Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ecran Large
par Chris Huby
En conclusion, un film qui rappelle que le cinéma n'est pas qu'un espace de détente. Il s'agit aussi d'une vocation à la fois profonde et philosophique. Au fond, ce genre de film veut toucher la réflexion et vise au changement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Antoine Le Fur
Une "Permission" éminemment féministe et très politique.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Soheil Beiraghi détoure de situations particulières une femme de caractère par une mise en scène de facture simple qui suit le chemin de ronces dans lequel elle se précipite.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Un premier film marquant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par M.T.
Capitaine de l’équipe féminine de futsal iranienne sélectionnée en finale de la Coupe des nations, Afrooz apprend que son mari lui interdit de sortir du pays. Son combat illustre la condition féminine en Iran dont le film, percutant, rend compte avec justesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Sophie Benamon
Loin de la démonstration politique, une tragi-comédie de l'intime qui met à jour les contradictions d'un pays à travers l'absurdité des situations.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film maîtrisé.
Télérama
par Guillemette Odicino
Inspiré de faits réels, voilà un premier long métrage iranien exemplaire dans sa manière de dénoncer une loi arriérée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Les limites des droits des femmes s’exposent dans un film poignant, magnifiquement réalisé, qui rappelle qu’il y a encore beaucoup à faire pour l’égalité homme-femme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un sujet fort, inspiré d'une histoire vraie, symbole du sort subi par les femmes et du patriarcat omnipotent en Iran. Le scénario dénonce sans ambages mais avec nuances cette iniquité. La mise en scène aurait pourtant gagné à être moins illustrative.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
En 2017, huit athlètes iraniennes n’ont pu quitter le territoire en vue d’assister à un championnat, faute d’avoir obtenu l’accord de leur mari – prévu par la loi. La Permission explore cette réalité avec un scénario chargé mais jamais prévisible.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film est d’autant plus fort que l’époux de l’héroïne est un présentateur de télé connu, loin de l’archétype du taliban. Un témoignage saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Alain Masson
En opposant des scènes riches de mouvement et de longs dialogues en auto, le réalisateur s'efforce, avec l'aide de la vivacité des actrices, de donner du relief au récit ; il n'y parvient pas tout à fait, ni surtout jusqu'au bout.
Première
par Sophie Benamon
Il y a du Asghar Fahradi dans cette Permission-là. Comme le maître du cinéma iranien, le jeune réalisateur, Soheil Beiraghi, joue sur la subtilité des enchaînements et l’absurdité de certaines situations.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Céline Rouden
Le film tente de traiter sans caricature la condition des femmes iraniennes (...). Mais il pâtit d’une mise en scène maladroite et sans imagination qui n’explore pas suffisamment certaines pistes entrouvertes – comme les rapports de l’héroïne avec sa coéquipière et les motivations réelles du mari.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si la pugnacité du personnage, incarné par une comédienne convaincante, est émouvante, le film manque un brin d’audace et de personnalité. N’est pas Asghar Farhadi qui veut.
Ecran Large
En conclusion, un film qui rappelle que le cinéma n'est pas qu'un espace de détente. Il s'agit aussi d'une vocation à la fois profonde et philosophique. Au fond, ce genre de film veut toucher la réflexion et vise au changement.
L'Express
Une "Permission" éminemment féministe et très politique.
L'Humanité
Soheil Beiraghi détoure de situations particulières une femme de caractère par une mise en scène de facture simple qui suit le chemin de ronces dans lequel elle se précipite.
Le Figaro
Un premier film marquant.
Les Fiches du Cinéma
Capitaine de l’équipe féminine de futsal iranienne sélectionnée en finale de la Coupe des nations, Afrooz apprend que son mari lui interdit de sortir du pays. Son combat illustre la condition féminine en Iran dont le film, percutant, rend compte avec justesse.
Ouest France
Loin de la démonstration politique, une tragi-comédie de l'intime qui met à jour les contradictions d'un pays à travers l'absurdité des situations.
Sud Ouest
Un beau film maîtrisé.
Télérama
Inspiré de faits réels, voilà un premier long métrage iranien exemplaire dans sa manière de dénoncer une loi arriérée.
aVoir-aLire.com
Les limites des droits des femmes s’exposent dans un film poignant, magnifiquement réalisé, qui rappelle qu’il y a encore beaucoup à faire pour l’égalité homme-femme.
L'Obs
Un sujet fort, inspiré d'une histoire vraie, symbole du sort subi par les femmes et du patriarcat omnipotent en Iran. Le scénario dénonce sans ambages mais avec nuances cette iniquité. La mise en scène aurait pourtant gagné à être moins illustrative.
Le Monde
En 2017, huit athlètes iraniennes n’ont pu quitter le territoire en vue d’assister à un championnat, faute d’avoir obtenu l’accord de leur mari – prévu par la loi. La Permission explore cette réalité avec un scénario chargé mais jamais prévisible.
Le Parisien
Le film est d’autant plus fort que l’époux de l’héroïne est un présentateur de télé connu, loin de l’archétype du taliban. Un témoignage saisissant.
Positif
En opposant des scènes riches de mouvement et de longs dialogues en auto, le réalisateur s'efforce, avec l'aide de la vivacité des actrices, de donner du relief au récit ; il n'y parvient pas tout à fait, ni surtout jusqu'au bout.
Première
Il y a du Asghar Fahradi dans cette Permission-là. Comme le maître du cinéma iranien, le jeune réalisateur, Soheil Beiraghi, joue sur la subtilité des enchaînements et l’absurdité de certaines situations.
La Croix
Le film tente de traiter sans caricature la condition des femmes iraniennes (...). Mais il pâtit d’une mise en scène maladroite et sans imagination qui n’explore pas suffisamment certaines pistes entrouvertes – comme les rapports de l’héroïne avec sa coéquipière et les motivations réelles du mari.
Le Journal du Dimanche
Si la pugnacité du personnage, incarné par une comédienne convaincante, est émouvante, le film manque un brin d’audace et de personnalité. N’est pas Asghar Farhadi qui veut.