Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Formellement très beau, déroutant parfois et intrigant toujours, réaliste et onirique à la fois, "Les Étendues imaginaires" marque la naissance d’un cinéaste, qui n’avait jusqu’alors réalisé qu’un film expérimental en 2009 et dont on attendra avec impatience le prochain opus.
Transfuge
par François Bégaudeau
Premier film du Singapourien Yeo Siew Hua, "Les Etendues imaginaires" est un des plus beaux et des plus étranges films de ce début d’année. Ou l’envers du décor du succès économique de Singapour.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Ce premier long métrage fait preuve d'une ambition et d'une richesse sidérantes, bouclé par un épilogue magnifique proche de la transe. Quand le geste poétique finit par l'emporter sur le sens.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
"Les Étendues Imaginaires", s’il souffre de quelques problèmes de rythme et de construction, n’en reste pas moins un film envoûtant et passionnant, servi par une direction artistique et une interprétation de haute volée. Une poésie macabre et désenchantée qui, en nous proposant une fuite virtuelle nous met en réalité face à nos paradoxes. Un réalisateur à surveiller de près.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par La Rédaction
Les Étendues imaginaires, de Yeo Siew Hua, usent des codes du thriller pour un état des lieux social et sentimental subtil et d’une grande force.
L'Obs
par François Forestier
Traité en flash-back, le récit respecte les codes du polar et les magnifie par une photo superbe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Son principe de mise en scène n’est nullement une posture puisqu’il transmet directement au plexus du spectateur des émotions viscérales, indéterminées et poisseuses, échos de celles ressenties par les protagonistes du film.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si l’on regrette que le film, un peu trop conscient de son savoir-faire, ne s’achève sur une fin excessivement ouverte, on se passionne pour ces "Etendues imaginaires", film noir et histoire d’amour, doux cauchemar et trip hallucinatoire, qui acte indiscutablement la naissance d’un cinéaste doué et prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Léopard d’or du festival de Locarno, le film de Yeo Siew Hua entremêle avec onirisme les fatigues d’un travailleur migrant évaporé et du policier qui enquête sur sa disparition, dans une ville mutante où l’insomnie n’épargne personne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thomas Baurez
Les étendues imaginaires du titre, ce sont aussi et surtout ces bouts de terres que l’homme fait artificiellement surgir de la mer pour grossir les rangs de nouveaux délires immobiliers. Ces mirages et la mise en scène sensuelle les font vibrer de toutes parts pour en révéler la face sombre et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film entre polar et songe, fable sociale et poésie fantastique où le cinéaste singapourien Siew Hua Yeo évoque avec douceur la condition faite à tout un sous-prolétariat d’immigrés.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un polar alambiqué aux allures d’un Mullholland Drive asiatique, qui surprend.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le film avance toujours au risque d’une certaine mollesse (…) mais le plaisir que Yeo Siew Hua éprouve à filmer la luminescence de néons, les déserts industriels blafards, les couchers de soleil (…), laisse espérer la naissance d’un vrai cinéaste.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
S'il commence comme un polar un peu convenu, le film trouve sa densité par un renversement de point de vue bien construit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Dans cet éparpillement, Les Etendues imaginaires trouvent à la fois leur limite, mais aussi une irrégularité plutôt stimulante, une énergie intermittente qui fonctionne plus par scènes que sur l’ensemble.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un film fascinant par ses paysages étonnants, par sa réalisation inspirée, et par ses questionnements pertinents.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Le scénario tient ici de prétexte à une rêverie hypnotique, réflexion sensible sur le territoire flottant de Singapour, entre réel et virtuel, extension physique sur l’Océan et appropriation culturelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Mais à trop miser sur l’abstraction, le jeune cinéaste singapourien prend le risque de nous perdre. Reste l’impression d’un voyage flottant, nocturne, aussi dérangeant que sensuel, aux confins d’un pays lui-même mouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
C'est beau, mais incompréhensible. Bien plus tortueux que Mullholland Drive.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est vite envoûté par l’atmosphère mystérieuse de ce polar engagé, ponctué de parenthèses oniriques. Mais la construction elliptique peut embrouiller.
Positif
Formellement très beau, déroutant parfois et intrigant toujours, réaliste et onirique à la fois, "Les Étendues imaginaires" marque la naissance d’un cinéaste, qui n’avait jusqu’alors réalisé qu’un film expérimental en 2009 et dont on attendra avec impatience le prochain opus.
Transfuge
Premier film du Singapourien Yeo Siew Hua, "Les Etendues imaginaires" est un des plus beaux et des plus étranges films de ce début d’année. Ou l’envers du décor du succès économique de Singapour.
Culturopoing.com
Ce premier long métrage fait preuve d'une ambition et d'une richesse sidérantes, bouclé par un épilogue magnifique proche de la transe. Quand le geste poétique finit par l'emporter sur le sens.
Ecran Large
"Les Étendues Imaginaires", s’il souffre de quelques problèmes de rythme et de construction, n’en reste pas moins un film envoûtant et passionnant, servi par une direction artistique et une interprétation de haute volée. Une poésie macabre et désenchantée qui, en nous proposant une fuite virtuelle nous met en réalité face à nos paradoxes. Un réalisateur à surveiller de près.
L'Humanité
Les Étendues imaginaires, de Yeo Siew Hua, usent des codes du thriller pour un état des lieux social et sentimental subtil et d’une grande force.
L'Obs
Traité en flash-back, le récit respecte les codes du polar et les magnifie par une photo superbe.
La Septième Obsession
Son principe de mise en scène n’est nullement une posture puisqu’il transmet directement au plexus du spectateur des émotions viscérales, indéterminées et poisseuses, échos de celles ressenties par les protagonistes du film.
Les Inrockuptibles
Si l’on regrette que le film, un peu trop conscient de son savoir-faire, ne s’achève sur une fin excessivement ouverte, on se passionne pour ces "Etendues imaginaires", film noir et histoire d’amour, doux cauchemar et trip hallucinatoire, qui acte indiscutablement la naissance d’un cinéaste doué et prometteur.
Libération
Léopard d’or du festival de Locarno, le film de Yeo Siew Hua entremêle avec onirisme les fatigues d’un travailleur migrant évaporé et du policier qui enquête sur sa disparition, dans une ville mutante où l’insomnie n’épargne personne.
Première
Les étendues imaginaires du titre, ce sont aussi et surtout ces bouts de terres que l’homme fait artificiellement surgir de la mer pour grossir les rangs de nouveaux délires immobiliers. Ces mirages et la mise en scène sensuelle les font vibrer de toutes parts pour en révéler la face sombre et tragique.
Sud Ouest
Un beau film entre polar et songe, fable sociale et poésie fantastique où le cinéaste singapourien Siew Hua Yeo évoque avec douceur la condition faite à tout un sous-prolétariat d’immigrés.
aVoir-aLire.com
Un polar alambiqué aux allures d’un Mullholland Drive asiatique, qui surprend.
Cahiers du Cinéma
Le film avance toujours au risque d’une certaine mollesse (…) mais le plaisir que Yeo Siew Hua éprouve à filmer la luminescence de néons, les déserts industriels blafards, les couchers de soleil (…), laisse espérer la naissance d’un vrai cinéaste.
Critikat.com
S'il commence comme un polar un peu convenu, le film trouve sa densité par un renversement de point de vue bien construit.
Le Monde
Dans cet éparpillement, Les Etendues imaginaires trouvent à la fois leur limite, mais aussi une irrégularité plutôt stimulante, une énergie intermittente qui fonctionne plus par scènes que sur l’ensemble.
Les Fiches du Cinéma
Un film fascinant par ses paysages étonnants, par sa réalisation inspirée, et par ses questionnements pertinents.
Paris Match
Le scénario tient ici de prétexte à une rêverie hypnotique, réflexion sensible sur le territoire flottant de Singapour, entre réel et virtuel, extension physique sur l’Océan et appropriation culturelle.
Télérama
Mais à trop miser sur l’abstraction, le jeune cinéaste singapourien prend le risque de nous perdre. Reste l’impression d’un voyage flottant, nocturne, aussi dérangeant que sensuel, aux confins d’un pays lui-même mouvant.
Le Figaro
C'est beau, mais incompréhensible. Bien plus tortueux que Mullholland Drive.
Le Journal du Dimanche
On est vite envoûté par l’atmosphère mystérieuse de ce polar engagé, ponctué de parenthèses oniriques. Mais la construction elliptique peut embrouiller.