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Le cinéma aime Nora Hamzawi. On s’en doutait après l’avoir vue dans Alice et le maire de Nicolas Pariser et Doubles vies d’Olivier Assayas. On en a la confirmation absolue avec Eléonore, où elle est dirigée par son frère aîné Amro dans un rôle qu’il a écrit tout spécialement pour elle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La chronique de cette vie ordinaire, parlant de petits riens et d’Amro Hamzawi, reste à la surface des choses, mais on s’attache à Éléonore, gros capital de sympathie et de charme volatil. Éléonore nous rappelle quelqu’un : la Frances Ha de Noah Baumbach, jouée par Greta Gerwig.
Nora Hamzawi revêt, sans effort apparent, les habits de cette trentenaire désespérée, tout à la fois drôle et pathétique, et malgré quelques maladresses de réalisation, nous attache avec subtilité à son personnage d’Éléonore.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dans la peau de cette jeune femme maladroite et touchante, Nora Hamzawi, au coeur de chaque scène et sans jamais cabotiner, impose sa drôlerie transgressive et sa délicate singularité.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Si le dénouement est prévisible, cette comédie existentialiste s'avère le portrait touchant et nostalgique d'une éternelle ado qui refuse la normalité.
Sans prétention, ce portrait de femme aux faux airs de Bridget Jones retient l'attention par la tendresse de son héroïne et sa volonté de célébrer les vilains petits canards.
Pour une comédie, Amro Hamzawi offre une vision un peu désenchantée du monde aux yeux des trentenaires, en prenant parfois le risque de la caricature. Mais l’interprétation de Nora Hamzawi fait gagner le film en plaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le film tire à la fois un boitement attachant porté par un casting de haut rang, fût-il sous-exploité (Andre Marcon, déjeunant à son bureau, se coupe les ongles au-desuss de sa barquette de salade) et un comique édulcoré par le récit prévisible d’une acceptation de soi.
Pour le reste, nous n’avons pas réussi à nous intéresser à cette crise existentielle égocentrée et brouillonne ni à dépasser l’antipathie persistante de nombreux personnages (la mère, la sœur…). Bridget Jones peut dormir tranquille.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
L’interprétation délicate de l’humoriste Nora Hamzawi fait d’Eléonore un personnage attachant, mais le scénario, derrière ses intentions louables et sa critique sousjacente – les pressions qui pèsent sur la féminité –, pèche par sa prévisibilité.
Premier long métrage d’Amro Hamzawi, "Éléonore" avait tous les ingrédients pour être une sympathique rom-com hipster mais échoue à embarquer le spectateur.
Originale et maladroite, Eléonore commet des bourdes mais elle a aussi ses bons côtés. Nora Hamzawi, filmée par son frère Amro Hamzawi, lui donne sa vitalité mélancolique, ce qui ne suffit pas à racheter une comédie très faible où les personnages sont des caricatures.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Premier film d’Amro Hamzawi (joué par sa sœur Nora), l’ensemble donne l’impression d’un brouillon, tourné avec les moyens du bord. On sympathise, mais on n’accroche guère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De facilités en pistes laborieuses (éveil lesbien fantoche, satire de la bourgeoisie aigrelette), l’ensemble ne surmonte jamais l’impression d’un film un peu boiteux, auquel rien ne vient donner du grain.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle a la trentaine, les cheveux verts et rêve d’écrire. On aurait voulu aimer cette adulescente sommée par sa famille de rentrer dans le rang. En vain.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
[...] chez les Hamzawi, entre la poire et le fromage, on n’évoque que les bonnes nouvelles : « Vous savez que ce qui aurait dû être un téléfilm coproduit par TMC et OCS va, finalement, sortir en salle ? Si je l’avais su, j’aurais travaillé le découpage, le cadre et la lumière, mais je suis ravi ! »
Des dialogues sans piment et des personnages secondaires tous résumés à un unique trait de caractère (la soeur, la secrétaire, la romancière…) nuisent au rythme de cette comédie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Une délicieuse ode à la liberté d'être soi-même.
20 Minutes
Le cinéma aime Nora Hamzawi. On s’en doutait après l’avoir vue dans Alice et le maire de Nicolas Pariser et Doubles vies d’Olivier Assayas. On en a la confirmation absolue avec Eléonore, où elle est dirigée par son frère aîné Amro dans un rôle qu’il a écrit tout spécialement pour elle.
Elle
Un premier rôle réussi pour Nora Hamzawi, qui propose une interprétation juste de son personnage mais ne parvient tout de même pas à élever l’œuvre.
Closer
Fantaisie et mélancolie rendent attachant ce portrait d'une trentenaire dépressive.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La chronique de cette vie ordinaire, parlant de petits riens et d’Amro Hamzawi, reste à la surface des choses, mais on s’attache à Éléonore, gros capital de sympathie et de charme volatil. Éléonore nous rappelle quelqu’un : la Frances Ha de Noah Baumbach, jouée par Greta Gerwig.
La Croix
Nora Hamzawi revêt, sans effort apparent, les habits de cette trentenaire désespérée, tout à la fois drôle et pathétique, et malgré quelques maladresses de réalisation, nous attache avec subtilité à son personnage d’Éléonore.
Le Dauphiné Libéré
Éléonore nous rappelle quelqu’un : la Frances Ha de Noah Baumbach, jouée par Greta Gerwig.
Les Echos
Dans la peau de cette jeune femme maladroite et touchante, Nora Hamzawi, au coeur de chaque scène et sans jamais cabotiner, impose sa drôlerie transgressive et sa délicate singularité.
Télé 7 Jours
Si le dénouement est prévisible, cette comédie existentialiste s'avère le portrait touchant et nostalgique d'une éternelle ado qui refuse la normalité.
Télé Loisirs
Sans prétention, ce portrait de femme aux faux airs de Bridget Jones retient l'attention par la tendresse de son héroïne et sa volonté de célébrer les vilains petits canards.
Voici
Un film drôle et touchant.
aVoir-aLire.com
Pour une comédie, Amro Hamzawi offre une vision un peu désenchantée du monde aux yeux des trentenaires, en prenant parfois le risque de la caricature. Mais l’interprétation de Nora Hamzawi fait gagner le film en plaisir.
Cahiers du Cinéma
Le film tire à la fois un boitement attachant porté par un casting de haut rang, fût-il sous-exploité (Andre Marcon, déjeunant à son bureau, se coupe les ongles au-desuss de sa barquette de salade) et un comique édulcoré par le récit prévisible d’une acceptation de soi.
La Voix du Nord
Pour le reste, nous n’avons pas réussi à nous intéresser à cette crise existentielle égocentrée et brouillonne ni à dépasser l’antipathie persistante de nombreux personnages (la mère, la sœur…). Bridget Jones peut dormir tranquille.
Le Figaro
La quête de l'identité est surlignée et les personnages ne suscitent pas beaucoup d'empathie.
Le Journal du Dimanche
Au final, un téléfilm sympathiquement anecdotique.
Le Monde
L’interprétation délicate de l’humoriste Nora Hamzawi fait d’Eléonore un personnage attachant, mais le scénario, derrière ses intentions louables et sa critique sousjacente – les pressions qui pèsent sur la féminité –, pèche par sa prévisibilité.
Le Parisien
L’humoriste s’en sort bien dans un rôle difficile, mais le casting réussi ne sauve pas un film qui ne prend pas.
Les Fiches du Cinéma
Premier long métrage d’Amro Hamzawi, "Éléonore" avait tous les ingrédients pour être une sympathique rom-com hipster mais échoue à embarquer le spectateur.
Ouest France
Amro Hamzawi peine à faire montre d'originalité dans ce premier long métrage.
Sud Ouest
Originale et maladroite, Eléonore commet des bourdes mais elle a aussi ses bons côtés. Nora Hamzawi, filmée par son frère Amro Hamzawi, lui donne sa vitalité mélancolique, ce qui ne suffit pas à racheter une comédie très faible où les personnages sont des caricatures.
L'Obs
Premier film d’Amro Hamzawi (joué par sa sœur Nora), l’ensemble donne l’impression d’un brouillon, tourné avec les moyens du bord. On sympathise, mais on n’accroche guère.
Les Inrockuptibles
Dans une énième déclinaison de son personnage de “trentenaire attachiante”, Nora Hamzawi peine à rendre cette Eléonore moins antipathique.
Libération
De facilités en pistes laborieuses (éveil lesbien fantoche, satire de la bourgeoisie aigrelette), l’ensemble ne surmonte jamais l’impression d’un film un peu boiteux, auquel rien ne vient donner du grain.
Ouest France
Elle a la trentaine, les cheveux verts et rêve d’écrire. On aurait voulu aimer cette adulescente sommée par sa famille de rentrer dans le rang. En vain.
Positif
[...] chez les Hamzawi, entre la poire et le fromage, on n’évoque que les bonnes nouvelles : « Vous savez que ce qui aurait dû être un téléfilm coproduit par TMC et OCS va, finalement, sortir en salle ? Si je l’avais su, j’aurais travaillé le découpage, le cadre et la lumière, mais je suis ravi ! »
Première
Des dialogues sans piment et des personnages secondaires tous résumés à un unique trait de caractère (la soeur, la secrétaire, la romancière…) nuisent au rythme de cette comédie.