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    Terre maudite
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    1,9
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    16 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 579 abonnés 1 505 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2019
    Comment ne pas penser à "The Witch" en découvrant "The Wind" ? Au-delà de leurs titres aux sonorités voisines, le premier film d'Emma Tammi a énormément de choses en commun avec celui de Robert Eggers : une ambiance similaire dont l'austérité tente de vous étouffer avec l'isolement de ses personnages, la mise en avant de la condition féminine peu abordée d'un cadre historique (ici, les femmes de pionniers laissées à leur solitude dans les plaines de l'Ouest du XIXème siècle), un sens de la cinématographie indéniable (Emma Tammi n'atteint peut-être pas les sommets du film d'Eggers mais "The Wind" peut se targuer d'une approche esthétique on ne peut plus prometteuse), l'intrusion du surnaturel dans le quotidien pour en exalter les maux latents, une interprétation irréprochable (à commencer par Caitlin Gerard dans le rôle principal) et même... une chèvre louche.
    Oui, les deux films partagent décidément de nombreux points de convergence dont également le risque de se mettre une partie du public à dos par sa volonté de privilégier la lente construction d'une atmosphère anxiogène en symbiose avec son discours du fond (autant dire que ceux qui s'attendent à un rythme effréné et des jumpscares à gogo vont cordialement détester !).

    Néanmoins, là où l'élément surnaturel permettait l'émancipation de l'héroïne de "The Witch" d'une autarcie imposée, la chose qui va venir tourmenter celle de "The Wind" va au contraire profiter de son isolement pour amplifier l'emprise des démons intérieurs qui la rongent.
    Alors que les vastes paysages des plaines de l'Ouest sauvage américain devraient être un parfait symbole de liberté, il n'en est rien pour Lizzie, une femme condamnée inconsciemment comme tant d'autres de l'époque à se cantonner au simple rôle d'épouse/mère dans un décor sans aucune âme qui vive à des kilomètres à la ronde. Prise au piège d'un quotidien se répétant à l'infini et où l'attente du retour de son mari parti galoper vers des lieux plus animés en devient souvent le phare principal, Elizabeth se met à subir les attaques d'une étrange présence qui semble attacher à ce territoire. Quelques temps après, elle et son mari remarquent qu'un autre couple s'est installé non loin de chez eux et décident de les inviter à dîner pour faire connaissance...

    On reviendra sur le fond de "The Wind" dans la dernière partie SPOILERS de cette critique car il est assez difficile d'en dire plus sans en trahir la teneur à cause de la construction chronologique alambiquée du film. Pour l'instant, arrêtons-nous d'ailleurs seulement sur cette dernière qui sert tout autant qu'elle dessert le déroulement du long-métrage. Échos plutôt malins à la perte de repères grandissante de son héroïne, les différentes strates temporelles sur lesquelles se déroule le film va permettre à son récit d'étendre le fil de ses événements au regard d'autres pour toujours apporter une nouvelle pierre à l'édifice malgré son apparente lenteur. Cependant, le procédé va se révéler à double tranchant car, à force de vouloir expliciter trop vite les départs d'incendie à l'origine de sa progression dramatique, le film en dévoile de fait tous les contours et les allers-retours temporels qui devaient le servir se retournent ainsi contre lui en créant un manque flagrant de surprises sur les causes de l'évolution de l'héroïne. Alors, entendons-nous bien, ça n'empêche aucunement "The Wind" d'aller jusqu'au bout des intentions de son propos pertinent et d'en développer savamment tous les tenants et aboutissants possibles mais, pour peu que l'on soit familier de ce genre de récit et vu les maux facilement devinables qui peuvent habiter une femme de cette époque, "The Wind" ne parvient jamais à se défaire d'un côté prévisible qui nuit à l'élever à un statut qu'il aurait sans doute mérité au vu de toutes ses autres qualités.
    En effet, sur tout le reste, ce détournement du décor du western par le biais de l'épouvante psychologique pour mettre en lumière la condition de ses personnages féminins d'habitude trop souvent laissées sur le bas-côté se révèle diablement convaincant. Tous les points de comparaison que l'on a soulignés plus haut avec "The Witch" fonctionnent du tonnerre et permettent à "The Wind" d'offrir de vraies montées de flippe judicieusement dosées dans une ambiance oppressante qui ne faiblit jamais en résonance de la captivité à ciel ouvert de l'héroïne. Prenant et souvent sublimé par sa mise en scène (beaucoup de plans forcent l'admiration, celui où Lizzie est "suivie" par sa voisine est un bijou parmi d'autres), "The Wind" avait donc de nombreuses atouts dans sa manche pour rejoindre les hits d'un cinéma d'épouvante plus exigeant en pleine renaissance depuis quelques années, dommage que sa chronologie scénaristique pas aussi maligne que pensée l'empêche d'entrer dans l'élite de sa catégorie...

    spoiler: Alors, y avait-il oui ou non un démon dans ces prairies pour tourmenter les femmes qui y vivent ? Au premier regard, le film paraît répondre par la négative. "Le mal des prairies" induit par l'isolement des pionniers dans ces étendues inhabitées est un cas pathologique reconnu et, comme toute solitude poussée à l'extrême, conduit celui qui en est atteint à la dépression et à des troubles délirants voire violents. Ici, le statut occupée par Lizzie en fait une candidate parfaite. D'abord par sa seule situation de femme de pionnier souvent esseulée et donc menant une existence si répétitive et sans surprise qu'elle peut engendrer un désordre mental, surtout lorsqu'un vieux révérend vous confie un prospectus avec un listing de démons juste avant que vous ne vous installiez dans un endroit entouré de tombes... Plus tard, le fait que Lizzie échoue à donner la vie la met devant constat un échec indissociable de son statut : devenir mère. Il ne lui reste alors plus que celui d'épouse mais quand un couple emménage non loin de là et que, quelques temps après, il devient clair que son mari Isaac a fauté avec la voisine en la mettant enceinte (obsédée également par le prospectus du révérend, celle-ci manifeste le même mal que Lizzie et, en plus, ne s'entend pas avec son mari que le film rend quasiment invisible), Lizzie échoue également à être une épouse de son point de vue. Par conséquent, le double rôle qu'elle devait assurer n'a plus lieu d'être et la confronte à son vide existentiel s'achèvant sur un précipice définitif dans la folie. Toutes les visions démoniaques -qui ne vont cesser de s'amplifier- ne seraient alors que le fruit de son imagination (par exemple, le révérend est bien venu chez elle mais il en est reparti bien vivant comme le lui dira son mari qui l'a croisé sur sa route) et le meurtre final de son époux qu'elle voit comme une incarnation maléfique sera sa sentence inconsciente pour celui qu'elle juge coupable de lui avoir volé le sens de son existence. Même la maison qui représentait l'idée de son futur familial n'est plus qu'une image évanescente dans la tête de Lizzie à la fin, elle est désormais éternellement prisonnière des prairies qui l'auront entièrement consumé dans sa solitude... MAIS est-ce que cela écarte pour autant la présence d'un démon ? Absolument pas ! Regardez bien, le contenu du fameux prospectus que lit Lizzie dans la dernière partie du film et que sa voisine récitait de tête plus tôt, la liste de ces "démons de la prairie" et de leurs caractéristiques rappellent furieusement ce que Lizzie a enduré jusque-là ("démon de la jalousie", "corrupteur de la couche nuptiale", "corrupteur des esprits faibles", etc) et le dernier nom de la liste parle de Vetis, un démon polymorphe, qui correspondrait parfaitement aux manifestations à multiples visages dont elle est témoin. En réalité, la réponse est entre les deux hypothèses. Oui, Lizzie et sa voisine ont bien été victimes de ce "mal de prairie" accentué par leurs conditions respectives mais il semble bien qu'une entité, probablement Vetis, y ait vu là l'occasion de les pousser dans leurs derniers retranchements en les manipulant pour accélérer le processus. Enfin, d'un point de vue personnel, j'ai une petite théorie : je pense qu'Isaac n'a pas même pas trompé Lizzie (il ne l'avoue d'ailleurs jamais directement, quand il lit le journal à la fin, il dit seulement "Elle était enceinte !!" dans sa douleur de découvrir les agissements de sa femme), la voisine est persuadée d'être enceinte d'Isaac mais elle peut très bien avoir été "visitée" par le démon ayant pris l'apparence de ce dernier et son bébé qu'elle croit être de lui est peut-être tout simplement celui de son mari. Ça tendrait à démontrer une main mise totale du démon sur les rapports des deux couples pour les détruire mais ce n'est évidemment qu'une hypothèse de ma part...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 septembre 2019
    Excellent film d'épouvante indépendant !

    L'idée que cela se passe durant la période du western est très originale et on ne tombe pas dans le cliché des monstres et autres bêtes digitalisées ou en plastique.Ici c'est la folie qui prime! On est dans la lignée des "Repulsion" de Polanski ou autre chef d'oeuvre absolu tel "L'heure du loup" du maestro Ingmar Bergman.

    Alors ceux qui s'attendent à un film d'horreur grand public seront déçus et s’arrêteront à critiquer les jolis paysages ou la lenteur de rythme ou de dialogues.

    Pour les autres, les amoureux du cinéma intelligent, ils seront comblés.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    616 abonnés 2 811 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 septembre 2019
    Les personnages voient des choses. Nous pas. Les personnages sentent des choses. Nous pas. Les personnages craignent l’ombre. Nous l’espérons au contraire. The Wind pense qu’il suffit de filmer les grands espaces à grand renfort de violons grinçants pour déclencher le malaise, pour donner à vivre la malédiction qui s’est emparée de la terre et de ses occupants. Pourtant, l’ouverture laissait présager le meilleur : une femme se retrouve seule dans son pavillon et doit affronter une menace dont la présence plane par une série d’apparitions aussi succinctes que brutales. Car nous n’avons jamais eu – ou alors si peu ! – d’épouvante à valeur unitaire, une épouvante venant tourmenter une seule et même personne qui composerait le seul protagoniste à l’écran. Là se tenait un très grand moment de cinéma : nous y aurions suivi les tourments quotidiens d’une solitude mêlés aux sévices exercés par une entité maléfique. Le jour aurait été la lumière aveuglante sur le désert alentour ; la nuit, au contraire, serait devenue un théâtre d’ombres dans lequel s’agiteraient les traumatismes du passé. En lieu et place, un imbroglio de flashbacks imbuvables qui font régner une terrible confusion et n’aident pas à la naissance du climat anxiogène tant attendu. Le rythme est composé d’une série de petites poussées horrifiques avec chute brutale, et encore et encore et encore. Jusqu’à plus soif. Si les sonorités diaboliques que peut avoir le vent sont captées par la réalisatrice avec un certain talent, si la petitesse des êtres au sein d’espaces immenses engendre des plans réussis, The Wind échoue pourtant dans les deux genres qu’il aimerait investir : l’horreur – pas de peur – et le western crépusculaire – pas de souffle. N.B.: La musique du générique de fin s’avère plus effrayante que l’entièreté du métrage. C’est dire...
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    21 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2019
    Remarquablement écrit, tour de force que d'arriver à n'être jamais ennuyeux en dépit de la direction prise et du choix de rythme, une atmosphère prenante, une intrigue mystérieuse jusqu'au bout (même si en effet, c'est au final pour trois fois rien), une belle photo et une réalisation maitrisée: un véritable conte gothique très réussi.
    Maxime VANDAELE
    Maxime VANDAELE

    2 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 août 2022
    Pourquoi lit on partout que ce film pourrait faire penser à The Witch ?
    Où sont les points communs ? Il n'y a absolument aucun. Il faut absolument arrêter d'écrire des critiques ciné si vous ne faites pas la différence.

    C'est d'un ennui total, ça ne fait pas peur, il n'y a aucune idée de réalisation, c'est plat, sans goût, sans saveur. On est sur un énième drame psychologique. A vrai dire ça aurait pu être un téléfilm d'halloween un peu "mature", ça ne m'aurait pas choqué.
    AUDREY P
    AUDREY P

    2 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2019
    Ce film est d'une nullité.....vide....on s'ennuie tout le long...A fuir.La seule chose bien c'est les décors de plaines sinon rien à retenir.
    renan c
    renan c

    1 abonné 40 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2019
    Quand j'ai lu le sinopsis, j'ai tout de suite su le type de film auquel j'allais assister. Je l'ai regardé pour voir si je me trompais et bien non... Ce genre de film a déjà été fait mais évidemment pas à la même époque jouée. Les acteurs sont ni bons ni mauvais. C'est juste que l'histoire se devine avance et n'est sans surprise au final. Tristesse et désespoir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 mai 2020
    J'avoue avoir été terriblement déçue par ce film, il y a des moments où il ne se passe absolument rien, je me suis surprise à regarder l'heure à plusieurs reprises, heureusement que ce n'est pas un film qui dure 3h car même les acteurs ont l'air de s'ennuyer.

    le scénario est brouillon, on alterne entre les flash-back et le temps présent sans précision ! spoiler: On ne sait pas au final si il y a réellement une créature démoniaque qui se promène dans le coin, ce qu'elle veut, à quoi elle ressemble exactement.... Ou si c'est dû à l'imagination de Lizzie


    Au final passez votre chemin, si vous ne voyez pas ce film ce n'est pas bien grave, vous ne raterez pas grand chose.
    Pascal I
    Pascal I

    699 abonnés 4 080 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Drame psychologique dans un environnement isolé, univers western, très huis clos, lent et sans réel intérêt. Sur fond de croyance les drames de succèdent et laisse au clap final le spectateur dans l'expectative de la suite. 2/5 !!!
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    60 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Luttez contre l'ennui de surface, et au premier abord neurasthénique. Ce film hermétique et mystérieux, uniquement rythmé par un savant et tortueux montage, en vaut vraiment la peine. Un joli et lugubre thriller psychologique. Inquiétant et faussement surnaturel. Qui aime lambiner, et brouiller les cartes avec efficacité. Même si au final, c'est pour trois fois rien. Un film volontairement morose et anémique. Dont la morale pourrait être, que pour le bien de votre santé mentale, surtout vivez en ville. Et éviter au maximum la solitude sociale. Un petit film indé' cauchemardesque, vraiment pas mal. Qui joue sur le minimalisme, les ambiances glauque et fantastique, la confusion et le sentiment d'abandon. Pour distiller lentement et tristement, son angoisse malaisante, parsemé de quelques sursauts d'action et de nervosité, halluciné et toujours bien foutu. Et coté mise en scène, image, écriture, et direction d'acteur, dans The Wind, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il y a vraiment un gros gros potentiel de talent. à voir au moins une fois. Peut-être même plus. Par contre, si vous êtes un individu dépressif, avec une tension un peu basse, et en manque de chaleur humaine, abstenez vous au possible. Et rabattez vous plutôt, sur quelque chose de joyeux et moins sinistre, histoire de vous remonter le moral.
    Acidus
    Acidus

    657 abonnés 3 677 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2021
    Western et horreur sont deux genres qui, a priori, se marient bien. D'ailleurs, "The Wind" n'est pas le premier film à jouer la carte de colons isolés sur une terre hantée. On peut également citer "The witch" avec une ambiance similaire. Pourtant malgré son contexte historique particulier, le scénario de "The wind" est tellement réchauffé qu'il sent le brûlé. La réalisatrice Emma Tammi tente bien de caché la vacuité de l'intrigue et de son propos derrière une mise en scène solide et un visuel soigné... mais en vain. Tout du long, le film brasse du vent. Il échoue à instaurer ce climat horrifique attendu, à faire frissonner le spectateur, à jouer sur les aspects psychologiques de ses personnages et cette montée progressive dans la folie. C'est plat, affreusement plat. A cela s'ajoute une structure narrative déconstruite en de nombreux flashbacks dont les transitions sont maladroites et rendent le récit encore plus confus. Finalement, "the wind" ne nous sert qu'une bonne dose d'ennui.
    mistermyster
    mistermyster

    44 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 février 2024
    Un film contemplatif, au bout de 40 minutes de vide, on se dit, tient, on va peut-être entrer dans le vif du sujet, bah oui, on est dans un film qui nous ai vendu comme un film d'horreur, où il devrait subsister une certaine tension. Mais là, il n'y a pas grand chose à se mettre sous les yeux. A la fin, on reste pantois devant si peu de tout. On se demande, si la femme est folle, possédé, a des hallucinations, ou un peu de tout cela.
    J'opterais donc pour la première option et si c'est le cas, je vous engage à regarder The Homesman qui traite des femmes qui tombent dans la folie dans l'ouest américain, tellement les conditions de vie sont durs, là, au moins, on voit du cinéma. Ici, malheureusement, le film est comme les plaines qu'il nous montre, désertique.
    Roub E.
    Roub E.

    797 abonnés 4 885 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2020
    Le début m’a fait penser à The Witch que j’avais beaucoup aimé, las ce terre maudite s’il est plutôt un bon film est bien moins réussi. Ce film d’épouvante nous parle de l’isolement et des troubles qu’il peut engendrer. On peut d’ailleurs se poser la question si le fameux démon qui semble régner sur cette terre est bien réelle ou une déviance mentale du personnage de Lizzi. S’il est plutôt intéressant dans ce qu’il raconte je trouve dommage le choix de montage qui a été fait avec une chronologie croisée qui gâche tout suspens et nuit grandement à la montée en tension du film. C’était pas mal mais j’ai eu l’impression que la réalisatrice passait à côté de quelque chose de très bien.
    Orno13
    Orno13

    8 abonnés 475 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    Le 1 er long métrage d emma rami dont j ai publié une critique de son film suivant qui m avait bien plu rive night at freddy.
    Terre maudite est un film encourageant avec des cadres magnifiques mais avec un scénario empese ou les rebondissements sont assez prévisibles.
    Mais cette réalisatrice a du talent surtout pour les atmosphères qu'elle sait rendre étrange et glauque.
    Une metteuse en scène a surveiller
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2020
    Vraiment pas intéressant, déçue, une grosse perte de temps je déconseille !
    Rien de captivant, et une fin incompréhensible !
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