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Pensé comme une sorte de longue et impitoyable descente aux enfers, Exit s'empare des codes du survival avec une âpreté inédite. Le cauchemar qui en résulte n'en est que plus efficace, entrainant malgré lui le spectateur dans les strates les plus noires de la nature humaine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Exit donnera de franches sueurs froides aux plus claustrophobes d’entre vous, qui auront du mal à reprendre leur souffle pendant les intenses 84 minutes que dure ce survival de premier ordre. A côté, les grottes de The Descent, c’est de la pure rigolade...
"Exit" affiche trois tendances, autant de prises de risques : être un film de genre(s), tenir un propos politique frôlant l’allégorie, miser sur le marquant maniérisme visuel du directeur photo Martin Munch. Or, c’est justement la mise en tension de ces traits qui dessine l’efficacité singulière du projet.
Cette parcimonie démontre le talent du jeune metteur en scène, qui profite de chaque cadrage pour faire monter la tension. Le point de départ du scénario est classique, le résultat l’est moins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Elle
Ce huis clos sans effets spéciaux est tellement réussi qu'il fait passer notre confinement pour un épisode des Bisounours.
Closer
Un bon survival, au final haletant.
Ecran Large
Pensé comme une sorte de longue et impitoyable descente aux enfers, Exit s'empare des codes du survival avec une âpreté inédite. Le cauchemar qui en résulte n'en est que plus efficace, entrainant malgré lui le spectateur dans les strates les plus noires de la nature humaine.
Libération
Exit est un vrai petit tour de force poisseux, suant, terreux, sans plus d’illusion que d’issue entrebâillée.
Mad Movies
Exit donnera de franches sueurs froides aux plus claustrophobes d’entre vous, qui auront du mal à reprendre leur souffle pendant les intenses 84 minutes que dure ce survival de premier ordre. A côté, les grottes de The Descent, c’est de la pure rigolade...
Ouest France
Très efficace pour suer dans son fauteuil.
Positif
"Exit" affiche trois tendances, autant de prises de risques : être un film de genre(s), tenir un propos politique frôlant l’allégorie, miser sur le marquant maniérisme visuel du directeur photo Martin Munch. Or, c’est justement la mise en tension de ces traits qui dessine l’efficacité singulière du projet.
aVoir-aLire.com
Haletant et à déconseiller aux claustrophobes.
CinemaTeaser
Le réalisme à la danoise au service d'un cinéma de genre sous influence américaine. Haletant... Jusqu'à ce qu'il s'asphyxie.
L'Obs
Cette parcimonie démontre le talent du jeune metteur en scène, qui profite de chaque cadrage pour faire monter la tension. Le point de départ du scénario est classique, le résultat l’est moins.
Le Journal du Dimanche
Le huis clos réaliste, qui évoque la peur de l’enfermement, s’avère terriblement efficace.
Télérama
Une heure et demie dans un sas de décompression ? Ce huis clos sur le chantier du métro de Copenhague enchaîne les bonnes surprises.
Voici
Un huis clos, mi-thriller psychologique, mi-survival, minimaliste, étouffant donc efficace.
Première
Il y fait preuve d’un indéniable sens du suspense. Mais, son parti pris d’injecter une réflexion sociétale dans ce huis-clos convainc nettement moins.