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Un drame de l’émigration économique d’autant plus fort qu’il est conté à voix basse, avec un réalisme sans pathos et une humanité pleine de tact, à travers des personnages d’une émouvante justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Avec ce mélodrame poignant, Olivier Meys surprend agréablement. Fascination pour le miroir aux alouettes de l’argent, illusions perdues, retour douloureux au bercail. Une histoire intemporelle, sublimée par des interprètes magistraux.
Chronique sociale d’une émouvante justesse, Les fleurs amères marche sur le fil entre le documentaire et la fiction pour montrer un aspect sciemment ignoré de l’immigration chinoise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Pour mettre en scène ce drame social, le cinéaste belge se place dans le sillon de ses compatriotes, les frères Dardenne, filmant caméra à l’épaule son personnage central dans une proximité empathique. Même si la référence est un peu voyante, l’absence de surenchère, la retenue du scénario et l’ambiguïté de la fin ouverte font de ce film une belle découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
A la frontière du documentaire et de la fiction, Les Fleurs amères surprend par ses images tournées dans le vif de la rue, au milieu de la foule où le corps menu de Lina déambule, filmé à cette distance juste que sait estimer le chef opérateur Benoît Dervaux.
Sans jamais être didactique, porté par la grâce de son interprète principale, Les Fleurs amères montre la descente aux enfers des migrants : esclavage moderne, précarité extrême, exploitation, prostitution. On regrette néanmoins que le récit soit enfermé dans un corset de dignité qui empêche, certes, le film de tomber dans le mélo, mais aussi l’émotion de naître.
La critique complète est disponible sur le site Première
Très convaincant pendant une heure, le film perd, hélas, de sa force dans la dernière partie, plus ouvertement fictionnelle et plus mélo, quand Lina retourne dans sa région natale de Dongbei et doit assumer les conséquences de ses mensonges.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Un drame de l’émigration économique d’autant plus fort qu’il est conté à voix basse, avec un réalisme sans pathos et une humanité pleine de tact, à travers des personnages d’une émouvante justesse.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce mélodrame poignant, Olivier Meys surprend agréablement. Fascination pour le miroir aux alouettes de l’argent, illusions perdues, retour douloureux au bercail. Une histoire intemporelle, sublimée par des interprètes magistraux.
Ouest France
Un portrait de femme et une chronique sociale touchante.
aVoir-aLire.com
Chronique sociale d’une émouvante justesse, Les fleurs amères marche sur le fil entre le documentaire et la fiction pour montrer un aspect sciemment ignoré de l’immigration chinoise.
L'Humanité
Ce film linéaire, aux séquences parisiennes et chinoises fort bien articulées, n’atteint pas des sommets esthétiques mais s’avère poignant.
L'Obs
Pour mettre en scène ce drame social, le cinéaste belge se place dans le sillon de ses compatriotes, les frères Dardenne, filmant caméra à l’épaule son personnage central dans une proximité empathique. Même si la référence est un peu voyante, l’absence de surenchère, la retenue du scénario et l’ambiguïté de la fin ouverte font de ce film une belle découverte.
Le Monde
A la frontière du documentaire et de la fiction, Les Fleurs amères surprend par ses images tournées dans le vif de la rue, au milieu de la foule où le corps menu de Lina déambule, filmé à cette distance juste que sait estimer le chef opérateur Benoît Dervaux.
Première
Sans jamais être didactique, porté par la grâce de son interprète principale, Les Fleurs amères montre la descente aux enfers des migrants : esclavage moderne, précarité extrême, exploitation, prostitution. On regrette néanmoins que le récit soit enfermé dans un corset de dignité qui empêche, certes, le film de tomber dans le mélo, mais aussi l’émotion de naître.
Télérama
Très convaincant pendant une heure, le film perd, hélas, de sa force dans la dernière partie, plus ouvertement fictionnelle et plus mélo, quand Lina retourne dans sa région natale de Dongbei et doit assumer les conséquences de ses mensonges.