Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ici on suit la tournée d’un spectacle loufoque qu’il joue avec un comparse professionnel. Plus hétérogène que les autres films d’Imbert, celui-ci alterne des séquences sur le quotidien de Robillard et une réflexion plus construite sur l’antipsychiatrie. Documentaire hors norme, comme son sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Marcos Uzal
Certes, le cinéma d’Imbert est trop conscient de lui-même, trop réflexif, jusque dans sa mélancolie, pour être de l’art brut, mais lorsqu’il filme Robillard, il parvient à s’accorder à sa spontanéité sans le moindre surplomb théorique ou esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
La douce voix off de l'auteur raconte Robillard et semble, étrangement, se reconnaître dans son parcours. Celui d'un créateur qui forge le réel en puisant dans son imaginaire pour produire une oeuvre singulière.
Télérama
par François Ekchajzer
Un film riche malgré ses modestes moyens de production. Comme l’art de Robillard, en somme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Robillard, aujourd’hui octogénaire, a toujours cette capacité à s’émerveiller, à émerveiller, au point de donner à ce film modeste une ampleur et une vitalité inattendues.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Malgré quelques faiblesses dans son exposé, il s’agit d’un bel hommage destiné à la fois à l’artiste, au patient, et à l’ami qu’incarne Robillard aux yeux du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
Ici on suit la tournée d’un spectacle loufoque qu’il joue avec un comparse professionnel. Plus hétérogène que les autres films d’Imbert, celui-ci alterne des séquences sur le quotidien de Robillard et une réflexion plus construite sur l’antipsychiatrie. Documentaire hors norme, comme son sujet.
Libération
Certes, le cinéma d’Imbert est trop conscient de lui-même, trop réflexif, jusque dans sa mélancolie, pour être de l’art brut, mais lorsqu’il filme Robillard, il parvient à s’accorder à sa spontanéité sans le moindre surplomb théorique ou esthétique.
Positif
La douce voix off de l'auteur raconte Robillard et semble, étrangement, se reconnaître dans son parcours. Celui d'un créateur qui forge le réel en puisant dans son imaginaire pour produire une oeuvre singulière.
Télérama
Un film riche malgré ses modestes moyens de production. Comme l’art de Robillard, en somme.
Le Monde
Robillard, aujourd’hui octogénaire, a toujours cette capacité à s’émerveiller, à émerveiller, au point de donner à ce film modeste une ampleur et une vitalité inattendues.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques faiblesses dans son exposé, il s’agit d’un bel hommage destiné à la fois à l’artiste, au patient, et à l’ami qu’incarne Robillard aux yeux du cinéaste.