Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si l’effet de surprise a quelque peu disparu avec ce nouvel opus, l’énergie qui se dégage de Peninsula offre toujours son compte de décharges d’adrénaline.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Alex Terror
"Peninsula" n'est pas pessimiste comme l'était "Dernier train pour Busan" et plus globalement toute la filmographie de Yeon Sang-ho jusqu'ici (...) mais un film qui nous veut du bien, définitivement. Et dieu sait que par les temps qui courent, c'est tout simplement inestimable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Avec "Peninsula" Yeon Sang-ho recycle avec brio l’imagerie musclée et ludique de John Carpenter et de la série Mad Max.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Michel Valentin
Peninsula, s'il n'oublie pas de rendre hommage à ses prédécesseurs côté zombies, partage aussi des références plus inattendues, comme aux deux derniers Mad Max, avec une séquence de combats en arène et une course-poursuite démentielle à travers les ruines d'une ville infestée de morts-vivants. En revanche (...) le réalisateur caricature trop ses personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si "Peninsula" se connecte à un état du monde, il s’agit moins de la pandémie que de la crise migratoire. Son image traumatique, ce n’est pas le corps monstrueux du mort-vivant [...], ce n’est pas non plus la contagion [...]. Son image traumatique, c’est plutôt la marée humaine – qu’elle soit zombie ou non [...]. Le film n’est certes pas toujours à la hauteur de ces enjeux, mais il fonctionne bel et bien comme un fournisseur pétaradant d’images cauchemardées de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
La force de Peninsula est d’être un tout autre film, avec de tout autres personnages, et de quitter rapidement le règne des humains en projetant son héros (Gang Dong-won) quatre ans plus tard, en mission suicide dans cette Corée du Sud ravagée à côté de laquelle son voisin du Nord tout calfeutré fait figure de paradis, c’est dire si les choses ont mal tourné.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
S'il ne révolutionne pas le 7e art à la façon de George Miller, le Coréen prolonge néanmoins la démarche de ce dernier par des idées cinétiques affolantes, qui épousent la dynamique d'un récit une nouvelle fois conclu par une fuite.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Résidus de féerie, résidus d’émotion et résidus d’humanité qui font de Peninsula, bien plus que la redite lisse du triomphe de Dernier train pour Busan, la prolongation de l’oeuvre d’un vrai primitif hanté par le chaos et la sauvagerie tapie en chacun de ses personnages.
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Peninsula" est un nouveau raz-de-marée cadavérique qui accumule les faiblesses de style et de narration, et souffre grandement de sa filiation avec le très estimé "Dernier Train pour Busan". Yeon Sang-Ho propose une série B d'action post-apocalyptique convenue et divertissante, mais encore trop premier degré pour que le public adhère à ce spectacle bourrin, qui avait tout pour être jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Brouillon et globalement fagoté, Peninsula reste néanmoins attachant, sous ses airs de blockbuster bâtard qui semble vouloir plaire à tout le monde et en fait un peu trop. Mais bien qu’on passe un bon moment, on est très loin de la fulgurante claque assénée par Dernier Train pour Busan.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Hormis une fin un peu trop grandiloquente et plombée de facilités de scénario, ce "Peninsula" s'impose comme un excellent film de zombies qui en respecte les codes tout en nous offrant de belles trouvailles visuelles, et un soupçon d'originalité dans sa trame narrative.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un pur film d’action où le cinéaste joue plus la sécurité que l’audace. Reste un jeu vidéo immersif, plaisant pour les yeux, mais qui laisse nos neurones très tranquilles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Yeon Sang-ho paye sa dette à ses aînés (New York 1997, Je suis une légende, Mad Max). Comme parfois après un succès, il a plus de moyens et moins d’idées. Il est un peu moins méchant aussi, d’où les violonnades. Mais sa mise en scène, très graphique fait toujours des étincelles dès qu’il y a de l’action.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mais Peninsula impose sa propre singularité, celle d’une vision sombre et peu consolante mixée avec une forme de génie cinétique mêlant l’infinie plasticité du cartoon au conte de fées pour enfants.
CinemaTeaser
par Luce Grosso
"Peninsula" manque tant de chair, tant d’enjeux… Son héros, ployant sous le poids de la culpabilité, est inerte, errant dans un monde qu’on a déjà vu cent fois, sujet à des ressorts éculés qui standardisent le film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
En s’éloignant drastiquement du dispositif minimal de Dernier train pour Busan, Yeon Sang-ho a laissé son inspiration au placard.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par La Rédaction
Le film a perdu en inspiration ce qu'il a gagné en effets spéciaux. Pour les mordus du genre.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’enjeu dramatique se dilue dans un déluge d’effets spéciaux et de bons sentiments. Yeon Sang-ho est bien plus virtuose dans un espace clos.
Les Fiches du Cinéma
par Julien Nève
Suite attendue du très réussi "Dernier train pour Busan", "Peninsula" était attendu au tournant. Noyé sous les pixels et les violons, le rendez-vous a des allures de grand raté à gros budget. Deux courses-poursuites et demi empêchent la catastrophe d’être totale.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
L’abus d’informatique ne génère là qu’une suite de tableaux glacés et rarement film de zombies fut aussi peu « incarné ».
Première
par François Léger
Yeon Sang-ho s’est certainement laissé emporter par ses ambitions et a visé trop haut, trop vite. Croisons les doigts pour qu’il nous revienne avec un cinéma plus modeste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Lola Sciamma
Un jeu vidéo épuisant et sans âme plus qu'un réel plaisir coupable.
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
En faisant prendre un virage bis au troisième opus de sa "trilogie" des morts-vivants, Yeon Sang-ho perd en singularité ce qu’il souhaitait gagner en spectateurs : si Peninsula constitue une synthèse efficace de motifs éprouvés dans la production de genre de ces dernières années, il manque cruellement de chair.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Yannick Vely
Par séquence, le film fait quand même illusion quand il accepte d'être une série Z et qu'il offre des effets gores plutôt rares pour un blockbuster grand public, mais il est vite rattrapé par son scénario médiocre avec une fin tellement peu crédible qu'elle en devient parodique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Si l’effet de surprise a quelque peu disparu avec ce nouvel opus, l’énergie qui se dégage de Peninsula offre toujours son compte de décharges d’adrénaline.
Culturopoing.com
"Peninsula" n'est pas pessimiste comme l'était "Dernier train pour Busan" et plus globalement toute la filmographie de Yeon Sang-ho jusqu'ici (...) mais un film qui nous veut du bien, définitivement. Et dieu sait que par les temps qui courent, c'est tout simplement inestimable.
L'Humanité
Avec "Peninsula" Yeon Sang-ho recycle avec brio l’imagerie musclée et ludique de John Carpenter et de la série Mad Max.
Le Parisien
Peninsula, s'il n'oublie pas de rendre hommage à ses prédécesseurs côté zombies, partage aussi des références plus inattendues, comme aux deux derniers Mad Max, avec une séquence de combats en arène et une course-poursuite démentielle à travers les ruines d'une ville infestée de morts-vivants. En revanche (...) le réalisateur caricature trop ses personnages (...).
Les Inrockuptibles
Si "Peninsula" se connecte à un état du monde, il s’agit moins de la pandémie que de la crise migratoire. Son image traumatique, ce n’est pas le corps monstrueux du mort-vivant [...], ce n’est pas non plus la contagion [...]. Son image traumatique, c’est plutôt la marée humaine – qu’elle soit zombie ou non [...]. Le film n’est certes pas toujours à la hauteur de ces enjeux, mais il fonctionne bel et bien comme un fournisseur pétaradant d’images cauchemardées de l’époque.
Libération
La force de Peninsula est d’être un tout autre film, avec de tout autres personnages, et de quitter rapidement le règne des humains en projetant son héros (Gang Dong-won) quatre ans plus tard, en mission suicide dans cette Corée du Sud ravagée à côté de laquelle son voisin du Nord tout calfeutré fait figure de paradis, c’est dire si les choses ont mal tourné.
Mad Movies
S'il ne révolutionne pas le 7e art à la façon de George Miller, le Coréen prolonge néanmoins la démarche de ce dernier par des idées cinétiques affolantes, qui épousent la dynamique d'un récit une nouvelle fois conclu par une fuite.
Cahiers du Cinéma
Résidus de féerie, résidus d’émotion et résidus d’humanité qui font de Peninsula, bien plus que la redite lisse du triomphe de Dernier train pour Busan, la prolongation de l’oeuvre d’un vrai primitif hanté par le chaos et la sauvagerie tapie en chacun de ses personnages.
Ecran Large
"Peninsula" est un nouveau raz-de-marée cadavérique qui accumule les faiblesses de style et de narration, et souffre grandement de sa filiation avec le très estimé "Dernier Train pour Busan". Yeon Sang-Ho propose une série B d'action post-apocalyptique convenue et divertissante, mais encore trop premier degré pour que le public adhère à ce spectacle bourrin, qui avait tout pour être jouissif.
Filmsactu
Brouillon et globalement fagoté, Peninsula reste néanmoins attachant, sous ses airs de blockbuster bâtard qui semble vouloir plaire à tout le monde et en fait un peu trop. Mais bien qu’on passe un bon moment, on est très loin de la fulgurante claque assénée par Dernier Train pour Busan.
L'Ecran Fantastique
Hormis une fin un peu trop grandiloquente et plombée de facilités de scénario, ce "Peninsula" s'impose comme un excellent film de zombies qui en respecte les codes tout en nous offrant de belles trouvailles visuelles, et un soupçon d'originalité dans sa trame narrative.
L'Obs
Un pur film d’action où le cinéaste joue plus la sécurité que l’audace. Reste un jeu vidéo immersif, plaisant pour les yeux, mais qui laisse nos neurones très tranquilles.
Le Figaro
Yeon Sang-ho paye sa dette à ses aînés (New York 1997, Je suis une légende, Mad Max). Comme parfois après un succès, il a plus de moyens et moins d’idées. Il est un peu moins méchant aussi, d’où les violonnades. Mais sa mise en scène, très graphique fait toujours des étincelles dès qu’il y a de l’action.
Le Monde
Mais Peninsula impose sa propre singularité, celle d’une vision sombre et peu consolante mixée avec une forme de génie cinétique mêlant l’infinie plasticité du cartoon au conte de fées pour enfants.
CinemaTeaser
"Peninsula" manque tant de chair, tant d’enjeux… Son héros, ployant sous le poids de la culpabilité, est inerte, errant dans un monde qu’on a déjà vu cent fois, sujet à des ressorts éculés qui standardisent le film.
Critikat.com
En s’éloignant drastiquement du dispositif minimal de Dernier train pour Busan, Yeon Sang-ho a laissé son inspiration au placard.
Elle
Le film a perdu en inspiration ce qu'il a gagné en effets spéciaux. Pour les mordus du genre.
Le Journal du Dimanche
L’enjeu dramatique se dilue dans un déluge d’effets spéciaux et de bons sentiments. Yeon Sang-ho est bien plus virtuose dans un espace clos.
Les Fiches du Cinéma
Suite attendue du très réussi "Dernier train pour Busan", "Peninsula" était attendu au tournant. Noyé sous les pixels et les violons, le rendez-vous a des allures de grand raté à gros budget. Deux courses-poursuites et demi empêchent la catastrophe d’être totale.
Positif
L’abus d’informatique ne génère là qu’une suite de tableaux glacés et rarement film de zombies fut aussi peu « incarné ».
Première
Yeon Sang-ho s’est certainement laissé emporter par ses ambitions et a visé trop haut, trop vite. Croisons les doigts pour qu’il nous revienne avec un cinéma plus modeste.
Voici
Un jeu vidéo épuisant et sans âme plus qu'un réel plaisir coupable.
aVoir-aLire.com
En faisant prendre un virage bis au troisième opus de sa "trilogie" des morts-vivants, Yeon Sang-ho perd en singularité ce qu’il souhaitait gagner en spectateurs : si Peninsula constitue une synthèse efficace de motifs éprouvés dans la production de genre de ces dernières années, il manque cruellement de chair.
Paris Match
Par séquence, le film fait quand même illusion quand il accepte d'être une série Z et qu'il offre des effets gores plutôt rares pour un blockbuster grand public, mais il est vite rattrapé par son scénario médiocre avec une fin tellement peu crédible qu'elle en devient parodique.