Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par Hava Sarfati
De façon à la fois crue et pudique, Yaron Shani ose un rapprochement entre l’amour et le viol. Il mesure le désir à l'aune de la prostitution, et fait se confronter la pulsion de vie et la pulsion de mort. Un film radical et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
« Stripped » confirme l’avènement d’un grand nom du cinéma israélien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Avec cette œuvre tendue, Yaron Shani complète, plus qu’il ne clôt, sa magistrale trilogie (Chained , Beloved, Stripped).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ophir Levy
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pour son dernier opus de la trilogie sur l’amour, Yaron Shani offre une œuvre aussi intense et sensible que politiquement incorrecte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les images floutées des sexes, des seins et des visages des prostituées ne sont pas le résultat d’une censure. Elles semblent signifier l’interdit, le tabou sur le sexe à l’origine de toutes les perversions. Bien vu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec des acteurs aussi magnétiques qu'inspirés, Shani aborde une fois de plus des relations hommes-femmes faussement apaisées, minées par une violence sourde. Au passage, il révèle la solitude banale et intériorisée de personnages aliénés par une culture consumériste et hyper-sexualisée, et pour certains rattrapés par de dangereux démons enfouis.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Au fil d’un récit puissant et déstructuré, le réalisateur israélienYaron Shani suit une héroïne avant et après le traumatisme.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Plongée dérangeante mais forte dans les réminiscences d’un viol. Un film choc israélien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thomas Baurez
La relative retenue de Yaron Chani ne cherche pas à masquer la violence, mais semble au contraire l’accueillir comme une fatalité. Cette trilogie de l’amour traduit la noirceur d’une époque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Qu’il aborde le viol, avec son lent travail de destruction, la toxicité de l’imagerie porno ou encore la surenchère viriliste dans laquelle les jeunes Israéliens se complaisent, le film ne se laisse pas facilement oublier…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La démarche de Yaron Shani paraît symptomatique d’une inconséquence malheureuse pour qui s’aventure en moraliste sur un terrain aussi glissant que celui de la violence sexuelle.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ici, à nouveau, la violence faite aux femmes occupe le premier plan mais elle apparaît enrobée d’un discours moral douteux qui nous ferait presque croire que les bourreaux ne sont que des innocents souillés par une société dépravée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
De façon à la fois crue et pudique, Yaron Shani ose un rapprochement entre l’amour et le viol. Il mesure le désir à l'aune de la prostitution, et fait se confronter la pulsion de vie et la pulsion de mort. Un film radical et dérangeant.
L'Obs
« Stripped » confirme l’avènement d’un grand nom du cinéma israélien.
Les Fiches du Cinéma
Avec cette œuvre tendue, Yaron Shani complète, plus qu’il ne clôt, sa magistrale trilogie (Chained , Beloved, Stripped).
Positif
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
aVoir-aLire.com
Pour son dernier opus de la trilogie sur l’amour, Yaron Shani offre une œuvre aussi intense et sensible que politiquement incorrecte.
Franceinfo Culture
Les images floutées des sexes, des seins et des visages des prostituées ne sont pas le résultat d’une censure. Elles semblent signifier l’interdit, le tabou sur le sexe à l’origine de toutes les perversions. Bien vu.
Le Journal du Dimanche
Avec des acteurs aussi magnétiques qu'inspirés, Shani aborde une fois de plus des relations hommes-femmes faussement apaisées, minées par une violence sourde. Au passage, il révèle la solitude banale et intériorisée de personnages aliénés par une culture consumériste et hyper-sexualisée, et pour certains rattrapés par de dangereux démons enfouis.
Le Monde
Au fil d’un récit puissant et déstructuré, le réalisateur israélienYaron Shani suit une héroïne avant et après le traumatisme.
Le Parisien
Plongée dérangeante mais forte dans les réminiscences d’un viol. Un film choc israélien.
Première
La relative retenue de Yaron Chani ne cherche pas à masquer la violence, mais semble au contraire l’accueillir comme une fatalité. Cette trilogie de l’amour traduit la noirceur d’une époque.
Télérama
Qu’il aborde le viol, avec son lent travail de destruction, la toxicité de l’imagerie porno ou encore la surenchère viriliste dans laquelle les jeunes Israéliens se complaisent, le film ne se laisse pas facilement oublier…
Cahiers du Cinéma
La démarche de Yaron Shani paraît symptomatique d’une inconséquence malheureuse pour qui s’aventure en moraliste sur un terrain aussi glissant que celui de la violence sexuelle.
Les Inrockuptibles
Ici, à nouveau, la violence faite aux femmes occupe le premier plan mais elle apparaît enrobée d’un discours moral douteux qui nous ferait presque croire que les bourreaux ne sont que des innocents souillés par une société dépravée.