Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Avec "Ceux qui travaillent", Antoine Russbach ne nous donne pas de grille de lecture, mais de la matière pour essayer de comprendre le monde moderne. Un film d'une grande intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
D'une mise en scène précise et maîtrisée, le réalisateur genevois vise extrêmement juste dans sa manière de dénoncer sans manichéisme la réalité sociale : les effets délétères du libéralisme.
Elle
par Françoise Delbecq
Un constat implacable sur le monde du travail.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film appelé à laisser son empreinte au générique du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Gilles Renault
[...] le toujours irréprochable Olivier Gourmet, véritable mur porteur d’un drame social implacable et glaçant, cependant que jamais rébarbatif en dépit de son âpre thématique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Antoine Russbach
Une plongée dans la nuit qui permet d’approcher la puissance d’un système implacable et d’interro- ger les petits arrangements de l’âme humaine.
CNews
par La rédaction
Un film social poignant avec Olivier Gourmet.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Au-delà du portrait ambigu et émouvant d'un homme qui perd pied, se rendant progressivement compte de sa culpabilité avant de faire volte face, "Ceux qui travaillent" se révèle être un grand film politique, qui part de l'intime pour mieux converger vers un discours nuancé mais d'une terrible lucidité sur l'absurdité de nos modes de vie contemporains.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Magali Jauffret
Ce premier film, qui soulève ces questions sans être intellectuel ou ennuyeux, réussit à être social et psychologique car il tient sa ligne dramatique grâce à un sacré suspense et ses multiples rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C’est puissant, implacable, terrible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Pour son premier long métrage, Antoine Russbach signe un film saisissant de maîtrise sur la dérive d’un cadre, coupable d’un acte qui arrange tout le monde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Le comédien belge incarne magnifiquement Frank, cadre supérieur pris en faute, dans un premier film très maîtrisé. Et qui nous ouvre les yeux sur un monde professionnel cynique et cupide.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Maîtrisé dans la forme, implacable sur le fond, ce premier film soigne tour à tour l’actualité de son sujet et la complexité de son antihéros, admirablement interprété par Olivier Gourmet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le spectacle, pas de tout repos, est passionnant.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un premier film réussi.
Télérama
par Frédéric Strauss
Porté par un Olivier Gourmet minéral, ce premier film renouvelle le cinéma social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Manon Botticelli
Un nouveau regard intéressant sur le monde du travail et sur le déclassement qu'induit la perte d'un emploi.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Nathalie Simon
Avec ce nouveau film, Antoine Russbach dresse un constat glaçant du monde du travail.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Premier volet d'une trilogie à suivre avec intérêt.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Russbach refuse de soulager son spectateur de toute morale militantiste, et le laisse au contraire totalement démuni et sans repères, comme pour mieux lui asséner que la matière filmée pendant près de deux heures n'est pas celle d'un cauchemar (...) mais bien celle d'une réalité qui se déroule tous les jours devant ses yeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
La baisse de régime de la se conde partie entame la belle rigueur de ce premier long-métrage qui n’en conserve pas moins sa profondeur de champ. Mais il lui manque un souffle, une force, une résolution tranchée, un moyen de transcendance.
Voici
par A.V.
Olivier Gourmet est magistral.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Ceux qui travaillent laisse malgré tout un goût amer : loin de dresser le portrait d’un individu isolé dont l’histoire serait une exception dans un monde professionnel obscur, le film permettra à bien trop de spectateurs de se reconnaître. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
La suite du film, chronique de l’apprentissage du désoeuvrement, a été maintes fois filmée, et ramène Ceux qui travaillent dans les rangs de la cohorte du cinéma social.
Première
par Thierry Chèze
e premier long métrage séduit par son amoralité et son refus de diviser le monde entre bourreaux et victimes, fidèle à une réalité des faits bien plus complexe. Dommage que le scénario connaisse un méchant coup de mou au milieu de l’histoire avant de terminer fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Avec "Ceux qui travaillent", Antoine Russbach ne nous donne pas de grille de lecture, mais de la matière pour essayer de comprendre le monde moderne. Un film d'une grande intelligence.
Dernières Nouvelles d'Alsace
D'une mise en scène précise et maîtrisée, le réalisateur genevois vise extrêmement juste dans sa manière de dénoncer sans manichéisme la réalité sociale : les effets délétères du libéralisme.
Elle
Un constat implacable sur le monde du travail.
Le Parisien
Un film appelé à laisser son empreinte au générique du cinéma français.
Libération
[...] le toujours irréprochable Olivier Gourmet, véritable mur porteur d’un drame social implacable et glaçant, cependant que jamais rébarbatif en dépit de son âpre thématique.
Positif
Une plongée dans la nuit qui permet d’approcher la puissance d’un système implacable et d’interro- ger les petits arrangements de l’âme humaine.
CNews
Un film social poignant avec Olivier Gourmet.
Culturopoing.com
Au-delà du portrait ambigu et émouvant d'un homme qui perd pied, se rendant progressivement compte de sa culpabilité avant de faire volte face, "Ceux qui travaillent" se révèle être un grand film politique, qui part de l'intime pour mieux converger vers un discours nuancé mais d'une terrible lucidité sur l'absurdité de nos modes de vie contemporains.
L'Humanité
Ce premier film, qui soulève ces questions sans être intellectuel ou ennuyeux, réussit à être social et psychologique car il tient sa ligne dramatique grâce à un sacré suspense et ses multiples rebondissements.
L'Obs
C’est puissant, implacable, terrible.
La Croix
Pour son premier long métrage, Antoine Russbach signe un film saisissant de maîtrise sur la dérive d’un cadre, coupable d’un acte qui arrange tout le monde.
La Voix du Nord
Le comédien belge incarne magnifiquement Frank, cadre supérieur pris en faute, dans un premier film très maîtrisé. Et qui nous ouvre les yeux sur un monde professionnel cynique et cupide.
Les Fiches du Cinéma
Maîtrisé dans la forme, implacable sur le fond, ce premier film soigne tour à tour l’actualité de son sujet et la complexité de son antihéros, admirablement interprété par Olivier Gourmet.
Marianne
Le spectacle, pas de tout repos, est passionnant.
Ouest France
Un premier film réussi.
Télérama
Porté par un Olivier Gourmet minéral, ce premier film renouvelle le cinéma social.
Franceinfo Culture
Un nouveau regard intéressant sur le monde du travail et sur le déclassement qu'induit la perte d'un emploi.
Le Figaro
Avec ce nouveau film, Antoine Russbach dresse un constat glaçant du monde du travail.
Le Journal du Dimanche
Premier volet d'une trilogie à suivre avec intérêt.
Les Inrockuptibles
Russbach refuse de soulager son spectateur de toute morale militantiste, et le laisse au contraire totalement démuni et sans repères, comme pour mieux lui asséner que la matière filmée pendant près de deux heures n'est pas celle d'un cauchemar (...) mais bien celle d'une réalité qui se déroule tous les jours devant ses yeux.
Sud Ouest
La baisse de régime de la se conde partie entame la belle rigueur de ce premier long-métrage qui n’en conserve pas moins sa profondeur de champ. Mais il lui manque un souffle, une force, une résolution tranchée, un moyen de transcendance.
Voici
Olivier Gourmet est magistral.
aVoir-aLire.com
Ceux qui travaillent laisse malgré tout un goût amer : loin de dresser le portrait d’un individu isolé dont l’histoire serait une exception dans un monde professionnel obscur, le film permettra à bien trop de spectateurs de se reconnaître. Ce qui n’est pas une bonne nouvelle.
Le Monde
La suite du film, chronique de l’apprentissage du désoeuvrement, a été maintes fois filmée, et ramène Ceux qui travaillent dans les rangs de la cohorte du cinéma social.
Première
e premier long métrage séduit par son amoralité et son refus de diviser le monde entre bourreaux et victimes, fidèle à une réalité des faits bien plus complexe. Dommage que le scénario connaisse un méchant coup de mou au milieu de l’histoire avant de terminer fort.