en tant que cinéaste, pour ne pas être accusé de compromission avec un pouvoir antidémocratique, dictatorial et sanguinaire.
La corruption gangrène chaque échelon de la hiérarchie, et Mendoza joue sur l’ambiguïté de ses personnages. Mais pourquoi alors filmer sans aucun recul ces parades militaires à la gloire de l’armée ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brillante Mendoza veut dénoncer frontalement la violence et la corruption qui gangrènent son pays. L’intention est bonne mais son style hyper réaliste, centré sur le drame social à l’échelle intime, et les codes du film policier s’avèrent incompatibles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
"Alpha, the right to kill" est une œuvre impitoyable qui ne laisse peu de place à l’espoir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C'est violent et c'est un film coup de poing.
L'Express
[...] s'appuyant beaucoup sur des intrigues polars pour raconter la société philippine, ses arrière-cours et ses dérives. "Alpha : The Right to Kill" ne déroge pas à la règle, qui brode avec brio autour de l'enquête, du cercle familial, de la vie de la rue. Une heure trente-quatre au compteur. Ramassé, tendu.
L'Obs
Aussi accablant pour les forces de l’ordre que pour les caïds de la défonce, ce film noir, mené à un train d’enfer, n’offre au spectateur aucun répit.
Le Dauphiné Libéré
Indépendant, chez Mendoza, ça veut dire critique : il ne cesse de faire de son cinéma le lieu de la dénonciation de tout ce qui ne va pas aux Philippines. Avec Alpha, polar poisseur dans les bas-fonds de Manille, sur fond de trafic de drogue et de misère, il se met dans les pas d'un flic ripoux. C'est violent et c'est un film coup de poing.
Les Inrockuptibles
Mendoza filme le combat de deux pères pour la survie de leur famille plutôt qu’une lutte de pouvoir entre escrocs, et parvient à faire tenir sur le fil l’acuité du documentaire et l’efficacité du thriller.
Ouest France
Un récit documenté - un peu moraliste - exposant les difficultés d'action des forces de l'ordre.
Sud Ouest
Tableau minutieux, labyrinthique, qui s’inscrit dans une œuvre âpre et passionnante, de "John John" à "Ma Rosa" en passant par "Serbis", "Kinatay" ou "Lola".
Transfuge
Un film comme une came de premier choix : sans la moindre impureté.
L'Humanité
Film d’action parfaitement mené, mais brouillé par un parti pris de béhaviorisme extrême.
La Croix
Dans la guerre déclarée contre la drogue menée, avec des méthodes douteuses, par le président Duterte, Brillante Mendoza renvoie habilement dos à dos trafiquants et policiers corrompus dans un polar asphyxiant.
Le Figaro
Avec sa caméra à l’épaule, le réalisateur montre la misère, les trafics (comment cacher de la drogue dans les couches de son bébé ou se servir de pigeons voyageurs), le cynisme du pouvoir. Le tableau, s’il est noir, n’est pas nouveau.
Le Journal du Dimanche
Un constat d’un nihilisme absolu.
Le Monde
Il ne reste qu’à décider si cette prise de position implicite constitue un obstacle insurmontable à la vision du film. Si l’on répond par la négative, Alpha… n’est pas dépourvu d’intérêt, que ce soit à travers son attention au détail dans la description du commerce des stupéfiants ou à travers sa peinture de la relation quasiment sadomasochiste qui unit le policier corrompu à son indicateur.
Les Fiches du Cinéma
La fiction fiévreuse de Mendoza, aux allures de documentaire immersif, cumule les réussites formelles au détriment d'un sujet à la complexité maigrement effleurée.
Positif
Servi par un scénario très habile de Troy Espiritu [...], Brillante Mendoza met remarquablement en place tous les éléments de ces situations. [...] Cependant, on perçoit bien qu'il louvoie pour défendre et soutenir Duterte, tout en tentant de se protéger, en tant que cinéaste, pour ne pas être accusé de compromission avec un pouvoir antidémocratique, dictatorial et sanguinaire.
Télérama
La corruption gangrène chaque échelon de la hiérarchie, et Mendoza joue sur l’ambiguïté de ses personnages. Mais pourquoi alors filmer sans aucun recul ces parades militaires à la gloire de l’armée ?
Première
ucun doute, ce cinéaste sait comme personne nous embarquer avec lui. Dommage qu’il n’ait pas apporté le même soin à l’écriture de son récit.
aVoir-aLire.com
Brillante Mendoza veut dénoncer frontalement la violence et la corruption qui gangrènent son pays. L’intention est bonne mais son style hyper réaliste, centré sur le drame social à l’échelle intime, et les codes du film policier s’avèrent incompatibles.