Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Caroline Silhol donne à son personnage une grâce perdue, suspendue hors du temps, qui la rend très touchante sans tomber dans le pathos.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Petit bonbon de douceur, cette comédie romantique aux tempes grisonnantes n’est pas sans rappeler les retrouvailles Trintignant-Aimée des "Plus Belles Années d’une vie" de Claude Lelouch (2019).
Franceinfo Culture
par Annie Yanbekian
Martín Rosete signe une comédie romantique agréable, familiale, pleine de doux sentiments, et d'où émergent quelques judicieux rappels.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une jolie comédie douce-amère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Parfois maladroite (les flashs-back sont un peu nunuches), cette comédie romantique du grand âge repose sur ses acteurs : l'élégance de Caroline Silhol et l'oeil qui frise de Bruce Dern.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Sur des thèmes assez similaires, Marco Ferreri avait su faire preuve d’espièglerie, de malice et d’acidité dans sa magnifique « Maison du sourire ». Plus lisse et plus prudent, ce « Remember Me » et sa mécanique lacrymale finissent malgré tout par émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Philippe Ridet
Incarnation du Nouvel Hollywood, acteur chez Hitchcock, Bruce Dern tomba un temps dans l’indifférence. Relancé par Coppola et Tarentino, il remporte le prix d’interprétation à Cannes en 2013 (Nebraska). Martin Rosete l’a convaincu d’interpréter ce personnage que n’animent que de bons sentiments.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie romantique sur la maladie d’Alzheimer qui échoue dans le grotesque, à force de bons sentiments et d’invraisemblances.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le film de Martín Rosete, à la mise en scène mollassonne, accumule les clichés malgré un casting formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Remember me, d’une platitude exemplaire, témoigne de la différence entre un cinéaste d’exception et un faiseur anonyme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Caroline Silhol donne à son personnage une grâce perdue, suspendue hors du temps, qui la rend très touchante sans tomber dans le pathos.
Le Journal du Dimanche
Petit bonbon de douceur, cette comédie romantique aux tempes grisonnantes n’est pas sans rappeler les retrouvailles Trintignant-Aimée des "Plus Belles Années d’une vie" de Claude Lelouch (2019).
Franceinfo Culture
Martín Rosete signe une comédie romantique agréable, familiale, pleine de doux sentiments, et d'où émergent quelques judicieux rappels.
Les Fiches du Cinéma
Une jolie comédie douce-amère.
Télé 7 Jours
Parfois maladroite (les flashs-back sont un peu nunuches), cette comédie romantique du grand âge repose sur ses acteurs : l'élégance de Caroline Silhol et l'oeil qui frise de Bruce Dern.
L'Obs
Sur des thèmes assez similaires, Marco Ferreri avait su faire preuve d’espièglerie, de malice et d’acidité dans sa magnifique « Maison du sourire ». Plus lisse et plus prudent, ce « Remember Me » et sa mécanique lacrymale finissent malgré tout par émouvoir.
Le Monde
Incarnation du Nouvel Hollywood, acteur chez Hitchcock, Bruce Dern tomba un temps dans l’indifférence. Relancé par Coppola et Tarentino, il remporte le prix d’interprétation à Cannes en 2013 (Nebraska). Martin Rosete l’a convaincu d’interpréter ce personnage que n’animent que de bons sentiments.
aVoir-aLire.com
Une comédie romantique sur la maladie d’Alzheimer qui échoue dans le grotesque, à force de bons sentiments et d’invraisemblances.
Le Parisien
Le film de Martín Rosete, à la mise en scène mollassonne, accumule les clichés malgré un casting formidable.
Première
Remember me, d’une platitude exemplaire, témoigne de la différence entre un cinéaste d’exception et un faiseur anonyme.