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J'ai aimé le scénario, les personnages et être immergé dans ce mélange de réelle et fiction. Les acteurs sont tous superbes dans leur rôle. On passe un très bon moment
L'idée était bonne. Les acteurs sont bons les décors et costumes au top mais on s'ennuie ferme. Que de longueurs ! Les personnages sont tous antipathiques. Et les quelques répliques crues sonnent tellement faux. Dommage
Bof ! Je me suis ennuyée
Vulgarités inutiles
Fanny Ardant surjoue et sa voix est fausse
Je ne conseille pas
Vulgarités inutiles
Fanny Ardant surjoue et sa voix est fausse
Je ne conseille pas
la belle époque nous plonge dans le passé et la nostalgie.
qui ne voudrait pas revivre un moment important de sa vie.
Doria Tillier est magnifiquement filmée et le casting 4 étoiles
ne déçoit pas.
qui ne voudrait pas revivre un moment important de sa vie.
Doria Tillier est magnifiquement filmée et le casting 4 étoiles
ne déçoit pas.
Dès les premières scènes lourdingues, on a peine à croire que ce film puisse être sauvé. Un homme et sa femme ne se supportent plus guère ; eux qui se sont apparemment tant aimés dans leurs jeunes années. L’entame du film nous montre de manière grossière et sans subtilité un couple qui ne s’entend plus sur rien. Le fils du couple va s’appuyer sur la start up événementielle novatrice pour réparer le couple de ses parents. Derrière cet œdipe mal déconstruit, le fiston conduit dans un « The game » (Film de David Fincher) en forme de vaudeville franchouillard ses parents. Mis à part quelques répliques tout est médiocre et même très souvent franchement vulgaire. L’écriture est plus que maladroite ; boursoufflée à l’image d’un scénariste et réalisateur à l’ego surdimensionné. Et c’est bien lui-même, Nicolas Bedos, qui prostituerait sa propre femme (l’actrice principale est en plus sa propre femme !!!) pour avoir du succès et non un Guillaume Canet mauvais dans le rôle de ce réalisateur dans lequel on voit son géniteur (Bedos himself !!!). Ce dernier déjà mauvais comme réalisateur dans la real life, médiocre comme acteur, n’en finit pas de sombrer ; à se demander d’où il tire une légitimité surévaluée lui permettant de lever des budgets colossaux pour des films médiocres. Son comparse Bedos n’est guère mieux. Et malgré tout , il parvient à monter un casting 4 étoiles au cœur du quel des pointures du cinéma français se démènent dans une fange de médiocrité. Seul le personnage joué par Daniel Auteuil semble bien écrit pour pouvoir être joué sans emphase et justesse.
Comment ce film a pu être aussi adulé à sa sortir ? A part le culte de l’entre soit, cela reste une énigme…
TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
Comment ce film a pu être aussi adulé à sa sortir ? A part le culte de l’entre soit, cela reste une énigme…
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Scénario original. Excellents acteurs. Même si la fin est parfaitement prévisible, le spectateur se laisse prendre par cette immersion dans le passé.
Vu au ciné "LA BELLE ÉPOQUE" le nouveau film de Nicolas Bedos, fable sur le temps qui passe et l'érosion de l'amour, l'histoire d'un dessinateur marié depuis plus de 40 ans dont le couple est usé; par l'intermédiaire de son fils et d'une société qui permet de recréer des moments historiques ou de son propre passé, il va désirer se retrouver à l'époque où il a rencontré celle qui deviendra sa femme, tentant en revivant ce bonheur de retrouver celle qu'il a aimé, mais la reconstitution ne sera pas sans trouble ni danger pour lui et aussi pour celle qui rejoue sa femme, fiction et réalité vont ainsi se croiser et interactiver avec douleur et doutes, un sujet casse-gueule que la mise en scène virevoltante, punchy et astucieuse de Bedos réussit à rendre attrayant et jamais lourd ni pesant, avec des dialogues savoureux et parfois crus, un vrai sens du romanesque et du lyrisme mêlés à des situations souvent décapantes et pittoresques, au final jouissif et souvent teinté d'une belle émotion, avec un sens aigu mais non plombant de la nostalgie, le tout fonctionne avec une belle alchimie grâce surtout aux comédiens tous formidables: Guillaume Canet étonne encore dans un rôle moins empathique, en scénariste un peu perdu dans sa vie personnelle, Doria Tillier apporte à son personnage toute son énergie et sa belle sensibilité, et puis il y a deux magnifiques cadors du cinéma français: Daniel Auteuil et Fanny Ardant qu'on a toujours plaisir à voir: Auteuil très charismatique et intense, touchant et vibrant, pour l'un de ses meilleurs rôles et la trop rare sur le grand écran Fanny Ardant toujours aussi superbe, à la fois d'une belle sensibilité et d'une belle folie, elle irradie et est épatante, leurs scènes ensemble sont détonnantes et aussi bouleversantes, pleines de charme, de tendresse et de mélancolie aussi, à l'image de ce film assez inclassable, comédie satirique et sentimentale, un objet filmique original qui parvient à être puissant à la fois dans son fonds et sa forme, vraiment très réussi !
Un film inventif, pétillant, souvent éblouissant qui mélange de façon très heureuse, le présent, le passé, la réalité, le jeu.. servi par des acteurs épatants (Daniel Auteuil, Fany Ardant, PIerre Arditti, Denis podalydès, Guillaume Canet..). Belle mise en scène, grande fluidité, superbes répliques...Le démarrage surprend un peu, mais on rentre très vite dans ce divertissement, qui, mine de rien, traite de plusieurs problèmatiques : l'amour martital et le vieillissement, l'amour paternel, l'être et le paraître, le coté artificiel du monde numérique et de celui du spectacle et nous ramène avec nostalgie dans le monde des années 70
un bon moment de cinéma, un très bon film
un bon moment de cinéma, un très bon film
Vous avez aimé le père humoriste, vous pourriez adorer le fils metteur en scène. Film de génération peut-être, Auteuil et Ardant ont notre âge, Bedos et Tellier, celui de nos enfants. Mais la mayonnaise prend et va vous entrainer dans un scénario les plus réussis depuis longtemps dans le cinéma français. Surfant sans cesse entre le rire et l'émotion, on se croirait par moment chez Chaplin. Le rythme ne faiblit jamais, résultat d'un montage brillant, et les acteurs sont tous là pour relancer la machine s'il le faut, s'appuyant sur des dialogues sur vitaminés. La pétulante Tellier et le faux dur Canet sont parfaits, sans parler de Auteuil, mais la bonne surprise, c'est de retrouver une Fanny Ardant, naturelle et même bouleversante sur la fin. Voilà du cinéma qui reste une machine à rêves tout en parlant de la vraie vie. Sans se prendre la tête, et nous ressasser que "c'était mieux avant", au contraire La Belle Epoque sait parler du temps qui passe, des rencontres qui ont marqué une vie, des apparences et des faux-semblants. Voilà un film abouti, qui pète le feu, à l'inverse de celui vu la veille qui nous bien refroidi, malgré le titre. Festival Lumière - octobre 2019
Ufuk K
" la belle époque" de Nicolas Bedos" est une comédie sentimentale qui sort des sentiers battus. En effet j'ai apprécié l'originalité du scénario qui casse un peu les codes du genre dans une histoire emprunte de nostalgie, humour et émotion, un casting 5 étoiles qui offre à Fanny Ardant, Daniel Auteuil, Guillaume Canet et Doria Tillier des rôles sur mesure.
Ce film beau et brillant, il saupoudre vos yeux de paillettes et de magie. On y suit le personnage principal, plutôt bien incarné par Daniel Auteuil, dans une machinerie abracadabrantesque. Les retournements de situations sont joliment trouvés et la ligne scénaristique est plutôt bonne. à part des petites longueurs, ce film à tout pour plaire !
Après son enthousiasmante première réalisation en 2017, Monsieur & Madame Adelman, Nicolas Bedos revient derrière la caméra avec un casting quatre étoiles. Daniel Auteuil, Guillaume Canet, Fanny Ardant et Doria Tillier se partagent presque à parts égales les premiers rôles. Ils sont tous parfaitement dirigés et donnent le meilleur d’eux-mêmes pour cette histoire à laquelle ils semblent vraiment croire. Daniel Auteuil est formidable du début à la fin. D’abord parfaitement crédible en vieil acariâtre, il propose un personnage qui bascule dans une subtile et très jolie candeur au fur et à mesure de l’avancée du récit. Fanny Ardant livre une prestation au début assez glaçante avant de briser la carapace et de nous offrir un final plein de grâce. Doria Tillier s’avère une nouvelle fois brillante et pétillante. Quant à Guillaume Canet, il semble beaucoup s’amuser à jouer ce personnage de dur au cœur tendre. Mais ce beau quatuor d’acteurs ne serait rien sans la belle partition écrite par Nicolas Bedos. Cette idée de revivre des moments d’histoire de son passé est assez formidable et cela fonctionne à merveille. Notamment parce que la mise en scène est efficace et que le film dispose de très beaux décors et d’un effet « film dans le film » particulièrement bien rendu à l’image. On passe donc un moment entre rires et émotions dans ce joli second film qui en appelle d’autres.
Un bon film de Nicolas Bedos. Il apporte un rythme soutenu, avec un scénario et des dialogues efficaces , servi par de bons acteurs . Les décors sont également très soigné. J'ai passé un bon moment
Un film médiocre malgré le talent d'Auteuil.
Scénario répétitif, invraisemblable, caricatural, avec des longueurs. Dialogues parfois assez drôles mais atteignant souvent des sommets de vulgarité qui donnent la nausée, et globalement indigents.
Dommage.
Scénario répétitif, invraisemblable, caricatural, avec des longueurs. Dialogues parfois assez drôles mais atteignant souvent des sommets de vulgarité qui donnent la nausée, et globalement indigents.
Dommage.
J’ai eu un coup de coeur pour le dernier film de Nicolas Bedos que j’ai trouvé foisonnant d’idées, original et plein de fantaisie, écrit comme sous cocaïne, disons avec effervescence !
Il a de plus le mérite d’aborder avec sensibilité et réflexion plusieurs thèmes comme l’usure et le vieillissement des individus et des couples ; la nostalgie ; la reconnaissance ; la modernité versus l’ancrage dans les traditions passées ; la mémoire, sa dimension subjective ou sa véracité et le détail dans les souvenirs ; le désir ; la fonction cathartique de la fiction…
J’ai apprécié les côtés parfois très ludiques de l’histoire et je me suis prise au jeu presqu’autant que Daniel Auteuil.
Oui, certaines lourdeurs peuvent faire tiquer, mais elles se font vite oublier dans le tourbillon du scénario.
Les acteurs sont excellents, mention spéciale à Fanny Ardant. Les dialogues défilent et sont parfois mordants, souvent fins.
C’est un film étonnant et atypique que je conseille.
Mon blog : larroseurarrose.com
Il a de plus le mérite d’aborder avec sensibilité et réflexion plusieurs thèmes comme l’usure et le vieillissement des individus et des couples ; la nostalgie ; la reconnaissance ; la modernité versus l’ancrage dans les traditions passées ; la mémoire, sa dimension subjective ou sa véracité et le détail dans les souvenirs ; le désir ; la fonction cathartique de la fiction…
J’ai apprécié les côtés parfois très ludiques de l’histoire et je me suis prise au jeu presqu’autant que Daniel Auteuil.
Oui, certaines lourdeurs peuvent faire tiquer, mais elles se font vite oublier dans le tourbillon du scénario.
Les acteurs sont excellents, mention spéciale à Fanny Ardant. Les dialogues défilent et sont parfois mordants, souvent fins.
C’est un film étonnant et atypique que je conseille.
Mon blog : larroseurarrose.com
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