Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) un portrait de femme admirable, mais surtout fascinant (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le visage de l'actrice (Charlotte Rampling) irradie le quatrième – et meilleur – long métrage de François Ozon, qui mêle sensualité et fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Marc Arlin
(...) superbe drame funèbre.
Repérages
par Julien Welter
Sur un sujet qui a déjà fait ses preuves dans le cinéma français, François Ozon a construit un récit où la raideur de l'obsession célèbre surtout la rencontre, pas si fréquente, d'un sujet avec son incarnation idéale.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) film magnifique (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Sous le sable vient confirmer le flux tendu des émotions qui faisait la grandeur de Gouttes d'eau (...). Au prolixe et au débridé de l'un s'opposent le silence et la délicatesse patiente de l'autre
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Plus apaisé et serein que par le passé, c'est avec une admiration non dissimulée qu'il (François Ozon) promène sa caméra amoureuse dans l'intimité de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
Ce qui force l'admiration, c'est la façon dont Ozon parvient à nous sensibiliser sur l'histoire de cette jeune femme désemparée et ambiguë. On a souvent cette impression qu'Ozon a écrit chaque plan de son film dans un état de suffocation, comme si sa vie en dépendait.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) un cinéma plus réfléchi, plus adulte, moins immédiatement bluffant, peut-être, ça se discute, mais certainement plus riche et plus profond.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par Daniel Toscan du Plantier
(...) Sous le sable est écrit et tourné avec élégance et gravité, concentré sur les pas d'une femme admirable dont on se surprend à redécouvrir la grâce et l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
François Ozon fait preuve dans ce film d'une extraordianire maturité. Il peint par petites touchez impressionnistes cette femme dont l'univers bascule brutalement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
La réalisation est d'une sobriété revigorante, simple et pourquoi pas lente, pudique. Face à cela, libre au spectateur de s'arranger avec ses pensées, ses sectres.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Surprenant François Ozon, dont le cinéma a toujours jusqu'à présent bravé les tabous. Rien de tel ici, même si, par la brutalité de son mystère, cette histoire a quelque chose de provocateur
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec Sous le sable, splendeur élégante et bouleversante, François Ozon atteint une rare et impressionnante plénitude dans son travail.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) Sous le sable chuchote sa beauté au lieu de la brailler, suscite un mystère inépuisable avec le minimum d'effets, se regarde autant qu'il se rêve.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Les options scénaristiques de François Ozon et sa mise en scène nous introduisent, en lieu et place du mélo vermoulu, à un fantastique quotidien particulièrement prenant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) Ozon trace avec habileté les frontières entre le réel et l'incarnation incertaine d'un fantasme.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Jean-Yves Katelan
(...) Ozon tient l'équilibre très précaire de sa situation, autant que l'haleine de ses spectateurs, jusqu'au bout, sans quiproquo ni rebondissement tarabiscoté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
(...) une tension permanente et indéfinissable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
(...) un portrait de femme admirable, mais surtout fascinant (...)
Le Monde
Le visage de l'actrice (Charlotte Rampling) irradie le quatrième – et meilleur – long métrage de François Ozon, qui mêle sensualité et fantastique.
MCinéma.com
(...) superbe drame funèbre.
Repérages
Sur un sujet qui a déjà fait ses preuves dans le cinéma français, François Ozon a construit un récit où la raideur de l'obsession célèbre surtout la rencontre, pas si fréquente, d'un sujet avec son incarnation idéale.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
(...) film magnifique (...)
Chronic'art.com
Sous le sable vient confirmer le flux tendu des émotions qui faisait la grandeur de Gouttes d'eau (...). Au prolixe et au débridé de l'un s'opposent le silence et la délicatesse patiente de l'autre
Cinopsis.com
Plus apaisé et serein que par le passé, c'est avec une admiration non dissimulée qu'il (François Ozon) promène sa caméra amoureuse dans l'intimité de son héroïne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Ce qui force l'admiration, c'est la façon dont Ozon parvient à nous sensibiliser sur l'histoire de cette jeune femme désemparée et ambiguë. On a souvent cette impression qu'Ozon a écrit chaque plan de son film dans un état de suffocation, comme si sa vie en dépendait.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) un cinéma plus réfléchi, plus adulte, moins immédiatement bluffant, peut-être, ça se discute, mais certainement plus riche et plus profond.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
(...) Sous le sable est écrit et tourné avec élégance et gravité, concentré sur les pas d'une femme admirable dont on se surprend à redécouvrir la grâce et l'émotion.
Le Figaroscope
François Ozon fait preuve dans ce film d'une extraordianire maturité. Il peint par petites touchez impressionnistes cette femme dont l'univers bascule brutalement.
Le Journal du Dimanche
La réalisation est d'une sobriété revigorante, simple et pourquoi pas lente, pudique. Face à cela, libre au spectateur de s'arranger avec ses pensées, ses sectres.
Le Parisien
Surprenant François Ozon, dont le cinéma a toujours jusqu'à présent bravé les tabous. Rien de tel ici, même si, par la brutalité de son mystère, cette histoire a quelque chose de provocateur
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Avec Sous le sable, splendeur élégante et bouleversante, François Ozon atteint une rare et impressionnante plénitude dans son travail.
Les Inrockuptibles
(...) Sous le sable chuchote sa beauté au lieu de la brailler, suscite un mystère inépuisable avec le minimum d'effets, se regarde autant qu'il se rêve.
Libération
Les options scénaristiques de François Ozon et sa mise en scène nous introduisent, en lieu et place du mélo vermoulu, à un fantastique quotidien particulièrement prenant.
Positif
(...) Ozon trace avec habileté les frontières entre le réel et l'incarnation incertaine d'un fantasme.
Première
(...) Ozon tient l'équilibre très précaire de sa situation, autant que l'haleine de ses spectateurs, jusqu'au bout, sans quiproquo ni rebondissement tarabiscoté.
Télérama
(...) une tension permanente et indéfinissable.