Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Il fallait peut-être ce regard étranger pour brosser un si minutieux et si synthétique portrait.
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Une douceur bienveillante dans ce portait divinement satirique de la folie du monde actuel. Véritable délectation, cette fable burlesque rafraîchissante transforme la célèbre maxime « on finira par en rire » par « on en éclate de rire », et le rire durant la projection revient quand les situations du film réapparaissent dans notre quotidien. Elia Suleiman est un génie !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Le résultat est une merveille d'humour absurde.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Qu’on se rassure, donc : en dix ans, le cinéaste n’a rien perdu de son habileté à épingler, tel un entomologiste ses papillons, des situations absurdes dans la matière du quotidien, puis à les faire miroiter en tous sens pour atteindre un paroxysme métaphorique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une petite merveille de poésie impertinente.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une sorte de poésie du silence, très pince-sans-rire et assez enthousiasmante où la dénonciation du sort des Palestiniens, dénuée de colère, est peut-être encore plus forte et efficace.
Positif
par Stéphane Goudet
"It Must Be Heaven" nous donne à la fois [des] nouvelles [de Suleiman], et des nouvelles du monde, tel qu'il le voit, et rappelle à quel point son regard poétique, burlesque et politique nous est précieux.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Mais aussi désespéré soit ce tableau, le cinéaste palestinien en brosse le tableau avec une telle verve comique, une telle spiritualité et un tel désir de consolation que - paradoxalement - il nous offre la possibilité de nous ressaisir de nos vies.
Télérama
par Jacques Morice
Un conte où la mécanique poétique du cinéaste palestinien fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
On aime It Must Be Heaven en le regardant, puis, comme l’espère Elia Suleiman, en repensant souvent à cette œuvre originale partagée entre amour des humains et inquiétude au sujet d’un monde dans lequel le réalisateur tente de trouver sa place.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un conte burlesque explorant l’identité, la nationalité et l’appartenance, dans lequel Elia Suleiman pose une question fondamentale : où peut-on se sentir « chez soi » ?
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Drôle et poétique.
L'Humanité
par Magali Juaffret
Une brillante méditation sur l’inquiétante aggravation de l’état du monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Lilian Fanara
"It Must Be Heaven" est le film d’un voyageur qui nous interroge sur la puissance d’action du regard.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le cinéaste Elia Suleiman, palestinien de nationalité israélienne, promène son spleen teinté de tendresse de New York à Paris en passant par Nazareth.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
[Ce] personnage muet coiffé d’un chapeau aux yeux écarquillés, dans la lignée de Jacques Tati, Charlie Chaplin et Buster Keaton, évolue avec grâce dans ce conte existentiel, entre légèreté et gravité, humour absurde et mélancolie.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dans un conte burlesque et sautillant, le cinéaste continue d’observer silencieusement le monde tel qu’il va.
Le Point
par Victoria Gairin
Au travers de saynètes burlesques à la mise en scène minimaliste, le réalisateur de 59 ans - qui n’est pas sans rap peler Jacques Tati ou Buster Keaton - démontre une nouvelle fois le pouvoir décoiffant du muet pour dénoncer la marche bancale du monde.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Ici, le morceau de sparadrap dont, à l’image du capitaine Haddock, Elia Suleiman ne parvient pas à se défaire, c’est son propre pays, la Palestine. Il en résulte une absurde comédie de l’absurde, d’une magnifique et tendre mélancolie. Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Le transfuge se donnant comme foncièrement comique, on songe à un modèle fameux : Buster Keaton, dont Suleiman n’a pas le physique mais à coup sûr le moral, dubitatif, et surtout le regard qui hésite entre une mélancolie de fond et une allégresse sans fin. “Va voir ailleurs si j’y suis”, c’est le slogan subliminal de ce film. (...) Suleiman regarde ce qu’on ne voit plus : l’extraordinaire de l’ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
[...] quand cela fonctionne, c'est irrésistible, poétique, enchanteur, comme si les esprits de Jacques Tati (pour la mise en scène chorégraphiée) et Charlie Chaplin (pour le côté clown triste) s'étaient incarnés en un seul et même artiste.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Comment ne pas être séduit par sa façon de saisir l’absurdité du monde à travers des vignettes elliptiques, des cadres millimétrés, et ce sens de la symétrie qui ordonne le chaos ?
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Fanny Vaury
Elia Suleiman offre un film dont l’aspect joueur et élégant ne saurait dissimuler une charge forte contre les dérives de notre monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
aVoir-aLire.com
par Fanny Vaury
Elia Suleiman offre un film dont l’aspect joueur et élégant ne saurait dissimuler une charge forte contre les dérives de notre monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Les plaisanteries toujours un peu évidentes, voire lourdes, finissent par faire naître une question qui ne retire rien à l’agréable simplicité du film : a-t-on vraiment besoin d’Elia Suleiman pour savoir que, partout dans le monde, le climat est lourd et la création difficile ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
C’est donc le burlesque qui guide son art, maîtrisé avec précision, minuté comme une horloge, au service d’un pamphlet amusant, mais un peu suranné.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
D’éclairs de grâce (« Tout le monde boit pour oublier. Vous, les Palestiniens, vous buvez pour vous souvenir ») en mise en abyme scolaire (embarrassante scène où Vincent Maraval, l’un des financiers du film, rembarre le cinéaste avec son projet), la fable politique n’est pas à l’abri d’un empilement de clichés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le nouveau film d’Elia Suleiman explore, avec son humour froid de scènes figées et décalées, le thème de l’éternel exil.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Sophie Benamon
De ville en ville, Suleiman offre une revue de détail du surréalisme au quotidien d’une poésie folle, sublimée par une mise en scène au cordeau et la beauté des cadres éclairés par Sofian El Fani (La Vie d’Adèle, Timbuktu…). Welcome back, M. Suleiman !
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le pouvoir, la répression du désordre, agissent partout avec la même mécanique rodée et huilée. Ce qu'on savait déjà. Bref, quelques éclats de poésie et d'humour n'y font rien. On s'ennuie pas mal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
Il fallait peut-être ce regard étranger pour brosser un si minutieux et si synthétique portrait.
Culturopoing.com
Une douceur bienveillante dans ce portait divinement satirique de la folie du monde actuel. Véritable délectation, cette fable burlesque rafraîchissante transforme la célèbre maxime « on finira par en rire » par « on en éclate de rire », et le rire durant la projection revient quand les situations du film réapparaissent dans notre quotidien. Elia Suleiman est un génie !
L'Express
Le résultat est une merveille d'humour absurde.
Libération
Qu’on se rassure, donc : en dix ans, le cinéaste n’a rien perdu de son habileté à épingler, tel un entomologiste ses papillons, des situations absurdes dans la matière du quotidien, puis à les faire miroiter en tous sens pour atteindre un paroxysme métaphorique.
Marianne
Une petite merveille de poésie impertinente.
Ouest France
Une sorte de poésie du silence, très pince-sans-rire et assez enthousiasmante où la dénonciation du sort des Palestiniens, dénuée de colère, est peut-être encore plus forte et efficace.
Positif
"It Must Be Heaven" nous donne à la fois [des] nouvelles [de Suleiman], et des nouvelles du monde, tel qu'il le voit, et rappelle à quel point son regard poétique, burlesque et politique nous est précieux.
Transfuge
Mais aussi désespéré soit ce tableau, le cinéaste palestinien en brosse le tableau avec une telle verve comique, une telle spiritualité et un tel désir de consolation que - paradoxalement - il nous offre la possibilité de nous ressaisir de nos vies.
Télérama
Un conte où la mécanique poétique du cinéaste palestinien fait merveille.
20 Minutes
On aime It Must Be Heaven en le regardant, puis, comme l’espère Elia Suleiman, en repensant souvent à cette œuvre originale partagée entre amour des humains et inquiétude au sujet d’un monde dans lequel le réalisateur tente de trouver sa place.
Bande à part
Un conte burlesque explorant l’identité, la nationalité et l’appartenance, dans lequel Elia Suleiman pose une question fondamentale : où peut-on se sentir « chez soi » ?
CNews
Drôle et poétique.
L'Humanité
Une brillante méditation sur l’inquiétante aggravation de l’état du monde.
La Septième Obsession
"It Must Be Heaven" est le film d’un voyageur qui nous interroge sur la puissance d’action du regard.
Le Figaro
Le cinéaste Elia Suleiman, palestinien de nationalité israélienne, promène son spleen teinté de tendresse de New York à Paris en passant par Nazareth.
Le Journal du Dimanche
[Ce] personnage muet coiffé d’un chapeau aux yeux écarquillés, dans la lignée de Jacques Tati, Charlie Chaplin et Buster Keaton, évolue avec grâce dans ce conte existentiel, entre légèreté et gravité, humour absurde et mélancolie.
Le Monde
Dans un conte burlesque et sautillant, le cinéaste continue d’observer silencieusement le monde tel qu’il va.
Le Point
Au travers de saynètes burlesques à la mise en scène minimaliste, le réalisateur de 59 ans - qui n’est pas sans rap peler Jacques Tati ou Buster Keaton - démontre une nouvelle fois le pouvoir décoiffant du muet pour dénoncer la marche bancale du monde.
Les Fiches du Cinéma
Ici, le morceau de sparadrap dont, à l’image du capitaine Haddock, Elia Suleiman ne parvient pas à se défaire, c’est son propre pays, la Palestine. Il en résulte une absurde comédie de l’absurde, d’une magnifique et tendre mélancolie. Indispensable.
Les Inrockuptibles
Le transfuge se donnant comme foncièrement comique, on songe à un modèle fameux : Buster Keaton, dont Suleiman n’a pas le physique mais à coup sûr le moral, dubitatif, et surtout le regard qui hésite entre une mélancolie de fond et une allégresse sans fin. “Va voir ailleurs si j’y suis”, c’est le slogan subliminal de ce film. (...) Suleiman regarde ce qu’on ne voit plus : l’extraordinaire de l’ordinaire.
Paris Match
[...] quand cela fonctionne, c'est irrésistible, poétique, enchanteur, comme si les esprits de Jacques Tati (pour la mise en scène chorégraphiée) et Charlie Chaplin (pour le côté clown triste) s'étaient incarnés en un seul et même artiste.
Sud Ouest
Comment ne pas être séduit par sa façon de saisir l’absurdité du monde à travers des vignettes elliptiques, des cadres millimétrés, et ce sens de la symétrie qui ordonne le chaos ?
aVoir-aLire.com
Elia Suleiman offre un film dont l’aspect joueur et élégant ne saurait dissimuler une charge forte contre les dérives de notre monde.
aVoir-aLire.com
Elia Suleiman offre un film dont l’aspect joueur et élégant ne saurait dissimuler une charge forte contre les dérives de notre monde.
Critikat.com
Les plaisanteries toujours un peu évidentes, voire lourdes, finissent par faire naître une question qui ne retire rien à l’agréable simplicité du film : a-t-on vraiment besoin d’Elia Suleiman pour savoir que, partout dans le monde, le climat est lourd et la création difficile ?
Franceinfo Culture
C’est donc le burlesque qui guide son art, maîtrisé avec précision, minuté comme une horloge, au service d’un pamphlet amusant, mais un peu suranné.
L'Obs
D’éclairs de grâce (« Tout le monde boit pour oublier. Vous, les Palestiniens, vous buvez pour vous souvenir ») en mise en abyme scolaire (embarrassante scène où Vincent Maraval, l’un des financiers du film, rembarre le cinéaste avec son projet), la fable politique n’est pas à l’abri d’un empilement de clichés.
La Croix
Le nouveau film d’Elia Suleiman explore, avec son humour froid de scènes figées et décalées, le thème de l’éternel exil.
Première
De ville en ville, Suleiman offre une revue de détail du surréalisme au quotidien d’une poésie folle, sublimée par une mise en scène au cordeau et la beauté des cadres éclairés par Sofian El Fani (La Vie d’Adèle, Timbuktu…). Welcome back, M. Suleiman !
Le Parisien
Le pouvoir, la répression du désordre, agissent partout avec la même mécanique rodée et huilée. Ce qu'on savait déjà. Bref, quelques éclats de poésie et d'humour n'y font rien. On s'ennuie pas mal.