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    La Belle époque
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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2019
    Deuxième réalisation de Nicolas Bedos et deuxième bonne pioche !
    Après "Monsieur & Madame Adelman" sorti en 2017, le fils de Guy nous emporte ici dans un doux rêve nostalgique que l'on pourrait tous faire peut-être un jour : revivre, le temps d'une journée, une époque et un personnage de notre choix.
    La société proposant ces reconstitutions plus vraies que nature est pilotée par Antoine (Guillaume Canet) et va proposer à Victor (Daniel Auteuil), un dessinateur has-been désabusé et plaqué par sa femme Marianne (Fanny Ardant), de vivre cette expérience totalement insolite.
    J'ai adoré l'originalité de l'histoire, le casting sublime et le punch d'une réalisation moderne bourrée de moments tendres ou drôles.
    Un vrai bon moment cinéma ou le plaisir se mêle à une succulente mélancolie pleine de vitamine et de mordant !
    Site www.cinemadourg.free.fr
    Catherine
    Catherine

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2019
    Déçue. Une idée originale ne suffit pas pour faire un bon film. C'est souvent agaçant, hystérique, clinquant: ça virevolte, ça s'agite dans tous les sens, il y a plusieurs histoires qui s'emboîtent l'une dans l'autre au point qu'on ne sait plus très bien qui est qui et qui joue quoi, mais ça tombe souvent à plat. La fin est prévisible, j'ai trouvé que pour y parvenir, le temps est bien long. J'ai attendu d'être prise par le film, mais à aucun moment je n'ai réussi à adhérer à cette histoire racoleuse et tirée par les cheveux. Quelques bonnes répliques, plusieurs bons moments ne sauvent pas le reste.
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    Le « syndrome deuxième film » allait-il frapper ? Vous savez, celui où, après un premier titre pleins de promesses, l'espoir placé en un réalisateur se transforme en déception à la sortie de son nouveau titre ? Concernant « La Belle Époque », j'ai un peu envie de répondre oui et non. Oui, car je n'ai pas retrouvé le lyrisme, la passion qui se dégageait de « Monsieur et Madame Adelman », sur un sujet pourtant moins original qu'ici. J'ai mis du temps à rentrer dedans, notamment en raison d'un point important : l'écriture. Alors c'est en partie voulu, mais cela manque singulièrement de naturel, au point de sonner faux à plusieurs reprises, impression finissant par s'estomper sans disparaître totalement. Nicolas Bedos aurait pu emmener cette histoire jusqu'au vertige, pousser loin la mise en abyme, presque en faire un « Truman Show » français, complexe, déroutant... Nous n'en sommes pas là. Non, car même à moitié exploitée, cette idée de revivre à travers un décor de cinéma un jour, une période, une époque adorées, je trouve ça vraiment chouette. Ce pouvoir de l'illusion, cette nostalgie, souvent associée à un sentiment amoureux très fort, est rendu avec une certaine ferveur par le réalisateur, aimant ses personnages, mêlant souvent habilement leurs destins à travers un récit offrant quelques vrais beaux moments, le choix du casting s'avérant souvent payant : Daniel Auteuil est impeccable, Guillaume Canet plutôt bon et Doria Tillier, comme toujours, sublime, rendant totalement crédible cette fascination que les deux héros ont pour elle : c'est à mon sens LA grande découverte du cinéma français ces dernières années. Un peu plus réservé (comme souvent) sur Fanny Ardant, mais bon, ça passe sans trop de souci. De quoi sortir légèrement frustré, donc. L'humoriste de formation aurait gagné à plus de fantaisie, moins de lourdeurs dans certaines scènes. Je le répète : il y avait de quoi faire un grand film n'apparaissant jamais sous nos yeux. Mais la tentative rester à saluer, se regardant avec un certain plaisir par son amour du cinéma, son rapport à l'illusion, à la technique, au monde en général et au passé en particulier. À défaut d'adorer, j'ai apprécié : même (très) imparfait, je préfère grandement le cinéma français quand il ressemble à cette « Belle Époque ».
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2023
    Le film a deux qualités, déjà son scénario malin et original, la réalisation d'un fantasme, qui n'a jamais rêvé de revivre les joies de sa jeunesse ? De se retrouver dans un univers sans smartphone, sans réseaux sociaux, sans la technologie qui nous bouffe. Et puis la direction d'acteurs est magistrale, Auteuil a rarement été aussi bon, Canet fait du Canet mais le fait bien, Ardant (70 ans au compteur ) est étonnante, quant à Doria Tillier, on a envie de l'embrasser tellement elle brille de beauté et de talent. Jamais on ne s'ennuie, on est touché par la grâce, l'émotion, et à la fin on ne peut que maudire le temps qui passe.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 novembre 2019
    Ses prestations en tant qu’acteur ne m’ont jusqu’ici jamais convaincu. Quant à ses supposés dons de réalisateur, ils ne m’ont pas davantage captivé. Jusqu’à preuve du contraire, donc, je me vois contraint de considérer Nicolas Bedos comme assez peu doué. Après Monsieur et Madame Adelman (2017), voici donc La Belle Époque, un film dans lequel, fort heureusement, il ne fait pas l’acteur ! Ouf ! Le casting, d’ailleurs, il faut le reconnaître, réserve deux bonnes surprises : on est heureux de retrouver Daniel Auteuil, devenu plutôt rare sur les écrans, et qui, même dans un film médiocre, parvient à tirer son épingle du jeu ; quant à Doria Tillier, qui fut la compagne de Bedos à la ville, elle confirme un jeu d’actrice très probant. Ce qui n’est pas le cas de Fanny Ardant, interprétant en se parodiant elle-même un personnage sans surprise, ni de Guillaume Canet, peu inspiré dans son rôle de metteur en scène démiurge.
    Pour ce qui concerne le scénario, on est en présence de l’exemple même de ce qu’on peut appeler une fausse bonne idée. Sur le papier, cela semble assez judicieux que d’essayer de renouveler la sempiternelle histoire du couple qui, après des années de vie commune, commence à se désagréger tout en essayant de trouver des moyens de le réenchanter. En l’occurrence, c’est Victor (Daniel Auteuil) qui se laisse séduire par une offre très spéciale proposée par une société dirigée par Antoine (Guillaume Canet) , société qui se fait fort d’organiser des soirées à thème se situant dans un lieu précis et à l’époque souhaitée par le demandeur. Evidemment, cela fait tilt : Victor choisit de revivre la soirée du 16 mai 1974 au café La Belle Époque à Lyon, autrement dit il veut recréer le lieu et les circonstances qui lui ont permis de rencontrer Marianne, son grand amour. Et voilà comment apparaît la charmante Doria Tillier jouant le rôle de Marianne qui, dans la vie réelle, si l’on peut dire, est incarnée par Fanny Ardant. Il s’agit donc de se replonger 40 ans en arrière afin de retrouver la fraîcheur d’un amour en train de se déliter, tout cela sous le contrôle du démiurge Antoine qui dicte, par oreillette interposée, à Margot, qui joue Marianne, tout ce qu’elle doit faire et dire.
    Cette histoire alambiquée semble-t-elle séduisante ? Elle a vite fait, en vérité, de montrer ses limites. Elle a vite fait, également, de sonner faux. D’ailleurs, Nicolas Bedos a cru bon d’y injecter le plus de vulgarité possible, comme si c’était le moyen de faire avaler son indigeste menu. Ou alors il fait intervenir des personnages secondaires effarants de ridicule, à l’exemple de Pierre Arditi jouant le rôle d’un homme qui veut retrouver son papa. Beaucoup de lourdeurs encombrent cette histoire qui, en fin de compte, met mal à l’aise. N’y a-t-il donc d’autres moyens de réenchanter la vie de couple qu’en se plongeant dans une nostalgie de pacotille agencée et mise en scène par un démiurge ?
    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Un psychodrame dans l'air du temps (2.0) ? Voire une séance grandeur nature de psychanalyse (du pauvre) ? Ou bien, plutôt, un exercice ultra théâtralisé (bien que cinématographique), marqué par l'artificieux (comme aurait pu le dire le camarade Musset), le surligné, la redondance, et le nombrilisme (le vrai héros n'étant pas le dessinateur "Victor Drumond" - avec un "d" final, à l'anglaise, et non un "t", comme un certain Edouard... mais le scénariste "Antoine", qui tire les ficelles, à l'évidence le double du scénariste/réalisateur du film, Nicolas Bedos). Ceci posé, que vaut ce "La Belle Epoque" ? Brillant, piquant, intelligent ?... Ou au moins distrayant, original ?... Que nenni, hélas ! L'argument de départ peut paraître séduisant. Soit un couple (marié depuis plus de 40 ans) qui ne fonctionne plus du tout (et c'est un euphémisme !) - si l'épouse, "Marianne", semble être passée à autre chose, avec un amant (Denis Podalydès), l'époux, VD (Daniel Auteuil), a assurément besoin d'un fort stimulus pour sortir de son atonie. C'est "Maxime" (Michaël Cohen), le fils Drumond, qui pense avoir la solution, grâce à la société de son ami Antoine (Guillaume Canet), qui fait dans l'événementiel un peu particulier (et hors de prix). Il va s'agir de mettre en scène le 16 Mai 1974 (on est dans l'Entre-deux-tours de la Présidentielle rendue nécessaire par le décès prématuré de Pompidou), quand le (alors) jeune bédéiste Victor rencontre, à Lyon, sa future épouse, Marianne. Mais quand l'interprète, "Margot" (Dora Tillier), prend son rôle très au sérieux, une certaine "confusion des sentiments" risque de s'installer, et de fausser la mise en abyme (voire la catharsis) visée. Cependant, le traitement de l'affaire déçoit - et grandement. Loin de la dramaturgie délicate, d'orfèvre, qui s'imposait sur cette thématique, NB s'enlise d'emblée dans un travail à grosses coutures, où facilités, vulgarité même, le disputent au brouillon et au répétitif. Auteuil ne convainc guère. Canet, moins encore. DT ne réussissant pour sa part beaucoup plus au naturel (en "Margot"), que dans sa composition de Marianne jeune. En fait, seule la prestation de Fanny Ardant (Marianne - 2019) est digne d'éloges - normal, elle fait du "Fanny Ardant".... Très forte déception au global (surtout après une BA alléchante).
    Francis L.
    Francis L.

    28 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Je suis admiratif des critiques qui réussissent à mettre quatre et cinq étoiles à ce film. Je me suis ennuyé devant autant de scènes répétitives et débiles à aucun moment on imagine quelqu'un payer une prestation aussi couteuse au point de devoir revendre un appartement pour revivre quelques heures qui ont marqué sa vie et puis il y a cette scène finale rejoué à l'identique ou presque. Bref un bon nombre de spectateurs semblaient avoir la même réaction que la mienne sans compter ceux totalement endormis. Bon courage pour les suivants
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mars 2020
    Lorsque Ingmar Bergman réalisait En Présence d’un clown pour la télévision, il ne prétendait donner à voir et à vivre les coulisses de la fiction que parce qu’il était un cinéaste accompli : son expérience lui conférait une légitimité, mieux une justesse de regard sur un milieu qu’il connaissait bien. Lorsque Nicolas Bedos réalise La Belle époque pour le cinéma, il se fourvoie. Nicolas Bedos n’est pas un cinéaste : cette affirmation relève aussi bien de la valeur de ses productions que de la maturité dont il ne dispose pas, après seulement deux longs métrages. Or, en ayant la prétention d’aborder le cinéma par ses coulisses, en passant derrière un art à peine effleuré, il saborde ses chances de dire quoi que ce soit de pertinent ou de profond sur le cinéma. Il est désolant d’assister, pendant près de deux heures, à l’installation d’un dispositif mécanique dans la conviction de toucher le cœur battant d’un art apte à explorer l’humain et à le révéler dans sa beauté paradoxale ; d’autant que le dispositif mis en place ne sert pas de tremplin à une démarche artistique, mais constitue sa finalité. L’ouverture du film est à l’image du reste : encombrée des artifices les plus vulgaires. Et si une scène, une seule scène s’avère réussie – le repas entre Victor et Marianne –, sa réussite atteste l’inutilité des artefacts déployés, tel un préservatif que l’on filmerait en pensant filmer le plaisir sexuel. C’est que le point de vue adopté n’est pas le bon, et qu’au lieu de suivre le cheminement intérieur de deux époux qui se sont perdus et qui tendent à se retrouver, Nicolas Bedos s’intéresse à son cheminement personnel, il subordonne la focalisation de ses personnages à celle, démiurgique, de lui metteur en scène et qui se regarde mettre en scène. Résultat, La Belle époque manque l’humain et se contente de régler des contentieux, d’exprimer des conceptions de l’amour et du couple qui sont plaquées sur le film ou qui le commentent depuis une instance supérieure. Et que dire, en outre, de la tonalité d’ensemble, sinon qu’elle joue la carte du grossier pour divulguer sa grande vulgarité ? Ce n’est pas un film grossier sur la grossièreté de notre époque, c’est un film vulgaire sur la vulgarité de Nicolas Bedos. Et malgré l’acharnement à composer des ambiances, à travailler les plans pour faire cinéma, il n’y pas de cinéma là-dedans, ou alors par reflets déformés et inaccessibles, des fenêtres ouvertes sur des œuvres exerçant une influence directe ou indirecte.
    Serge V
    Serge V

    84 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Alléluia et merci à Nicolas Bedos ! grâce à son film , je me retrouve du même avis que Télérama , Libération ,Les Inrock , une première pour moi ! sérieusement , ce film montre bien la personnalité de Bedos , intellectuel , aimant bien se montrer agressif et ne dédaignant pas la vulgarité ( je fais référence à ses prestations télévisées passées ! ) le scénario me semble alambiqué et l -' intérêt se dilue rapidement , finalement je me suis bien ennuyé !!
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    La première bonne idée du film réside dans le fait qu'on est à des années-lumières d'un film d'anticipation, ainsi, Antoine offre un produit à partir de décors, de documentation et d'une reconstitution qui a tout du théâtre. Toujours entre comédie et drame avec cette émotion qui joue sur le fil du funambule grâce à des dialogues percutants que ce soit dans le romantique où la satire. La construction narrative est judicieuse et cohérente, on passe du réel à la reconstitution d'époque sans filtre, en traversant les décors comme si on était constamment dans les coulisses tout en étant aussi acteur ou voyeur. Rarement le cinéma français (en tous cas depuis longtemps !) aura offert un tel panel d'émotion ; on sourit tout le long du film, on a les yeux humides presque tout le long du film, souvent les deux combinés avec en prime quelques rires comme une cerise...
    Site : Selenie
    Damien F
    Damien F

    11 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Ce film est magistral ! C'est le mot qui m'est venu en sortant de la salle. Il m'a laissé bouche bée. J'avais la tête pleine d'émotions, de bonnes vibes, l'envie de voir tous les bons côtés de ma vie et d'oublier le reste !
    J'ai vraiment apprécié le rythme du film, on ne s'ennuie pas, on est intensément pris par l'histoire des personnages et l'immersion dans les différentes époques est très bien mise en valeur.
    Telbus
    Telbus

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Très belle performance des acteurs : les « anciens », Auteuil, Ardent, Arditi. A part cela un scénario poussif, beaucoup de vulgarité, d’agressivité gratuite, et pour le spectateur d’ennui. Les personnages ne sont vraiment pas sympathiques, à part le héros principal. Les critiques dithyrambiques des spectateurs sur ce site m’étonnent beaucoup. Allô Ciné deviendrait-il une rampe de lancement commercial ? Allez plutôt voir Martin Eden, belle leçon d’humanité, d’amour.
    isakkk
    isakkk

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Quel ennui ! Hormis Canet et Ardant (et bien sûr Podalydes toujours juste), les acteurs surjouent, Dora Tillier a beau être ravissante, elle en fait des tonnes... les dialogues sont tellement attendus et censés être drôles (attention c'est là que vous allez rire...) (attention là Fanny Ardant va dire qq chose de méchant...) que c'en est pathétique. J'étais coincé en milieu de rang et n'ai pas pu quitter la salle avant la fin du film... une bien mauvaise soirée !
    Agnès J.
    Agnès J.

    13 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2019
    Sur une faussebonne idée encore un film prétentieux, ennuyeux. Avec toutes les scènes qui se répètent c’ est interminable,
    Pas d'intérêt. Seuls les. Acteurs sauvent (un peu) le film.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    Nicolas Bedos enchaine les clichés pensant masquer derrière une mise en abime scénaristique simpliste, une comédie romantique balourde sur le temps qui passe, la nostalgie de la jeunesse, le désenchantement du Grand Amour, l'inéluctable érosion de la vie en couple,....
    Heureusement Doria Tillier rayonne et pétille, et surtout nous évite de sombrer dans l'ennui, et nous invite à rester jusqu'à la fin.
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