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    La Belle époque
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    Henri G.
    Henri G.

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Beau film, sympathique et plaisant avec un très bon casting, un bon scénario mais rien d'exceptionnel
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 novembre 2019
    Quel ennui ! malgré une idée originale la mise en scène est décousue, les dialogues vulgaires, absolument pas comiques. A éviter !
    Serge Bvlr
    Serge Bvlr

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Comment exprimer le ressenti perçu du dernier Doss de Nicolas "Bedos" et vous faire partager l'envie de foncer voir ce film ... à part m'incliner devant autant de talent créatif, au point même parfois d'en être un peu jaloux.....
    à ce niveau là, ce n'est plus du cinema, mais un partage de fulgurances émotionnelles, de transmission d'intelligence par paquets, de sensibilités conditionnées par un texte ciselé et sublime, et de la mise en tristesse et en beauté d'une magnifique histoire d'amour...
    Ou même de la force même de l'Amour et de ce qu'il renferme de plus subtil et de plus beau au travers de l'échelle du temps qui le traverse, tout en devenant finalement intemporel.
    Quelle force et quel maitrise, une histoire racontée par un réalisateur de génie, comme peu sont capables de savoir le faire ...
    je ne me rappelle plus avoir vu un film de cette qualité creative et remplie de ce charme Français unique, à la fois désuet et magnétique, depuis Amelie POULAIN...
    Des acteurs beaux à en crever, une fanny "ardente" de vérité, un Daniel Auteuil sur l'Anapurna de son Art, un Guillaume CANET magnifique paumé, et amoureux transi, un Podalydès jubilatoire de réserve et de retenue, un Arditi attachant, surprenant et à tomber...
    Et une Doria Tillier inapprivoisable, sensuelle sauvage, et magnétique, et qui sans nul doute, à l'issue de ce film, risque de devenir la fiancée de tous les français, faute de rester celle de Guillaume CANET, et de detenir le rôle de sa pourtant "jeune" vie d'actrice, au point d'exploser chaque plan de sa beauté cinégénique.
    Des éllipses sur ellipses, subtiles et hyper travaillées, une construction narrative de très haut vol, des maux traduits par des mots d'une incroyable intelligence, une schizophrénie filmée, racontée et maitrisée avec tellement de talent, tout en étant paradoxalement narrée de manière fluide, évidente et toujours brillante.
    Un film français, mais tellement français au sens noble du terme, que tous les codes temporels de l'époque et de l'émotion qu'ils renvoient à nos mémoires, sont visibles ou suggérés, et distillés de manière subtile tout au long de cette parenthèse, ou le telespectateur oscille sans cesse entre la verité et la fiction, entre le vrai faux, et le faux vrai, entre la conscience et la magie, entre la vérité et l'imagination... tel un voyeur funambule...
    Bref, ce film est un chef d'oeuvre, si le prisme de ce qu'il raconte est abordé avec un regard candide et sensible comme ce fut mon cas...
    Et quelle idée de scénario habile, subtile et teintée de nostalgie, et qui ne pouvait sortir que des méandres cortiquées d'un Nicolas BEDOS brillant, imposant à nouveau une signature singulière et une empreinte teintée de cette intelligence rare au cinéma, et qui le définit, cette intelligence de l'observation, de la narration, de la subtilité de perception, celles qui nous malmènent les yeux de larmes d'émotion, nous fait réfléchir le coeur de palpitations, nous fais rire aux larmes ou bien pleurer de joies, et nous fais dire que le cinéma, parfois... est bien plus que du cinema...
    Je suis certain que l'idée rare et originale de ce film sera racheté par des Américains qui tenteront vaille que vaille d'en faire une pale copie, mais je vous le conseille, foncez voir ce bijou, et ainsi honorer le talent de ce mec qui merite largement les larmes et les rires, que ces presque deux heures de lévitation emotionelle, vous permettront de lui offrir ...
    Merci Monsieur BEDOS, de la qualité incommensurable de ce travail ..... et de ce cadeau magnifique...
    J'ai adoré !!!!
    Joe Dredd
    Joe Dredd

    47 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 novembre 2019
    Un navet prétentieux qui est presque aussi daté que la période qu'il entend reproduire : les années 1970. A cette époque-là, le seul Bedos qui s'affichait s'appelait Guy. Il était (encore) drôle. Aujourd'hui, le Bedos dont on doit supporter les plaisanteries pas fines s'appelle Nicolas. Le film est aussi infatué que son réalisateur : l'histoire est sans intérêt (une fausse machine à remonter le temps pour revivre des moments ratés de sa vie) et les personnages sont particulièrement antipathiques : un raté, un producteur télé, des personnages féminins abscons et qui transpirent la misogynie. Une conclusion d'une banalité consternante. Gardez vos sous!
    Daniel Mingant
    Daniel Mingant

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    De magnifiques acteurs et actrices, malgré un scénario décousu, nul et sans intérêt, à la Bedos, quoi.
    Idf2306
    Idf2306

    6 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Bedos est passé à 2 doigts d'un grand film,
    Et Comme il n’arrivait pas à choisir une fin à son film ça traîne et l’émotion ne vient jamais...
    Mention spéciale pour Hardant et Auteuil.
    Canet insupportable.
    Dommage.
    Yves G.
    Yves G.

    1 481 abonnés 3 497 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Victor (Daniel Auteuil) est un vieux dessinateur de BD qui affiche volontiers sa détestation du monde qui l’entoure. Sa femme Marianne (Fanny Ardant) étouffe aux côtés de ce misanthrope. Cette brillante psychanalyste a pris un amant (Denis Podalydès) et finit par mettre son ami à la porte.
    C’est le moment que Victor choisit pour utiliser le cadeau que son fils lui a fait à son dernier anniversaire : un voyage dans le temps à l’époque de son choix.
    Le service est fourni par la société d’Antoine (Guillaume Canet) : avec un soin maniaque, ce réalisateur despotique reconstitue pour ses riches clients l’époque qu’il rêveraient d’avoir connu. Pour Victor, ce sera le 6 mai 1974, à Lyon, le jour où Marianne est entrée dans sa vie. Antoine convainc Margot (Dora Tillier), avec laquelle il entretient une relation compliquée, d’interpréter le rôle de Marianne jeune.

    Comment filmer le temps qui passe ? Comment faire toucher du doigt au spectateur de cinéma l’épaisseur du temps qui passe et le poignard de la nostalgie ? Trois solutions logiques existent. La première : la fresque historique. raconter une histoire qui se déroule sur plusieurs décennies en suivant son fil chronologique. C’était le parti retenu par Nicolas Bedos – que la question du temps et de la nostalgie décidément taraude – dans son premier film, le très réussi "Monsieur et Madame Adelman". Le deuxième : les flashbacks. On oublie que des chefs d’oeuvre comme "Citizen Kane", "Amadeus", "Cinema Paradiso" ou "Titanic" – ou "La Recherche" de Proust – sont construits sur un flashback qui en décuple la profondeur. Le troisième, plus audacieux, c’est le voyage dans le temps science-fiction et ses innombrables apories.

    "La Belle Époque" en invente un quatrième : la reconstitution théâtrale. Faire jouer aux personnages d’une époque leur propre rôle dans le passé. Une sorte de "Truman show" dans le temps. Le procédé pourrait tourner court. Car Victor sait bien qu’il joue une reconstitution historique et que tous les personnages qu’il y croise sont des acteurs dûment préparés et rémunérés. Mais, miraculeusement, le procédé fonctionne grâce à une mécanique scénaristique d’une impressionnante efficacité et grâce à un quatuor d’acteurs épatants.

    Dans ce quatuor, on peut néanmoins faire la fine bouche et reprocher à Guillaume Canet d’interpréter un rôle qu’il a décidément trop joué, celui quasi-autobiographique de l’homme de cinéma tyrannique, et à Fanny Ardant – dont je sais qu’elle compte des admirateurs inconditionnels – les limites de son jeu de vieille bourgeoise un peu foldingue. En revanche, Daniel Auteuil et Doria Tillier sont épatants. Daniel Auteuil, comme Catherine Deneuve et Isabelle Huppert, on l’a beaucoup vu ces trente dernières années. Trop peut-être. Dans des comédies pas drôles qui ne le flattaient guère. Loin du cabotinage qui pollue souvent son jeu, il compose ici un Victor attachant qui réussit, sans être ridicule à (re)tomber amoureux d’une femme de quarante ans plus jeune que lui. Mais c’est Doria Tillier qui crève l’écran. Elle n’est jamais aussi belle que quand Nicolas Bedos, son compagnon à la ville, la filme. Une scène est touchante où Guillaume Canet, double toxique de Nicolas Bedos lui-même, la guidant avec une oreillette, lui fait la confession de l’amour qui lui porte. On imagine que ces lignes ont été écrites par Nicolas pour Doria et on en est profondément ému.

    Comme le faisait le mois dernier "Chambre 212", "La Belle Époque" interroge intelligemment le couple. Le couple vieillissant de deux sexagénaires qui s’exaspèrent. Le couple naissant de deux trentenaires qui ne savent pas s’aimer. Et le couple improbable formé par Victor et Margot sur lequel l’ultime plan du film laisse planer l’éventualité d’un impossible dénouement.
    cine75
    cine75

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    le premier et dernier tiers sont géniaux, au milieu, on dort.mais quand même un énorme travail d'un fou de cinoche.c'est presque hollywood.la vie est réalité ou cinéma ?qu'en pense Jim Carrey??
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 mars 2020
    Après ses victoires au César, notamment pour le prix du scénario original, j’ai voulu voir ce film et j’ai été extrêmement déçu.
    Alors voici d’un côté une femme (Fanny Ardant) qui, après des années de mariage avec un mari à moitié dépressif qu’elle ne supporte plus (Daniel Auteuil), décide de le mettre à la porte de chez elle. Et là (attention vous ne devinerez jamais la suite !), 24h après, la vie commence à lui paraitre fade, l’amant qu’elle avait et qu’elle semblait tant aimé l’agace à son tour (rendez-vous compte, il ronfle ! et alors qu’elle avait pris l’habitude de siffloter pour stopper les ronflements de son ancien mai, là ça ne marche plus, c’est horrible !) et les repas chez ses amis l’ennuient désormais et elle se dit que ç’aurait quand même été plus drôle si son mari avait été là. Vous avez vu exactement les mêmes scènes dans 343 films déjà ? Eh bien voici le césar du meilleur scénario original de l’année 2020 ! Et le mari qui semblait ne plus vouloir faire d’efforts pour rendre sa femme heureuse, réalise tout d’un coup qu’il l’aime plus que tout et rêve de revivre leur première rencontre ! Ça tombe bien, une boite d’événementiel propose de vous faire revivre le temps de quelques soirées l’époque que vous souhaitez, et pour lui ce sera donc l’année où il a rencontré sa femme, dans le bar où ils se sont rencontrés. Tout est faux, mais la magie prend et voilà le mari déprimé qui retrouve le bonheur en parlant à une actrice supposée jouée sa femme le jour où il l’a rencontré ! Vous frissonnez d’émotion ? Mais vous n’avez encore rien vu car le brillant patron de cette boite d’événementiel (Guillaume Canet), dont la petite amie joue le rôle de la fausse ex-femme, devient jaloux de leur relation et réalise alors l'incroyable talent d’actrice qu'elle a, lui qui l’avait toujours bridée, et sa grande beauté. Et dans une scène que seuls les grands noms du cinéma peuvent nous offrir, il a soudain une révélation et, balançant tous les objets autour de lui, s’énerve en hurlant que toute sa vie n’est que du faux-semblant ! Et que dire des larmes de Doria Tillier (la femme en question) qui, en déclamant une tirade supposée chargée d’émotion pendant qu’elle joue l’actrice, finit par pleurer pour de vrai en faisant le parallèle avec sa propre vie.
    Nicolas Bedos qui jouit d’une image impertinente aurait pu en jouer pour nous sortir de sentiers battus et rebattus, mais tout est convenu, gros, prévisible, vu et revu, et dès lors aucune émotion ne peut être transmise, quelle que soit la qualité des acteurs. Ah si l’impertinence il y a quand même un peu, car vous vous rappelez la scène où la femme s’ennuie en compagnie de ses amis parce que son mari n’est plus là (dans ce film bien sûr, pas dans les 342 autres), eh bien dans la discussion ennuyeuse le mot rectum est prononcé (oh la boutade délicieuse !). Et un peu plus loin, un acteur avec un bébé dans les bras cherche à s’en débarrasser (alors qu’un bébé c’est normalement si mignon que tout le monde le veut dans ses bras, quelle impertinence !).
    Presque chaque scène de ce film donne des frissons, pas ceux que vous procure une émotion forte non, mais ceux qu’on ressent devant une œuvre tellement médiocre qu’on en ait gêné pour son auteur. Un tel scénario dans une école de cinéma susciterait la moquerie devant tant de convenances, mais apparemment si vous avez un bon réseau et un bon casting c’est le césar du meilleur scénario original qui vous attends ! L’humanité est pourtant peuplée d’innombrables personnes talentueuses dont les scénarios ne seront jamais produits, c’est bien dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Film intelligent, scénario original, DORIA est merveilleuse, DANIEL AUTEUIL sublime comme toujours, FANNY ARDANT au top dans ce rôle qui lui va comme un gant, et G CANET pro plus que jamais ..bravo NICOLAS BEDOS pour ce film tant attendu !!! une prouesse !!!
    Pistache212
    Pistache212

    50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 novembre 2019
    Belle réalisation de Nicolas BEDOS, que pourtant je n'apprécie guère...
    On est transporté dans cette fiction drôle, émouvante, charmante, originale
    Se mêlent fiction et réalité avec beaucoup de finesse
    Les acteurs sont merveilleux
    Bref, un vrai bon moment d'émotion
    ffred
    ffred

    1 711 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Après son excellent premier film Monsieur & Madame Adelman, on attendait Nicolas Bedos au tournant. Cette Belle époque était alléchante. Pour le sujet et pour le casting. On ne peut pas dire qu'il se soit raté. L'ensemble est bien emballé. Solide mise en scène, belle direction artistique, superbe interprétation. Tout le monde est vraiment très bien. Daniel Auteuil impeccable, Fanny Ardant vraiment formidable (comme souvent me diriez-vous...). L’histoire est sympathique, les dialogues bien écrits, mais il manque un petit quelque chose pour en faire une grande comédie nostalgique sur le temps qui passe et l'érosion de l'amour. De l'émotion sans doute, en tout cas un petit plus qui rendrait le tout plus crédible. Après une première moitié convaincante, la seconde patine un peu et on voit arriver le dénouement gros comme une maison. On passe cependant un bon moment, plutôt plaisant, surtout grâce aux acteurs. Examen du deuxième film aux trois quarts réussi donc pour le réalisateur qui devrait diriger le nouveau OSS 117...
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    180 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    J'ai été vraiment surpris et quelque peu impressionné par le film. Une réalisation de Nicolas Bedos vraiment réussie et une certaine complexité technique maîtrisée à tous les niveaux artistiques du film. J'ai trouvé l'idée du scénario et sa construction brillante, avec plusieurs niveaux de lecture, car cela permet d'aborder beaucoup de thèmatiques, que ce soit le rapport à la vieillesse, la nostalgie d'une jeunesse perdue, la solitude, et j'ai surtout vraiment adoré la façon dont est subtilement intégré des éléments représentants le miroir de la société d'aujourd'hui, ce contraste - et trop souvent cette incompréhension - entre ancienne génération et génération internet, cette peur de l'avenir et cette brutalité du présent poussant à vouloir sans cesse faire appel aux souvenirs, à la nostalgie d'une époque passée, révolue, comme pour compenser et effacer les soucis du présent. Mais également le reflet de toute une industrie commerciale qui se sert volontairement de cette tendance (les reboot et remake à foison de films cultes, les séries reprenant les ambiances années 80, etc) et aussi cette constance vers le tout maîtrisé, le tout spectacle, sans que l'on ne sache plus parfois distinguer le vrai du faux, ou encore même le voyeurisme de certains concepts d'émissions. Ce film fait écho à tellement de choses et tellement d'aspects sociétaux mais surtout d'un mal-être profond de la société d'aujourd'hui où une majorité de gens regrette de ne pouvoir revivre un moment précis de leur vie, là où ils se sentaient si bien et dans leur confort émotionnel sans la violence sociétale d'aujourd'hui. Là où le film excelle aussi, c'est dans l'équilibre parfaitement maîtrisé de l’ironie et de l’émotion. Nicolas Bedos réussit même à s'amuser en intégrant des répliques et moments non politiquement correct comme il aime en jouer, ainsi que d'auto-dérision. Surtout quand on sait qu'il formait un couple et s'est ensuite séparé de Doria Tillier dans la vraie vie, et que plusieurs répliques du film sont presque des messages ironiques directement adressés à Doria via le personnage joué par Guillaume Canet. Le casting est d'ailleurs merveilleux, Daniel Auteuil y est incroyable ! Il y a aussi un énorme travail sur les décors, les costumes, qui est un formidable hommage aux artisans du cinéma, et le travail sur la lumière est tout aussi importante, surtout quand on passe de décor à un autre. "La belle époque" est vraiment un univers précisément pensé et construit. Le résultat, la maîtrise et le niveau atteint en seulement 2 films pour Nicolas Bedos est clairement impressionnant ! Nul doute que le film sera plusieurs fois représenté aux Césars 2020.
    Jerem A
    Jerem A

    44 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Très belle surprise. Un film touchant, avec un très bon scénario à la clef, des dialogues intelligents à double lecture et un casting magistral.
    Un bon film français qui mérite amplement de s'exporter et qui pourrait même avoir une belle carrière à l'international...
    Oliv_78
    Oliv_78

    30 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Merveilleux film, bâti sur un scénario vraiment original et un peu magique et porté par des acteurs formidables. Daniel Auteuil porte le film, Fanny Ardant confirme qu'elle est une immense artiste (tellement émouvante dans la scène finale), Guillaume Canet est excellent dans ce rôle irritant et impulsif, et Doria Tellier a beaucoup de charme et est lumineuses. Bravo à Nicolas Bedos pour ce scénario, on a trouvé le Woody Allen français. Arrêtez tout, courez voir ce film sans hésiter, vous ne le regretterez pas
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