Peu de choses drôles dans cette comédie un peu décevante, une fois de plus c'est la monstration de la bourgeoisie névrosé même si le personnage principal est plus conscientiel et intéressant. Cela n'évolue que bien peu avec un autre personnage presque antipathique, le chef et fort peu d'humour mais un milieu plutôt dépravé même s'il est dans la normale et la moyenne de beaucoup.
"Eléonore"...34 ans tente vainement de devenir écrivain, bosse dans un fast food, enchaîne les histoires sans lendemain...bref une vie sans grand intérêt. Mais sa mère et sa soeur lui demande de se bouger pour changer tout cela et elle va essayer... Que dire que dire...on aurait pu espérer une vrai comédie sans forcement aligné les clichés car le contexte s'y prêtait je trouve sauf que là mon dieu que je me suis emmerdé!!!! J'ai souris une ou deux fois mais sinon le reste du temps piou d'un ennuie. J'espérais dans les débuts de scène un truc qui aurait fait que mais non c'est enchaînement d'emmerde pour elle car elle fait n'importe quoi, sa conne de mère et sa connasse de soeur qui la rabaissent sans cesse et je me disais "aller balance leur dans la gueule tout ce que tu as sur le coeur!!!" et non...une fois si vers la fin mais 3 phrases genre "tu m'emmerdes!" et voilà voilà...pareil je m'emmerde. NOTE: 2/10
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1,0
Publiée le 11 octobre 2021
Éléonore suit le quotidien chaotique d'Éléonore qui est trentenaire dépressive qui se rêverait d’être auteur de romans populaires. Perpétuellement écrasée par sa mère et sa sœur ces dernières tentent de la faire revenir dans le droit chemin en lui trouvant respectivement un poste d'assistante auprès d'un éditeur de romans érotiques et d'un petit ami idéal. Le charme n'est clairement pas la qualité dont cherche à se doter le premier film d'Amro Hamzawi. Mettant en scène une héroïne faussement trash mais finalement insupportable et très commune. Ce récit épouse la trajectoire tangente d'une trentenaire qui au delà de son refus d'un modèle imposé par une famille dysfonctionnelle n'a finalement pas grand chose à nous dire...
Connue pour ses chroniques franches et cocasses, j'étais très curieux de découvrir Nora Hamzawi dans un premier rôle au cinéma concocté sur-mesure par son grand frère, Amro, dont c'est la première réalisation. Je l'ai vu il y a une semaine et malheureusement, il ne m'en reste pas grand chose car "Eléonore" s'essaye au portrait d'une trentenaire déprimée, perdue et en quête d'identité. Déjà, on a pas les bases d'un scénario super original... Et le point de vue que propose Amro Hamzawi n'est pas insolite : questionnement sexuel, satire de la bourgeoisie, famille moralisatrice... ! Notre héroïne est une rebelle dans l'âme aux cheveux verts, maladroite et blasée, vivant d'un petit boulot et rêvant d'écrire. Le film s'ouvre sur sa prise de conscience : "non, j'ai 35 ans, faudrait peut-être que je fasse quelque chose de ma vie !" Elle se tourne alors vers sa soeur et sa mère, qui apparement, ont déjà planifié toute sa vie, de son travail à ses fréquentations... Le film ne se regarde pas sans déplaisir, à l'instar d'un téléfilm sympa sans prétentions. Nora Hamzawi se révèle tout doucement, se lâchant de plus en plus dans le jeu, même si je trouve qu'elle manque de folie dans l'ensemble. Des scènes avec André Marcon se dégage une belle complicité, pleine de tendresse et d'écoute, qui fait tout le charme de "Eléonore". Et celles avec la mère et la soeur sont interessantes mais un peu cliché, les faisant passer pour deux folles toxiques, sans sentiments. Mais le reste ne m'a pas marqué. Les dialogues sont souvent anecdotiques et manquent de piquants. Les scènes du psy sont presque gênantes. Et les maladresses de mise en scène sont assez flagrantes, notamment quelques faux-raccords impardonnables, qui rendent le film bancal et brouillon. Le point de vue aurait pu être plu aiguisé et les partis pris plus excentriques, à l'image de son personnage. L'évolution d'"Eléonore" est touchante mais trop sage, trop banale pour qu'on s'en souvienne.
Encore un film qui ne me réconciliera pas avec le cinéma français. La bande annonce semblait promettre une heure et demie de rires et de sourires, la personnalité déjantée d'Eléonore pouvant offrir quelques séquences drolatiques. Las ! en lieu et place une production typique du cinéma français pseudo-intello, avec nombrilisme exacerbé de tous les protagonistes qui ne voient rien d'autre que leurs petits problèmes de coeur et de sexe, leurs médiocres aventures, leurs petites préoccupations narcissiques, tout cela sur fond de maison d'édition érotique. Quelle platitude ! Avec le pitoyable Effacer l'historique, sorti il y a quelques semaines, on se dit que nous avons en France des acteurs de qualité (Nora Hamzawi, André Marcon, Blanche Gardin, Bruno Podalydès.....tous ces gens sont de bons comédiens. Mais les réalisateurs stériles n'ont rien à leur proposer que ces dérisoires scénarios pas même dignes de téléfilms du samedi soir.
La mise en scène et les dialogues sont tristes à en pleurer. Nora Hamzawi a un jeu d'actrice absolument lamentable. Heureusement qu'elle est pistonnée (oh wait, le réalisateur a le même nom qu'elle ;-) ). Les autres acteurs sont tout aussi pitoyables. Direction le cours Florent, les enfants...
Une jolie comédie, bien écrite, Beaucoup de finesse et de tendresse pour ce personnage bien interprétée. Une comédie romantique qui revisite les standards .
Petite comédie sans prétention qui se laisse regarder un après midi de pluie. Le personnage d'Eleonor est plutôt triste, limite dépressive, donc si ça ne vas pas dans votre vie en ce moment, évitez...Quelques scènes font sourire car Eleonor veut se sortir de cette spiral du chômage et des critiques familiales la laissant croire inutile. Histoire parisienne, l'univers d'Eleonor reste dans la capitale avec la morosité affichées des parisiens qui vont avec. Comédie simple mais un peu tristounette.
Eleonor une jeune femme dépressive, sous pression constante de ses bobos de mère et de sœur pour qui tout reussi, essaye de se prendre en mains en travaillant chez un ronchon d'éditeur... J'ai trouvé le film vraiment moyen. Mignon mais sans plus, j'ai rigoler 3 4 fois.
Nora Hamzawi, chroniqueuse sur France Inter, se lance sous la direction de son frère Amra sur grand écran. Elle y incarne Eléonore, trentenaire névrosée et tête en l'air qui va se faire embaucher dans une maison d'édition. Comédie brouillonne qui peine à faire sourire reléguant les personnages secondaires à des rôles stéréotypés (la mère envahissante, la soeur modèle de réussite sociale, etc...). Et pourtant, Nora Hamzawi dégage une fraîcheur et une candeur attachantes dans certaines scènes. Pour un premier long-métrage, l'indulgence est de mise et gageons que la néo-actrice nous offre mieux prochainement.
De la séance chez le psy aux cuites carabinées en passant par la fameuse blague scatologique et de répliques faussement acerbes, Eléonore étale ainsi son absence totale de goût parfois inutilement sublimé par une mise en exergue inutile d’un personnage aussi plat que l’est le film. Ne choisissant jamais aucune route que celle, dénuée d’intérêt d’un personnage déjà vu mille fois, Eléonore se la joue Bridget Jones trash avec presque 20 ans de retard.