L'Homme qui a surpris tout le monde : Critique presse
L'Homme qui a surpris tout le monde
Note moyenne
3,3
11 titres de presse
Culturopoing.com
L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
Télérama
Cahiers du Cinéma
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Les Inrockuptibles
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Eugénie Zvonkine
C’est bien cette ambiguïté qui fait toute la richesse du film : le héros ne défend pas une cause, ne porte pas d’étendard, il se présente comme une incarnation de l’altérité, simplement, et en tant que tel, de la fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une fable cruelle et morale porte avec réalisme les violences de l’homophobie dans la taïga d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le portrait qui est fait alors d’un pays, la Russie de Poutine, où la virilité a quasiment valeur iconique, apparaît d’une crudité et d’une cruauté d’autant plus fortement ressentie que, dans son rôle de victime assumée, Egor reste totalement muet et passif devant les réactions qu’il déchaîne.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Avec ce conte cruel, variation slave contemporaine autour du vilain petit canard parfaitement mise en scène et incarnée, le duo de réalisateurs part de l’intime pour dire la Russie d’aujourd’hui. Une belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Anne Dessuant
Un conte sensuel et violent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Eugénie Zvonkine
Le film mêle adroitement la chronique sociale et le conte fabuleux un peu effrayant à travers la forêt sibérienne.
L'Obs
par François Forestier
Curieux film, tout en gris et en bistre, qui demande au spectateur de s'abandonner et de se laisser porter.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Le film de Natalya Merkulova et Aleksey Chupov est à la fois une grande histoire d'amour, une critique virulente de l'intolérance et une fable mystique sur le désespoir et le salut.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Merkulova et Chupov, couple à la ville et derrière la caméra, empruntent les détours de la fable sociale et du folklore sibérien pour mieux brouiller les contours du masculin et du féminin, bravant ainsi l’interdiction législative de la « propagande homosexuelle » qui pèse sur le cinéma russe. On regrette que leur style grisâtre ait tendance à contenir plutôt qu’à déchaîner l’audace de cette métamorphose.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Cette transformation, qui devait être une arme de révolte contre la mort […] finit par se retourner contre son personnage […]. Constat amer ou maladresse ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Mélange de folklore local et de commentaire politique sur la situation des marginaux en Russie, ce deuxième film d’un couple de cinéastes évoque en sourdine le cinéma codifié et secrètement explosif d’un Sergei Loznitsa. Il n’en a cependant pas l’ampleur dramatique ni onirique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
C’est bien cette ambiguïté qui fait toute la richesse du film : le héros ne défend pas une cause, ne porte pas d’étendard, il se présente comme une incarnation de l’altérité, simplement, et en tant que tel, de la fragilité.
L'Humanité
Une fable cruelle et morale porte avec réalisme les violences de l’homophobie dans la taïga d’aujourd’hui.
Le Dauphiné Libéré
Le portrait qui est fait alors d’un pays, la Russie de Poutine, où la virilité a quasiment valeur iconique, apparaît d’une crudité et d’une cruauté d’autant plus fortement ressentie que, dans son rôle de victime assumée, Egor reste totalement muet et passif devant les réactions qu’il déchaîne.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce conte cruel, variation slave contemporaine autour du vilain petit canard parfaitement mise en scène et incarnée, le duo de réalisateurs part de l’intime pour dire la Russie d’aujourd’hui. Une belle surprise.
Télérama
Un conte sensuel et violent.
Cahiers du Cinéma
Le film mêle adroitement la chronique sociale et le conte fabuleux un peu effrayant à travers la forêt sibérienne.
L'Obs
Curieux film, tout en gris et en bistre, qui demande au spectateur de s'abandonner et de se laisser porter.
Le Figaro
Le film de Natalya Merkulova et Aleksey Chupov est à la fois une grande histoire d'amour, une critique virulente de l'intolérance et une fable mystique sur le désespoir et le salut.
Le Monde
Merkulova et Chupov, couple à la ville et derrière la caméra, empruntent les détours de la fable sociale et du folklore sibérien pour mieux brouiller les contours du masculin et du féminin, bravant ainsi l’interdiction législative de la « propagande homosexuelle » qui pèse sur le cinéma russe. On regrette que leur style grisâtre ait tendance à contenir plutôt qu’à déchaîner l’audace de cette métamorphose.
Les Inrockuptibles
Cette transformation, qui devait être une arme de révolte contre la mort […] finit par se retourner contre son personnage […]. Constat amer ou maladresse ?
Première
Mélange de folklore local et de commentaire politique sur la situation des marginaux en Russie, ce deuxième film d’un couple de cinéastes évoque en sourdine le cinéma codifié et secrètement explosif d’un Sergei Loznitsa. Il n’en a cependant pas l’ampleur dramatique ni onirique.