Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Ce premier film de la réalisatrice québécoise Sophie Dupuis transcende son pitch conventionnel pour devenir très personnel.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Percutant, envoûtant, fascinant, malaisant, "Chien de garde" dépasse sans problème son cadre de premier film pour devenir un très bel objet de cinéma. De quoi attendre le prochain projet de Sophie Dupuis avec la plus grande des impatiences. Une consécration logique au dernier Festival International du Film de Saint-Jean-De-Luz, où le film a remporté le Prix de la mise en scène et celui de la Meilleure interprétation masculine pour ses deux fantastiques comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans les deux rôles, Théodore Pellerin, survolté à faire peur, et Jean-Simon Leduc, roc fragile, sont d’impressionnantes révélations.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Un petit polar qu'on découvre avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Souvent filmés caméra à l'épaule entre les quatre murs de l'appartement, les personnages suivent une voie qui semble toute tracée et annonce une fin inéluctable. Sophie Dupuis a organisé sa petite tragédie d'une main alerte. Le spectateur sait qu'une étincelle suffira à faire éclater la cellule familiale.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Aussi rude que touchant, porté par des comédiens impeccables, il révèle une cinéaste pleine de promesses.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un premier film imparfait mais dynamique, porté par de belles performances d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par François Rieux
Chronique de la galère ordinaire et portrait transversal d’une famille dysfonctionnelle, Chien de garde suit les traces de ses aînés, de Nicolas Winding Refn à Larry Clark, sans vraiment arriver à s’en démarquer. Reste la composition ébouriffante du jeune Théodore Pellerin dans le rôle de Vincent, chien fou, autodestructeur, friand de castagne, qui vole la vedette de ses partenaires à chacune de ses apparitions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de genre est ici lesté par un naturalisme caméra à l’épaule cernant l’hystérie pénible des rapports entre les différents protagonistes. Dans l’indifférence, tant ce que l’on voit semble déjà avoir été filmé un million de fois.
CinemaTeaser
Ce premier film de la réalisatrice québécoise Sophie Dupuis transcende son pitch conventionnel pour devenir très personnel.
Ecran Large
Percutant, envoûtant, fascinant, malaisant, "Chien de garde" dépasse sans problème son cadre de premier film pour devenir un très bel objet de cinéma. De quoi attendre le prochain projet de Sophie Dupuis avec la plus grande des impatiences. Une consécration logique au dernier Festival International du Film de Saint-Jean-De-Luz, où le film a remporté le Prix de la mise en scène et celui de la Meilleure interprétation masculine pour ses deux fantastiques comédiens.
Télérama
Dans les deux rôles, Théodore Pellerin, survolté à faire peur, et Jean-Simon Leduc, roc fragile, sont d’impressionnantes révélations.
L'Obs
Un petit polar qu'on découvre avec plaisir.
Le Figaro
Souvent filmés caméra à l'épaule entre les quatre murs de l'appartement, les personnages suivent une voie qui semble toute tracée et annonce une fin inéluctable. Sophie Dupuis a organisé sa petite tragédie d'une main alerte. Le spectateur sait qu'une étincelle suffira à faire éclater la cellule familiale.
Le Journal du Dimanche
Aussi rude que touchant, porté par des comédiens impeccables, il révèle une cinéaste pleine de promesses.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film imparfait mais dynamique, porté par de belles performances d’acteurs.
Première
Chronique de la galère ordinaire et portrait transversal d’une famille dysfonctionnelle, Chien de garde suit les traces de ses aînés, de Nicolas Winding Refn à Larry Clark, sans vraiment arriver à s’en démarquer. Reste la composition ébouriffante du jeune Théodore Pellerin dans le rôle de Vincent, chien fou, autodestructeur, friand de castagne, qui vole la vedette de ses partenaires à chacune de ses apparitions.
Le Monde
Le film de genre est ici lesté par un naturalisme caméra à l’épaule cernant l’hystérie pénible des rapports entre les différents protagonistes. Dans l’indifférence, tant ce que l’on voit semble déjà avoir été filmé un million de fois.