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Votre avis sur Aniara : L'Odyssée Stellaire ?
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Une horreur new edge, pas de science, no de fiction, avec un jeu d’acteur des plus médiocres, je déconseille vivement, cette production est une insulte à la grande lignée des fils de SF
une purge, tant pour les progressistes a qui ce "film" s'adresse que pour les personnes normales et saines d'esprit
vous voulez du spaceship opera? allez plutot voir Silent running, qui est meilleur en tout, surtout dans le scenario
vous voulez du spaceship opera? allez plutot voir Silent running, qui est meilleur en tout, surtout dans le scenario
Si le scénario semblait prometteur, ce film vire au fiasco. Les acteurs sont nuls, aucune cohérence d'une scène à l'autre. Des scènes choquantes pour du tout public. Aucune sensualité. De la violence. C'est long, sans but. Ce film aurait du lui aussi se perdre dans le vide .
Étonnant film méconnu. Un vrai bon film de SF dans l'espace. L'évolution de cette population enfermée est intéressante.
Aniara est un film de science fiction qui des le premier quart d'heure se relève plat ennuyeux et l'histoire est nulle.
Aucune action, le vissionnage des 1h30 si on y arrive jusqu'à la fin est un exploit.
Aucune action, le vissionnage des 1h30 si on y arrive jusqu'à la fin est un exploit.
Je ne sais pas quoi dire de ce film,
spoiler:
je crois que c'est la fin du film qui m'a permis de l'aimer.
Ce vaisseau sarcophage, pour moi remplit de matériels génétique qui croise cette planète, voir qui est pris dans sa gravité et donc pourrait s'y écraser m'a, au contraire de beaucoup de gens, donné un sentiment d'optimisme et d'émerveillement à la vue de cette planète de la constellation de la lyre. Oui l'homme n'est que dalle et c'est t'en mieux, mais se qui l'entoure, l'univers et ses secréts... woauh !! un vertige positif.
ps : je ne veux pas débattre avec quelqu'un et surtout pas avec un bigot obscurantiste de mon interprétation, elle est intime.
ps : je ne veux pas débattre avec quelqu'un et surtout pas avec un bigot obscurantiste de mon interprétation, elle est intime.
Qu'en est-il avec les Suédois ? Ils semblent avoir une fascination pour la nudité, les orgies et le sexe lesbien ? Autrefois on nous disait que c'était parce qu'ils avaient une manière libre de penser et que cela devait être admiré mais de nos jours cela se présente comme une simple excuse et n'ajoute rien à l'histoire de Aniara : L'Odyssée Stellair et nuit à ce qui aurait pu être un très bon film. Certaines des idées du film étaient bonnes et bien combinées avec un bon CGI et la fin était plutôt intelligente. Mais dans l'ensemble, le film était décousu et il ne coulait pas comme il se doit avec des scènes simplement ajoutées pour la vanité du réalisateur et pour combler ce que le scénariste ne pouvaient évidemment pas faire. Cela aurait pu être au-dessus de la moyenne mais encore une fois cela reste très mauvais. Ne voyez-vous pas à quel point tous les types d'intellectuels penseront que c'est un chef-d'œuvre alors que nous savons tous qu'il essaie de l'être mais échoue lamentablement...
Bien que ce film de science fiction soit suédois, j'ai décidé de dépasser les préjugés et armé d'un plateau repas je me suis lancé dans Aniara : L'Odyssée stellaire. J'ai eu tord.
Une idée générale aussi prometteuse que mal réalisée.
Un film cuisiné à base de partouze, d'incompréhension, de malaise, et de rôle aussi sur joué que mal doublé.
Les hommes au nombre de 3 ont des rôles savoureux : un commandant de bord dominateur, macho, aux allocutions d'une grande faiblesse, égales à son charisme. Son second, un skinhead qui lui est aussi soumis que dévoué et qui s'illustre lorsqu'il tabasse la petite amie de notre héroïne (lesbienne vous l'aurez deviné). Enfin le 3ieme est un jeune homme d'une vingtaine d'année qui n'a d'autre utilité que celle de mettre enceinte la compagne auparavant tabassé.
Dans ce film l'homme est primitif, violent, mysogine, macho, menteur, et sert d'objet sexuel.
La réalisatrice a-t-elle voulue extérioriser ? Sans aucun doute.
Doublé d'un message philosophique convenu et franchement niais, ce film qui transpire le féminisme (on peut y voir à peu près tous les physiques possible de femmes nues) et qui comptait la dessus compte tenu d'une actualité mouvementé sur ces sujets pour faire augmenter ses audiences, n'aura réussis qu'à m'ennuyer.
Un film à éviter pour les amateurs de SF.
Une idée générale aussi prometteuse que mal réalisée.
Un film cuisiné à base de partouze, d'incompréhension, de malaise, et de rôle aussi sur joué que mal doublé.
Les hommes au nombre de 3 ont des rôles savoureux : un commandant de bord dominateur, macho, aux allocutions d'une grande faiblesse, égales à son charisme. Son second, un skinhead qui lui est aussi soumis que dévoué et qui s'illustre lorsqu'il tabasse la petite amie de notre héroïne (lesbienne vous l'aurez deviné). Enfin le 3ieme est un jeune homme d'une vingtaine d'année qui n'a d'autre utilité que celle de mettre enceinte la compagne auparavant tabassé.
Dans ce film l'homme est primitif, violent, mysogine, macho, menteur, et sert d'objet sexuel.
La réalisatrice a-t-elle voulue extérioriser ? Sans aucun doute.
Doublé d'un message philosophique convenu et franchement niais, ce film qui transpire le féminisme (on peut y voir à peu près tous les physiques possible de femmes nues) et qui comptait la dessus compte tenu d'une actualité mouvementé sur ces sujets pour faire augmenter ses audiences, n'aura réussis qu'à m'ennuyer.
Un film à éviter pour les amateurs de SF.
Un film méta cosmique où l'immanence de la condition humaine camusienne est transcendée de façon prydienne par l'apologie d'un néolibéralisme libertin homocentré revendiqué haut et fort par un réalisateur très inspiré. Une parabole biblique ! Où le vaisseau est l'Arche de Noée, oui la femme noée dont Ferrat se fit le chantre dans une chanson avant gardiste à l'époque bénie des dieux des mouvements d'émancipation contestant la petite bourgeoisie dominatrice incarnée par le commandant. Le sacrifice du petit garçon noyé par sa mère se pendant à une poignée de porte constitue la métaphore assumée de l'échec du modèle bicentré, tandis que le vaisseau pénétré d'une sonde extraterrestre de forme phallique consacre la décadence d'une mono sexualité non jouissive et assumée. La forme du vaisseau est l'indice : il est rectangulaire et on lit le message comme dans un livre dont il a la forme. Un chef d'oeuvre. Je le re regarde dans 5 minutes après un petit blanc cassis.
J’ai trouvé ce film pas si mal. Même s’il n'y a pas mal de piste d’amélioration, c’est une bonne surprise venant des pays nordiques. J’aime bien le concept de l’isolement où des centaines de personnes vont devoir crée une société pour survivre dans l’espace. On voit la manière de s’auto-organisé plus ou moins efficacement et les dérive qui vont avec. La réalisation est astucieuse car elle est divisée en chapitres montrant les différentes phases de l’évolution sociétale. Il y a plein d’aspect qui seront abordés comme la reproduction, la religion ou encore l’autorité. C’est très intéressant cette présentation et montre comment le comportement humain se modifie avec le temps. Je vous préviens en passant, je ne sais pas si c’est culturel, mais la nudité et les scènes de sexes sont assumées. Ça n’apporte pas grand-chose et peut paraître long. Concernant l’histoire, c’est un peu linéaire et donc par moments je me suis ennuyé. Surtout que les personnages ne sont pas top. Mimaroben n’a pas trop de stature pourtant c’est elle qu’on va le plus suivre. Les autres tournant autour d’elle n’ont pas plus de charisme. Les acteurs ne sont pas spécialement éclatants. Ce qui m’a le plus dérangé, c’est que le côté sciences fiction est finalement assez pauvre. Cela aurait pu se dérouler sur un navire dans la mer, le résultat aurait été presque le même. Il n’y a quasiment pas d’interaction avec l’espace ou même une technologie avancée.
Quelle idée d'avoir imaginé que j'allais m'évader dans le cosmos comme nous le laissait présager un début très annonciateur ! Soudain on se retrouve enfermés dans un intérieur Ikea, avec une population de bobos qu'on pourrait croiser sur une plage de vacanciers smicards, et un commandement de ville volante dont je suis certain qu'aucun d'eux serait foutu de fabriquer un avion en papier.
voici un vrai pamphlet ecologiste et humaniste.
un film cri d alarme.
une metaphore absolue du comportement desastreux de l l'humanité.
terre miniature le vaisseau spatial perdu dans l espace est le théâtre du comportement desolant de l'espèce incapable de proteger et respecter son environment. telle la planete déjà ruinee au debut du film l anaria où tout pourrait bien se passer eau nourriture sécurité est voué a la destruction progressive par l incapacite de ses dirigeants. s ensuit la denonciation métaphorique de tous les travers societaux actuels. repli religieux consumerisme totalitarisme infantilisant mensonge d etat.
c est surtout une critique de la société sous une enveloppe de science fiction et pas une x version de star trek sauce scandinave.
a voir en reflechissant un minimun
un film cri d alarme.
une metaphore absolue du comportement desastreux de l l'humanité.
terre miniature le vaisseau spatial perdu dans l espace est le théâtre du comportement desolant de l'espèce incapable de proteger et respecter son environment. telle la planete déjà ruinee au debut du film l anaria où tout pourrait bien se passer eau nourriture sécurité est voué a la destruction progressive par l incapacite de ses dirigeants. s ensuit la denonciation métaphorique de tous les travers societaux actuels. repli religieux consumerisme totalitarisme infantilisant mensonge d etat.
c est surtout une critique de la société sous une enveloppe de science fiction et pas une x version de star trek sauce scandinave.
a voir en reflechissant un minimun
Ce n'est pas tant de la S.F. que des situations souvent peu compréhensibles et parfois de fort mauvais goût. A part le personnage principal on ne voit aucun véritable fil conducteur, il n'y a que des sous entendu que l'on est supposé comprendre mais qui sont justes abscons. Une vision qui se veut réaliste de situations imaginaires d'un quotidien obscur, grotesque ou sinistre.
Dernière m*** scandinave que je vais voir, la bande d'annonce m'avait hypé mais le film est vraiment plat et ennuyeux.
Et les scènes grossière n'étaient vraiment pas nécessaire.
Le pire film de sci fi que j'ai pu voir à partir de ce jour.
Et les scènes grossière n'étaient vraiment pas nécessaire.
Le pire film de sci fi que j'ai pu voir à partir de ce jour.
Ce film complètement surréaliste peine à convaincre par sa science-fiction des années 60 et son huis-clos d'interactions entre passagers sans aucun intérêt. On suit difficilement les petites aventures des uns et des autres en se demandant qu'est-ce qu'elles apportent dans le scénario à part du remplissage. Les acteurs et actrices sont tous plus ennuyants les uns que les autres et l'immersion dans ce vaisseau qui ressemble plus à un immense motel est tout bonnement ratée. On ne rentre jamais vraiment dans cette histoire malgré la bonne prestation d'Emilie Jonsson. D'ailleurs on souhaiterait à cette dernière de trouver des films mieux écrits pour mieux exercer ses talents d'actrice. Pour ne rien arranger, c'est mal filmé et on trouve le temps long malgré les quelques scènes osées qui réveillent si on s'était assoupi. Ce film de fausse science-fiction est une pure perte de temps. Seuls le titre du film, sa jaquette et son actrice principale sont ses uniques atouts.
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