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    Ema
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    58 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2020
    Un film très ambitieux, le film parle de la culpabilité, le regrette, la liberté, beaucoup de souffrance psychologique, par contre j'ai pas retrouvé trop l'amour, ou j'y me fait pas à la conception de l'amour des nos jours. Un film plutôt réussi et assez intello
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mars 2021
    Une fois n’est pas coutume, je suis extrêmement déçu par Pablo Larrain, jeune réalisateur qui avait apporté une nouvelle visibilité au Chili sur la carte de cinéma mondial des années 2010, et ne m'avait réservé (presque) que de bonnes surprises jusqu’à présent. Au lieu d’un sujet spécifiquement chilien (‘No’, ‘El club’, ‘Neruda’), au lieu d’une commande biographique (‘Jackie’), il aborde cette fois quelque chose de moins culturemment ciblé et de plus universel et en même temps, trop vaste et trop souvent exploré par le cinéma pour pouvoir esquiver d’inévitables comparaisons inconscientes, j’ai nommé “le couple” et “la parentalité contemporaine”, même si forcément circonscrites, au moins professionnellement : elle, danseuse professionnelle, lui son chorégraphe et époux, tous deux privés d’un enfant qu’ils n’ont pas été capables d’élever, confits dans leur égoïsme..;et surtout, elle, qui veut se libérer, en tant que danseuse et artiste, mais aussi en tant que femme, amante et mère, des cases dans lesquelles une place lui a été assignée par la société. ‘Ema’ est donc parfaitement dans l’air du temps. On vante le dynamisme du film, sa sensualité, sa bande originale endiablée. Je reconnais que les deux premiers font illusion un certain temps tandis que l’autre...disons que si le reggaeton correspond à vos yeux à une forme de maltraitance auditive, vous serez nettement moins séduit par cet aspect du film. Pourtant, qu’il s’agisse de la forme d’expression corporelle explorée par le film, ou de la musique, j’aurais aisément pu m’en accommoder si le reste avait suivi, comme tout autre élément périphérique qui me laisserait indifférent. Le problème, c’est qu’autant Ema que Gastón figurent parmi les personnages de cinéma les plus détestables que j’ai eu l’occasion d’observer depuis bien longtemps, moins pour ce qu’ils font que pour ce qu’ils sont et dégagent. J’imagine que ce n’était pas l’objectif de Larrain mais le côté révulsif de ce couple, sans doute subjectif mais total dans mon point de vue, m’a ôté toute possibilité de m’intéresser à leur déboires et à leur rédemption.
    jean l.
    jean l.

    158 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 septembre 2020
    Une comédie italienne sur la retraite , et tellement réussie
    Après le déjeuner du 15 août , une nouvelle réussite de Gianni Di Gregorio
    pierre A
    pierre A

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2020
    Magistral. Des femmes, beaucoup, qui rient, qui pleurent, qui dansent mais surtout qui vont au bout des choses. Des hommes aussi, moins, mais aux rôles touts aussi importants. Beaucoup de créativité et de folie.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 janvier 2022
    Sorti entre 2020 entre ses deux biopics (Jackie et Spencer), ce film de Pablo Larrain, revenu dans son Chili natal pour l’occasion, ne m’a absolument pas emballé. Si c’est plutôt bien interprété et que c’est techniquement très beau, j’ai trouve l’histoire d’un profond ennui, je n’ai jamais accroché. Et encore moins aux personnages dont on ne comprend vraiment pas les actes et les motivations, surtout celui d’Emma, le personnage principal. Plat, lourd et sans émotion, le plus mauvais film du réalisateur. Je pense qu’il ne fera jamais mieux que Tony Lanero et Santiago 73 post mortem…
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Avant de vous aventurer dans la salle pour découvrir « Ema » il est bon de savoir que ce n’est pas une proposition de cinéma comme on en voit régulièrement. C’est d’ailleurs ce qui fait son charme mais qui peut aussi poser ses limites, tant ce long-métrage est particulier et difficile d’accès. Pas qu’il soit violent, vulgaire, choquant ou même sexuellement explicite mais son atmosphère et les actions du personnage principal peuvent décontenancer par leur morale plus que singulière. Le cinéma du chilien Pablo Larrain est plutôt clivant et ses films divisent souvent l’opinion en deux. Si nous avions adoré le très controversé « El Club » et ses prêtres pédophiles en rémission, le biopic lancinant et atone, « Jackie », sur l’ancienne Première Dame américaine nous avait totalement laissé de marbre. Ici, c’est mi-figue mi-raisin. Si certaines séquences sont envoûtantes et font montre d’un grand talent, que le film est bourré de nombreuses qualités, le ressenti général laisse parfois dubitatif et certaines choses laissent circonspect.



    L’histoire contée ici est sans conteste originale. Un peu trop même. Ceux à l’œuvre au scénario et qui l’ont imaginée manquaient peut-être de clairvoyance car ce qui se passe ne semble vraiment pas toujours très crédible alors que le film est censé se dérouler dans un univers réaliste. On a d’abord du mal à croire aux liens qui unissent ces personnages. Mais surtout à comprendre ce couple qui adopte pour faire machine arrière suite à un accident et finalement voir la jeune mère revenir sur sa décision et draguer séparément le mari et la femme du nouveau couple qui accueille l’enfant pour de nouveau s’en rapprocher. Impossible de s’identifier à un des personnages ou d’avoir de l’empathie pour eux. Et tout cela fondu dans un maelstrom d’images confrontant la danse, le feu et la maternité. On n’est donc pas toujours très sûr de ce que veut nous dire et nous raconter Larrain. Pourtant, par intermittences, on se prend au jeu du film. Ce qui entre les mains d’un cinéaste comme, au hasard, Asghar Farhadi aurait donné une tragédie puissante aboutit ici à une œuvre protéiforme au pouvoir sporadiquement hypnotique mais qui pourra décontenancer aussi et/ou ennuyer copieusement. Parfois c’est le cas et à d’autres moments on est emporté par ce sublime tourbillon d’images et d’émotion(s). Dommage que cela ne soit pas exponentiel et/ou régulier sur toute la durée du film.



    Car, en effet, les images concoctées par le cinéaste sont à se damner. La ville de Valparaiso est filmée (et magnifiée) sous toutes les coutures. Le cinéaste semble avoir cherché les coins les plus aimables à l’œil et à l’image dans la ville. Ses plans sont travaillés de manière à la rendre encore plus attirante. Quant aux scènes de danse, si ce n’est pas les chorégraphies à proprement parler qui nous emportent, c’est encore une fois la manière dont elles sont mises en scène (comme ce ballet inaugural incandescent avec cette boule de feu en arrière-plan). Il y a également une foultitude de fulgurances visuelles comme ce premier plan majestueux où le personnage principal brûle un feu tricolore au lance-flammes. Ou encore ces scènes où Ema fait l’amour avec différents personnages entre néons flashy et montage alterné. C’est pour ça qu’il est dommage que « Ema » soit parfois si hermétique et étrange. Et donc clivant. On aurait adoré plus aimer. Finalement on sort de la séance perplexe. Persuadé d’avoir vu quelque chose de fort et différent mais aussi quelque peu prétentieux, opaque et peu crédible, notamment à cause de personnages auxquels on ne s’attache jamais vraiment et qu’on ne comprend pas.



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    ferdinand75
    ferdinand75

    549 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Un film très original , complètement atypique , qui nous surprend souvent, et nous ébloui aussi par sa beauté esthétique. La force de Pablo Larrain est nous dresser le portrait de personnages très modernes, actuels, danseurs d'une troupe de danse contemporaine aux moeurs "éclairés" avant gardiste, sexuellement très libres , mais sans tomber dans le politiquement correct "fashion" que l'on aurait pu craindre . Le rôle principale tenue par l'éblouissante et irradiante Mariana Di Girolamo, n'est pas sympathique , elle est complètement "barrée", très instable , elle se cherche, à tous les niveaux , ses dialogues sont parfois décousus , dinguos, irrationnels , sa démarche d'adoption , pour faire "bien" et se ranger ,a été un désastre. Elle veut réparer sa faute , mais doit brûler au préalable , au sens propre et figuré , incendier son passé : des magnifiques scènes au lance -flamme, apocalyptique et rédemptrice, accompagnée d'une musique reggaeton , techno et rap formidable de Nicolas Jaar. Mais Larrain est formidablement intelligent , probablement joueur d'échec ,car dans les 5 dernières minutes il y a une explication finale, un twist énorme , imprévisible, qui explique tout le cheminent . C'est comme un échec et mat auquel on ne s'attend pas , foudroyant. Les scènes de danse sont superbes très bien filmées , souvent tourné dans un Valparaiso , magique et enchanteur , et les scènes de sexe très originales , sulfureuses et torrides à souhait , qui éclairent aussi parfaitement le personnage . Une vraie pépite à découvrir
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 juin 2021
    Un drame intimiste déconcertant, à l’ambiance troublante et à la narration au départ intrigante, mais finalement trop chaotique et peu captivante.
    dejihem
    dejihem

    137 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2020
    Le film n'est pas facile à comprendre au premier abord, jusqu'au deux tiers du film environ.
    Pour ceux qui auraient déjà vu un film de Pablo Larrain, la poésie visuelle et sa douceur est en quelque sorte sa marque de fabrique.
    On est donc logiquement surpris de voir un film qui parle ouvertement de sexe, d'abandon d'enfants, de bisexualité, voire de polyamour.
    Le tout dans un film dont le montage se révèle déstructuré, et dont la cohérence finale, si l'on est un temps soit peu attentif et concentré, se révèle à la fin.
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 219 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 décembre 2022
    Un ratage à peu près total... Esthétique laide, musique d'ascenseur, jeu catastrophique, scénario inepte. Larrain est même passé à côté de l'envoûtante Valparaiso. Qu'est-il arrivé au cinéaste de Neruda ?
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mars 2021
    Film qui a divisé la critique à sa sortie, "Ema" est porté par l'interprétation magnifique de son héroïne, Mariana Di Girolamo. Pablo Larrain, cinéaste de renommée, pose ici la femme au centre de son oeuvre . En effet, Ema, danseuse émérite, passe par tous les états et explore toutes les possibilités entourée de sa bande. C'est agréable à voir mais l'histoire d'abandon d'enfant n'est pas à la hauteur des instants de grâce que peuvent procurer les chorégraphies. A voir surtout pour le magnétisme de son interprète qui incarne son premier grand rôle au cinéma.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2021
    Qu’un film sur la douleur de l’enfant perdu s’avère aussi désincarné et figé relève de la gageure, du contresens total. Au début nous sommes ravis par ce plan sur un feu tricolore incendié, intrigués devant un spectacle de destruction que ne nous comprenons pas encore ; ce sera là le seul mystère d’une œuvre qui multiplie et explicite les symboles avec une lourdeur telle qu’elle devient une démonstration forcée de virtuosité, depuis les séquences chorégraphiées jusqu’aux égarements lesbiens filtrés aux néons. Plein de tics et en toc, chic mais pas choc, Ema entasse les beaux plans esthétisés, se complaît dans la morosité et la violence que vivent les parents, finit par passer à côté de son sujet : les personnages se réduisent à des corps que la caméra suit sans les scruter, poupées vivantes qu’anime le démiurgique Pablo Larraín, auquel la contenance d’une Jackie Kennedy allait mieux que les déambulations pyromaniaques de cette jeune danseuse paumée, dont l’égarement n’apparaît jamais à l’écran.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2020
    On adore ou on déteste mais Ema ne nous laisse pas indifférent. Je me situe dans la première catégorie totalement sous l'emprise de son héroïne. Cette jeune actrice irradie le film de bout en bout et son personnage d'une grande complexité est terriblement attachant. Valparaiso nous convie à un voyage initiatique sur une mère en devenir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    Puissant et envoûtant ! Le personnage principal est plein de colère, d'amour et de sensualité. La fin est assez inattendue.
    Sid E.
    Sid E.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Magique : chaque plan est une merveille, et la construction du film, par son mystère et sa beauté renforce cette impression.
    Lyrique : s'éloignant du réalisme, le film fait de chaque scène une ode.
    Politique : L'héroïne représente la Jeunesse chilienne, je vous laisse deviner qui dans le film, représente la Bourgeoisie, l'Education, la Vieillesse et l'Avenir.
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