Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Jinpa cherche littéralement à envahir la conscience et la mémoire du spectateur. Il y parvient à notre insu, moins par les artifices éprouvés de la narration rêvée qu’à partir de sensations ténues, soufflées par la mise en scène.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Enfin, le sens de l’image, du cadre, du plan et du montage habitent un film fascinant, par son mystère et la joie qu’il procure. Exigeant mais une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Non seulement « Jinpa » est beau à regarder, mais il exprime, en filigrane, la possibilité du karma et d’une réalité poétique qui nous échappe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Road movie minimaliste, "Jinpa" échoue à donner corps à son récit, dont le symbolisme est supposé à défaut d’être compris, et dont l’enveloppe formelle ne serait alors qu’un enjolivement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
"Jinpa" intrigue surtout par son étrangeté ostentatoire. Commençant comme un road-movie, il a des allures de western surréaliste, tandis que l’épaisseur de sa parabole ne l’empêche pas de faire preuve de touches humoristiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Grâce à l'art de Lu Songye, le directeur de la photographie, et à un scénario fort, [...] cette fable autour de gens pénétrés d'une culture ancienne et dont le vécu intime prime sur le hic et nunc, convainc et séduit.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Mais ce conte signé Pema Tseden, déjà auteur de « Tharlo, le berger tibétain » ne se borne pas à être un simple récit inspiré par la loi du talion. C’est une fable mystérieuse habitée par le songe et le pouvoir de transmission, dont la mise en scène se soucie de troubler nos repères.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Un récit d’ambiance influencé par Wong Kar-wai, qui sublime les paysages tibétains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce maniérisme photographique – qui résonne avec le cinéma de Wong Karwai, producteur du film – instille le trouble dans le regard même du spectateur et suscite en lui un état de conscience cotonneux et flottant.
Première
par Thierry Chèze
Wong Kar-Wai a vu juste en le produisant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une production du grand Wong Kar-Wai qui choisit l’intimité fantastique et troublante d’un conte pour parler à demi-mots de la complexité ethnique et géographique du Tibet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Victor Touzé
La mise en scène, très terne, ne saisit jamais la réalité quotidienne du Tibet, et se rend incapable d'en montrer les facettes les plus étranges, les rêves et les contes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Produit par Wong Kar Wai qui a pu y voir un vague prolongement de son “eastern” les Cendres du temps, le nouveau film de ce réalisateur remarqué avec le très beau Tharlo, le berger tibétain, déçoit néanmoins par son absence de personnages consistants et de sujet construit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Malgré son acteur principal étonnant, un film de vengeance maladroitement arty. On s’ennuie, gêné·e par les maladresses de toutes sortes, faux raccords, flash-backs chelous et plan-séquence dans un saloon tournant à vide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Jinpa cherche littéralement à envahir la conscience et la mémoire du spectateur. Il y parvient à notre insu, moins par les artifices éprouvés de la narration rêvée qu’à partir de sensations ténues, soufflées par la mise en scène.
Franceinfo Culture
Enfin, le sens de l’image, du cadre, du plan et du montage habitent un film fascinant, par son mystère et la joie qu’il procure. Exigeant mais une révélation.
L'Obs
Non seulement « Jinpa » est beau à regarder, mais il exprime, en filigrane, la possibilité du karma et d’une réalité poétique qui nous échappe.
Les Fiches du Cinéma
Road movie minimaliste, "Jinpa" échoue à donner corps à son récit, dont le symbolisme est supposé à défaut d’être compris, et dont l’enveloppe formelle ne serait alors qu’un enjolivement.
Libération
"Jinpa" intrigue surtout par son étrangeté ostentatoire. Commençant comme un road-movie, il a des allures de western surréaliste, tandis que l’épaisseur de sa parabole ne l’empêche pas de faire preuve de touches humoristiques.
Positif
Grâce à l'art de Lu Songye, le directeur de la photographie, et à un scénario fort, [...] cette fable autour de gens pénétrés d'une culture ancienne et dont le vécu intime prime sur le hic et nunc, convainc et séduit.
Sud Ouest
Mais ce conte signé Pema Tseden, déjà auteur de « Tharlo, le berger tibétain » ne se borne pas à être un simple récit inspiré par la loi du talion. C’est une fable mystérieuse habitée par le songe et le pouvoir de transmission, dont la mise en scène se soucie de troubler nos repères.
Télérama
Un récit d’ambiance influencé par Wong Kar-wai, qui sublime les paysages tibétains.
Le Monde
Ce maniérisme photographique – qui résonne avec le cinéma de Wong Karwai, producteur du film – instille le trouble dans le regard même du spectateur et suscite en lui un état de conscience cotonneux et flottant.
Première
Wong Kar-Wai a vu juste en le produisant.
aVoir-aLire.com
Une production du grand Wong Kar-Wai qui choisit l’intimité fantastique et troublante d’un conte pour parler à demi-mots de la complexité ethnique et géographique du Tibet.
Critikat.com
La mise en scène, très terne, ne saisit jamais la réalité quotidienne du Tibet, et se rend incapable d'en montrer les facettes les plus étranges, les rêves et les contes.
L'Humanité
Produit par Wong Kar Wai qui a pu y voir un vague prolongement de son “eastern” les Cendres du temps, le nouveau film de ce réalisateur remarqué avec le très beau Tharlo, le berger tibétain, déçoit néanmoins par son absence de personnages consistants et de sujet construit.
Les Inrockuptibles
Malgré son acteur principal étonnant, un film de vengeance maladroitement arty. On s’ennuie, gêné·e par les maladresses de toutes sortes, faux raccords, flash-backs chelous et plan-séquence dans un saloon tournant à vide.