Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Et c'est bien cela, le miracle accompli par Un jour de plus : la fusion d'une approche presque conceptuelle et le sentiment d'une incroyable et discrète beauté plastique avec une évidence réaliste qu'on ne saurait remettre en question. Comment imaginer une captation plus convaincante de l'insignifiant et redoutable bruissement urbain, de la solitude, d'une quête désespérée de l'amour, que dans ces vigoureux, incroyables et élégants parti pris formels ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Chef d'oeuvre de dépouillement, fiction ténue enchâssée dans un quasi-documentaire, (...) Un jour de plus est un film en pointillé, aussi pur qu'évident.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Babak Payami trouve dans ce principe de décentrage continuel de l'action une poésie de l'attente, un sentiment diffus de plénitude que la simplicité de son dispositif, comme par magie, renforce et magnifie d'un bout à l'autre du film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Matthieu Darras
(...) la mise en scène de Babak Payami allie, dès les premiers instants, enregistrement brut du réel et distanciation stylisée. De cette alchimie naît une force d'évocation incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Isabelle Fajardo
Ça pourrait aussi bien se passer à Toronto, ou ailleurs, que dans Téhéran écrasé sous le poids des convenances sociales, tant on grelotte ici de solitude. Une valse à contretemps d'une belle étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Olivier De Bruyn
L'essentiel de la relation entre les deux amants demeure parcellaire et ambigu. L'imagination du spectateur erre ainsi où bon lui semble. Et ne s'en plaint pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Mathieu Dupont
L'histoire se passe de nos jours à Téhéran où on ne rigole pas avec l'adultère. Mais ce film parle-t-il de ça? Ou bien de la solitude? De l'ennui dans les transports en commun quand on n'a pas pris de quoi lire ? On n'en saura pas plus, le réalisateur ayant décidé de nous laisser avec quelques questions et une seule réponse: "Etre triste ne rend pas le monde meilleur." Bigre!
Le Monde
Et c'est bien cela, le miracle accompli par Un jour de plus : la fusion d'une approche presque conceptuelle et le sentiment d'une incroyable et discrète beauté plastique avec une évidence réaliste qu'on ne saurait remettre en question. Comment imaginer une captation plus convaincante de l'insignifiant et redoutable bruissement urbain, de la solitude, d'une quête désespérée de l'amour, que dans ces vigoureux, incroyables et élégants parti pris formels ?
Les Inrockuptibles
Chef d'oeuvre de dépouillement, fiction ténue enchâssée dans un quasi-documentaire, (...) Un jour de plus est un film en pointillé, aussi pur qu'évident.
Chronic'art.com
Babak Payami trouve dans ce principe de décentrage continuel de l'action une poésie de l'attente, un sentiment diffus de plénitude que la simplicité de son dispositif, comme par magie, renforce et magnifie d'un bout à l'autre du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) la mise en scène de Babak Payami allie, dès les premiers instants, enregistrement brut du réel et distanciation stylisée. De cette alchimie naît une force d'évocation incroyable.
Télérama
Ça pourrait aussi bien se passer à Toronto, ou ailleurs, que dans Téhéran écrasé sous le poids des convenances sociales, tant on grelotte ici de solitude. Une valse à contretemps d'une belle étrangeté.
Première
L'essentiel de la relation entre les deux amants demeure parcellaire et ambigu. L'imagination du spectateur erre ainsi où bon lui semble. Et ne s'en plaint pas.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
L'histoire se passe de nos jours à Téhéran où on ne rigole pas avec l'adultère. Mais ce film parle-t-il de ça? Ou bien de la solitude? De l'ennui dans les transports en commun quand on n'a pas pris de quoi lire ? On n'en saura pas plus, le réalisateur ayant décidé de nous laisser avec quelques questions et une seule réponse: "Etre triste ne rend pas le monde meilleur." Bigre!