A Bread Factory, Part 2 : Un petit coin de paradis : Critique presse
A Bread Factory, Part 2 : Un petit coin de paradis
Note moyenne
3,8
12 titres de presse
Transfuge
Critikat.com
L'Obs
La Septième Obsession
Le Dauphiné Libéré
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Positif
Libération
Télérama
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Par ce sens inattendu du spectacle, de la durée, de la dédramatisation, Wang enchante chaque moment de son film, rend chaque instant de l’existence précieux comme un tour de music-hall.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Dans les utopies raisonnables de Patrick Wang, les résistances finissent toujours par céder, des rapprochements jusque-là impensables s’opèrent, et le perfectionnement moral est à portée de chacun, à condition toutefois que cette quête se fonde dans un geste collectif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Patrick Wang aime les acteurs, le théâtre, l'improvisation, et fabrique un film inattendu, qui navigue entre l'artifice (l'art) et la vie (les gens). Dans le monde du cinéma indépendant, c'est une bouffée d'air frais. Enfin un film qui cherche ! A condition de se laisser aller, c'est magique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan et Xavier Leherpeur
Un beau film ample et généreux.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
A la Bread Factory, Dorothea et Greta travaillent sur l’adaptation d’Hécube d’Euripide. Mais le vrai spectacle se situe peut-être à l’extérieur. On aime.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Patrick Wang fragmente son récit et prend plaisir à laisser en suspend des interrogations que l'on croyait presque résolues à la fin de la première partie (...).
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Cette deuxième partie du dyptique de Patrick Wang consacré au centre culturel d’une petite ville des États-Unis est une merveille d’inventivité et d’intelligence, et un manifeste vibrant pour les arts collectifs, comme le théâtre, la “thérapie du pauvre”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Cette volonté de tout faire rentrer dans le cadre, tous ces arts, toutes ces histoires, tous ces possibles, est sans doute ce qui définit le mieux ce merveilleux film, qui veut croire pour nous que rien, jamais, n'est perdu.
Positif
par Baptiste Roux
Si Wang n’échappe pas toujours à la caricature (l’art contemporain ne saurait se limiter aux prestations ineptes du duo May/Ray), cette partialité est à mettre sur le compte d’une tendresse immodérée pour un monde évanescent, où l’imprimé et la scène conservent tout leur lustre.
Libération
par Didier Péron
Cette deuxième partie confirme en version chantée et dansée les sombres perspectives du "nouveau monde" ultralibéral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Tout compte fait, voilà un diptyque desservi par le manque de moyens, mais précieux pour les questions qu’il pose quant à la place des œuvres dans nos vies.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, quelques scènes de comédie musicale surviennent ça et là, mais elles renforcent l’impression de disparité de ce second volet, dans l’ensemble plutôt décevant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Transfuge
Par ce sens inattendu du spectacle, de la durée, de la dédramatisation, Wang enchante chaque moment de son film, rend chaque instant de l’existence précieux comme un tour de music-hall.
Critikat.com
Dans les utopies raisonnables de Patrick Wang, les résistances finissent toujours par céder, des rapprochements jusque-là impensables s’opèrent, et le perfectionnement moral est à portée de chacun, à condition toutefois que cette quête se fonde dans un geste collectif.
L'Obs
Patrick Wang aime les acteurs, le théâtre, l'improvisation, et fabrique un film inattendu, qui navigue entre l'artifice (l'art) et la vie (les gens). Dans le monde du cinéma indépendant, c'est une bouffée d'air frais. Enfin un film qui cherche ! A condition de se laisser aller, c'est magique.
La Septième Obsession
Un beau film ample et généreux.
Le Dauphiné Libéré
A la Bread Factory, Dorothea et Greta travaillent sur l’adaptation d’Hécube d’Euripide. Mais le vrai spectacle se situe peut-être à l’extérieur. On aime.
Le Monde
Patrick Wang fragmente son récit et prend plaisir à laisser en suspend des interrogations que l'on croyait presque résolues à la fin de la première partie (...).
Les Fiches du Cinéma
Cette deuxième partie du dyptique de Patrick Wang consacré au centre culturel d’une petite ville des États-Unis est une merveille d’inventivité et d’intelligence, et un manifeste vibrant pour les arts collectifs, comme le théâtre, la “thérapie du pauvre”.
Les Inrockuptibles
Cette volonté de tout faire rentrer dans le cadre, tous ces arts, toutes ces histoires, tous ces possibles, est sans doute ce qui définit le mieux ce merveilleux film, qui veut croire pour nous que rien, jamais, n'est perdu.
Positif
Si Wang n’échappe pas toujours à la caricature (l’art contemporain ne saurait se limiter aux prestations ineptes du duo May/Ray), cette partialité est à mettre sur le compte d’une tendresse immodérée pour un monde évanescent, où l’imprimé et la scène conservent tout leur lustre.
Libération
Cette deuxième partie confirme en version chantée et dansée les sombres perspectives du "nouveau monde" ultralibéral.
Télérama
Tout compte fait, voilà un diptyque desservi par le manque de moyens, mais précieux pour les questions qu’il pose quant à la place des œuvres dans nos vies.
L'Humanité
Certes, quelques scènes de comédie musicale surviennent ça et là, mais elles renforcent l’impression de disparité de ce second volet, dans l’ensemble plutôt décevant.