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    It Must Be Heaven
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    3,3
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    107 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Le film est réaliser de façon à ce qu’on se mettent dans la peau
    de l’acteur c’est assez intéressant car l’acteur et plus comme un véhicule pour le spectateur .
    Mais là ou c’est vraiment intriguant c’est que je site “ Le réalisateur est le témoin du temps ”
    or l’acteur joue le rôle d’un réalisateur mais l’acteur est le réalisateur du film ( Elia Suleiman) ce qui est encore plus renforcé par le fait que le protagoniste ne parle pas il observe , il constatent.
    Ce film ne cherche pas à susciter des émotion je crois car mis a part quelque blague il n’y a rien . La dessus le film est assez vide .

    Le film a un genre surréaliste par certains moment comme par exemple :
    Quand Elia Suleiman est a cental park il voit un femme avec des ailes d’ange qui fini par disparaitre . Le film n’est pas fantastique il est réaliste donc voir ce genre de scène rentre parfaitement dans la description du surréalisme “ cherche a transcender le réel grâce à l’impulsion psychique de l’imaginaire et de l’irrationnel ” .



    Le réalisateur est Elia Suleiman il a réalisé 4 long métrage : Chronique d’une disparition en 1996.
    Intervention divine 2002.
    Le temps qu’il reste 2009.
    Et enfin It Must Be Heaven en 2019 .
    Mais il a aussi l’habitude d’être acteur dans ces films .
    Il n’est pas très reconnu du fait qu’il a 22 ans de carrières mais qu’il n’a eu que un prix de plus la plus part de c’est film son mal noter par le public .

    Pourtant le film a eu pas mal de nominations :
    Palme d’or ,Prix de la mise en scène du Festival de Canne ,Prix de jury du Festival de Cannes ,Prix d’interprétation masculine du Festival de Cannes ,Grand prix du festival de Cannes ,et Prix du scénario du Festival de Cannes .
    Il n’a reçu qu’un seul prix c’est celui de “ Cannes Special Jury Prize ”

    Pourtant ce film est très bien noté 3,5/5 sur Allociné et 6,5 /10 sur sens critique et de 62 pourcents d’audience score sur rotten tomatoes .

    Mon avis est plus nuancé c’est rare mais je me suis vraiment ennuyé devant ce film ,les seul bonne scène sont dans la bande annonce .
    En plus ce film est vraiment vide le réalisateur pense qu’on peut faire un film sans écrire des dialogues mais il faut au moins une histoire qui se comprend par les scènes (j’ai mis longtemps a comprendre qu’on est passer de Paris a New York comme ça clac) . Le personnages principal ressemble a Jacques Tati mais sinon c’est totalement soporifique
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2020
    It must be Heaven est une brillante vision de notre société moderne. Une aventure pleine de positivité, tout en finesse, qui joue très habilement avec les clichés des différents pays. Une ode à la liberté, calme et sereine. Des petits instants de vie captés à la volée.

    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-cine/critique-it-must-be-heaven-de-elia-suleiman-le-retour-du-burlesque-au-service-de-la-politique.html
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2020
    Il est des films verbaux et il est de ceux qui retournent à une forme de cinéma primaire, celui où tout est véhiculé par l'image avec tellement peu de dialogues que l’on se rapproche du film muet. Elia Suleiman ne dit en tout et pour tout que deux phrases, le reste se joue sur son visage et sur les incroyables scénettes de notre vie quotidienne en forme de tableaux très travaillés. La mise en scène au cordeau et la beauté des cadres éclairés par Sofian El Fani sont vraiment incroyables, on se demande comment il a bien pu faire pour rendre avec autant de réalisme le passage de chars dans un Paris totalement vide.
    Dénoncer l’état du monde en utilisant les mécanismes de l’absurde n’est pas chose aisée. En effet, on peut aisément perdre le spectateur en comptant sur sa finesse pour faire les bons parallèles.
    Ces contes burlesques contiennent des ingrédients d’un Jacques Tati et d’un Charlie Chaplin avec des gags et situations complètements actuels.
    « It Must Be Heaven » est loin d’être un paradis sur terre. En partant de situations ordinaires, Elia nous montre les revers d’un monde de « checkpoints » pour tenter de lutter contre les tensions géopolitiques mondiales. D’une scène banale de contrôle par la police, la tension et la violence sous-jacentes surgissent n’importe où, que ça soit dans un aéroport, un centre commercial, au coin d’une rue…
    En dire autant avec humour, en faisant rire aux éclats, avec aussi pas mal de bienveillance, cela relève de l’exploit. Une satire folle du monde actuel emprunte d’une poésie impertinente qui ne manque pas de rendre touchant des instants banals. Une belle leçon de dénonciation du sort des Palestiniens, dénuée de colère, ce qui le rend plus audible, forte et efficace.
    tonton29
    tonton29

    25 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2020
    Cet essai cinématographique (j'ai du mal à utiliser le mot "film") est une sorte de road movie contemplatif étrange et désabusé du Monde. Des villes fantasmées (telles qu'on les imagine par rapport à ce qu'on en lit ou entendu parlé) : Paris, capitale de la mode, de l'amour, de la liberté, de la femme. New York, cosmopolite, avant-gardiste, sur protégé. Nazareth, ville partagée et ville natale. C'est ultra chorégraphié et presque perturbant. Peu d'interaction, beaucoup d'observations de l'absurde. Ça paraît long par moment mais parfois un charme poétique s'installe. Des éclairs burlesques. On pense à Tati mais en moins bien. Et finalement un retour au Pays, une ellipse, la fête, on est bien chez soi et on est un parfait étranger partout ailleurs... Tout ça pour ça... Comme le signale un producteur indépendant, "on ne fait pas de films pour gagner de l'argent mais pour parler et soutenir la cause..." Oui, mais faut aussi porter un message et le Monde est de plus en plus illettré et rejette ce (ceux) qu'il ne comprend pas... Pas sûr que le message passe au delà de ceux qui ont déjà capté le message avant !?!
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2020
    Dans ce film dédié à la Palestine, le réalisateur Elia Suleiman se met en scène entre Nazareth, Paris et New York dans des séquences absurdes qui évoquent Jacques Tati – son personnage quasi muet est une sorte de Monsieur Hulot contemporain – et dont plusieurs séquences font penser au cinéma de Quentin Dupieux. Certains passages sont très poétiques (Paris comme vidée de ses habitants), d’autres sont très drôles quand d’autres sont moins réussis. Dans l’ensemble, si It must be heaven possède un certain charme, il manque d’une ossature qui rendrait l’ensemble plus cohérent : on peine parfois à suivre la logique du cinéaste, même si l’on comprend que son regard mordant sur les angoisses occidentales est une manière d’alerter sur l’état du monde de façon plus large. Attachant mais trop éparpillé pour être pleinement convaincant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2020
    Imparable sens de l'observation de ses contemporains, leurs absurdités, autant de signes de leur humanité ? Si vous aimez Tati, Woody Allen, Kaurismaki, vous serez enchanté(e) !
    Laurent C.
    Laurent C.

    260 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2020
    Une bande-annonce sait donner envie d'un film dont on pressent l'humour cinglant et malicieux dès les premières images. C'est à peu près le sentiment général qui ressort de ce nouveau long-métrage du très palestinien Elia Suleiman, donnant à voir une critique acerbe et drôle des Etats-Unis, de la France et de son propre pays. "It must be Heaven" est construit comme une œuvre autobiographique. On part en voyage avec le réalisateur lui-même, à travers une série de scénettes, souvent drôles, burlesques, et authentiquement ironiques. Mais derrière ce regard comique, on ressent le désenchantement dans un monde où la question palestinienne, les parcours migratoires continuent de générer beaucoup d'interrogations.

    Pourtant, il y a quelque chose qui ne fonctionne pas vraiment dans le film. Le silence du réalisateur face aux autres comédiens traduit bien la posture d'un cinéaste qui regarde la société qu'il filme. On a du mal à percevoir le message implicite de Suleiman qui tente de raconter la difficulté pour un cinéma indépendant d'exister. Le film souffre peut-être d'une écriture parfois hasardeuse où l'on ne parvient pas à trouver le fil conducteur principal de son récit. L'expérience est drôle, certes, mais elle s'efface très vite de la mémoire, comme un nuage qui se dissiperait faute de consistance.
    PL06
    PL06

    10 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2020
    Tel Jacques Tati, Elia Suleiman regarde des scènes ordinaires de notre vie. Des saynètes dont le scénario humoristique met en avant l’absurdité de certains codes sociaux. Cela vaut que l’on soit en Palestine, à Paris ou à New York. Et la Palestine avec ses violences au quotidien n’a finalement pas grand-chose à envier à nos sociétés occidentales… pour qui regarde avec le cœur, ce qu’Elia Suleiman cherche à faire.
    C’est donc un film à l’honneur de la Palestine, et un film engagé : par de multiples messages sur l’absurdité de la religion, sur la place des femmes, sur l’égoïsme, sur la détention d’armes, sur les violences policières etc... Une sorte de poème humoristique sur la vie comme elle va. A nous d’entendre ce qu’il veut nous dire.
    Sur le plan cinématographique, c’est original et intéressant : une série de courts-métrages prennent sens dans le long métrage qu’ils forment tous ensemble. Le film est presque muet. Les scènes urbaines sont souvent étonnantes, avec des rues et espaces quasiment vides (notamment à Paris). C’est une sorte « d’essai » cinématographique, et c’est original même si une bonne partie des ingrédients ont déjà été vus dans le passé (ex. Le fantôme de la liberté de Louis Bunel).
    Mais le scénario d’ensemble est réduit à sa plus simple expression (un voyage du réalisateur, suivi du retour à la maison). On est déboussolé pendant un bon moment, se demandant où le réalisateur veut en venir. Cette difficulté à percevoir le lien entre les scènes est lassante et génère de l’ennui. Nous restons extérieurs à ce qui se passe, extérieurs aux personnages : il y a de l’humour, mais pas d’émotion. Au final ce n’est donc pas vraiment convainquant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 avril 2020
    Un film étrange, habité par le réalisateur qui joue son propre personnage. Un personnage solitaire, hanté par un mal étrange, étranger aux autres, à lui-même et à sa terre natale, la Palestine. Un deuil le précipite dans un périple où se mêlent fantasmes et rêveries, mais aussi solitude, peurs, rejet...Qui est-il? Un apatride? Sous des airs burlesques, ce film est une réflexion grave et désespérée sur l'errance de ceux qui n'ont pas de terre, pas d'ancrage à la terre... La Palestine est un rêve, un amour interdit, une identité espérée, toujours remise à demain...Un très beau film, poétique, pour ceux qui sauront entendre son message, au-delà des scènes comiques ou absurdes. Merci Elia Suleiman.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Film rempli de clichés ! Jamais vu un Paris aussi propre ! Et pourtant cela fait plus de 30 que j'y suis tous les jours ! Malgré des passages filmés avec plein de poésie, j'ai trouvé ce film ennuyant.
    didbail
    didbail

    31 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Elia Suleiman revient avec son personnage d'une autre époque, observateur muet du monde. Ici il promène son regard d'observateur candide entre la Palestine, la France et les Etats-Unis. Une fois encore son sens de l'espace et des déplacements des personnages dans le cadre fait merveille. Le réalisateur palestinien maîtrise à merveille sa mise en scène poétique et toujours signifiante.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    0,5 car on ne peut malheureusement pas mettre un 0... Film nul, tout simplement un gaspillage de temps, d'argent et d'énergie aussi bien pour le spectateur que le réalisateur. Allez voir plutôt "Pour Sama", film-documentaire EXTRAORDINAIRE, cela vous réconciliera avec le cinema, et avec ceux qui ont vraiment du talent!
    ccbaxter
    ccbaxter

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2020
    Un très beau film, original, d'une grande poésie avec un humour absurde et décalé très réjouissant. Il y a du Jacques Tati dans Suleiman, qui apporte un regard à la fois hors du temps et très moderne sur notre société.
    Paul F.
    Paul F.

    12 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Film poétique certes, et on aurait aimé avoir aimé ce film. Hélas, on s’ennuie et on s’ennuie ferme du début à la fin. Quelques scènes amusantes et surréalistes ne suffisent pas à donner de l’intérêt à ce film. Il s’agit d’une suite de sketch qui, mit bout à bout, nous montre gentiment l’absurdité de notre société, mais ça on le sait déjà.

    Le réalisateur joue lui-même l’observateur de cette société, il ne parle pas de tout le film, et je pense que c’est cela qui gêne. 2 étoiles pour mes frais de déplacement.
    BenjR
    BenjR

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    Désolé ça ne fonctionne pas. Longueurs, on se demande où il nous emmène et les scènes qui semblent hilarantes dans la BA sont en fait rarement amusantes.
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