Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
L’infatigable réalisateur coréen réussit un nouveau grand film existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Modèle d’épure, feutré par la neige environnante, le drame intimiste de Hong Sang-soo est une nouvelle perle dans une filmographie déjà très riche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La neige ne tombe jamais par hasard, du moins au cinéma. Dans le noir et blanc de Hotel by the River, elle constitue l’aplat sur lequel se détachent des figures ambigües, le doux tapis qui amortit les sentiments.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Hotel by the River est sans doute l’un des films les plus mélancoliques du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Avec "Hotel By The River", qui tient de l’estampe épurée à l’extrême et du conte métaphysique, le réalisateur a réussi à nous tirer quelques larmes, à nous faire compatir, avec ceux et celles qui l’ont côtoyé dans le récit, au sort de ce poète [le protagoniste] si humain, fragile et tendre, parfois enfantin, qu’est Ko Young-hwan.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Or, si le film est conforme à son style habituel, on est déçu en bien par cette œuvre mélancolique et hivernale qui élude toute intrigue amoureuse pour tisser deux trames parallèles où affleurent les questions de la mort et de la rupture.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le cinéaste mène de somptueuses études plastiques sur les contrastes ou les matières du noir et blanc.
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Les personnages de Hong Sang-soo ne sont plus que des surfaces sensibles sur lesquelles s'impriment des sensations, des images [...] Le monde est un jardin de beautés ténues, qu'une intrigue trop imposante viendrait affaiblir [...] Comme si toutes les actions et tous les gestes étaient engourdi·es, enseveli·es par la neige qui recouvre tout, nivelle les existences (humaine, animale, végétale).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[Un] beau film nocturne [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
"Hotel by the River" laisse finalement un goût d’onirisme inquiet, notamment dans la beauté du montage des derniers plans, et provoque un effleurement brusque, quasi lynchien.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le film bute sur une dramaturgie relativement inerte et attentiste mais compense avec ses beaux personnages…
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’image noir et blanc, dominée par une neige immaculée, évoque une page blanche où le spectateur projetterait ses propres sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Nous sommes dans un film d’atmosphère, sans ligne dramatique réelle. Pour amateurs de cinéma d’art et d’essai, exclusivement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Avec ce "Hotel by the River" filmé intégralement en caméra portée, le cinéaste cherche à se renouveler, mais le résultat est mitigé. La mauvaise foi des personnages et leurs indécisions restent cependant amusantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Figaro
par Nathalie Simon
On est presque dans un huis clos. Statique. Illustré de tableaux froids comme le temps. Les personnages évoluent sous nos yeux comme derrière une vitre transparente. Calmement, au rythme des flocons de neige. Tenus par des dialogues succincts. Impossible de s’y attacher.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré les tergiversations infinies des personnages qui conversent autour d’une table, il y a toujours de belles fulgurances chez cet observateur de la nature humaine, qui rend l’inaction presque hypnotique.
Première
par Thomas Baurez
Le dispositif faussement simpliste dit plus de chose qu’il n’y paraît. Mais dans le cas présent, c’est un tantinet redondant et affecté. En attendant le suivant, on y va quand même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
L’infatigable réalisateur coréen réussit un nouveau grand film existentiel.
aVoir-aLire.com
Modèle d’épure, feutré par la neige environnante, le drame intimiste de Hong Sang-soo est une nouvelle perle dans une filmographie déjà très riche.
Cahiers du Cinéma
La neige ne tombe jamais par hasard, du moins au cinéma. Dans le noir et blanc de Hotel by the River, elle constitue l’aplat sur lequel se détachent des figures ambigües, le doux tapis qui amortit les sentiments.
Critikat.com
Hotel by the River est sans doute l’un des films les plus mélancoliques du cinéaste.
Culturopoing.com
Avec "Hotel By The River", qui tient de l’estampe épurée à l’extrême et du conte métaphysique, le réalisateur a réussi à nous tirer quelques larmes, à nous faire compatir, avec ceux et celles qui l’ont côtoyé dans le récit, au sort de ce poète [le protagoniste] si humain, fragile et tendre, parfois enfantin, qu’est Ko Young-hwan.
L'Humanité
Or, si le film est conforme à son style habituel, on est déçu en bien par cette œuvre mélancolique et hivernale qui élude toute intrigue amoureuse pour tisser deux trames parallèles où affleurent les questions de la mort et de la rupture.
Le Monde
Le cinéaste mène de somptueuses études plastiques sur les contrastes ou les matières du noir et blanc.
Les Inrockuptibles
Les personnages de Hong Sang-soo ne sont plus que des surfaces sensibles sur lesquelles s'impriment des sensations, des images [...] Le monde est un jardin de beautés ténues, qu'une intrigue trop imposante viendrait affaiblir [...] Comme si toutes les actions et tous les gestes étaient engourdi·es, enseveli·es par la neige qui recouvre tout, nivelle les existences (humaine, animale, végétale).
Libération
[Un] beau film nocturne [...].
Positif
"Hotel by the River" laisse finalement un goût d’onirisme inquiet, notamment dans la beauté du montage des derniers plans, et provoque un effleurement brusque, quasi lynchien.
CinemaTeaser
Le film bute sur une dramaturgie relativement inerte et attentiste mais compense avec ses beaux personnages…
Franceinfo Culture
L’image noir et blanc, dominée par une neige immaculée, évoque une page blanche où le spectateur projetterait ses propres sentiments.
L'Obs
Nous sommes dans un film d’atmosphère, sans ligne dramatique réelle. Pour amateurs de cinéma d’art et d’essai, exclusivement.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce "Hotel by the River" filmé intégralement en caméra portée, le cinéaste cherche à se renouveler, mais le résultat est mitigé. La mauvaise foi des personnages et leurs indécisions restent cependant amusantes.
Le Figaro
On est presque dans un huis clos. Statique. Illustré de tableaux froids comme le temps. Les personnages évoluent sous nos yeux comme derrière une vitre transparente. Calmement, au rythme des flocons de neige. Tenus par des dialogues succincts. Impossible de s’y attacher.
Le Journal du Dimanche
Malgré les tergiversations infinies des personnages qui conversent autour d’une table, il y a toujours de belles fulgurances chez cet observateur de la nature humaine, qui rend l’inaction presque hypnotique.
Première
Le dispositif faussement simpliste dit plus de chose qu’il n’y paraît. Mais dans le cas présent, c’est un tantinet redondant et affecté. En attendant le suivant, on y va quand même.